evan - and if i recover, will you be my comfort?

Evan L. LeBlanc

let's be alone together...

≈ NOM : leblanc. ≈ PRÉNOMS : evan, lucas. ≈ ÂGE : 26 ans. ≈ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 6 mars, France. ≈ ORIGINES : françaises, américaines. ≈ ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : écrivain et sur le point d’acquérir une petite librairie. ≈ STATUT CIVIL : célibataire. ≈ ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. ≈ TRAITS DE CARACTÈRE : réservé + rancunier + impulsif + généreux + protecteur + attentionné + taquin + gourmand + drôle ≈ GROUPE : Keys.

≈ AIME : lire, écrire, la science-fictions, les séries fantastiques, les animaux, surtout les chiens, la natation, le football américain, le gâteau au chocolat, les galettes de riz, les pancakes au sirop d'érable, la nourriture chinoise, le café et le thé. ≈ DÉTESTE : la pâte à tartiner, la violence, les hypocrite, l'injustice, la discrimination, les choux-fleurs, l'odeur du renfermé, qu'on le réveille en sursaut, qu'on lui parle avant qu'il n'ait pris son petit-déjeuné.

Habitudes: Evan dort en caleçon, car il a toujours trop chaud - Il lui arrive de faire des insomnies, notamment à cause des violences qu'il a subi étant enfant - Il a plusieurs cicatrices sur le torse - Il ne s'est jamais battu avec qui que ce soit - Il a prit la mauvaise habitude de boire trop de café, au minimum 6 tasses par jour - Il ne sort jamais sans avoir son carnet sur lui - Il fait son footing tous les matins, car même si ça n'est pas une obsession, il fait attention à son physique - Il a un chien, Roxy, auquel il est très attaché.

≈ PSEUDO/PRÉNOM :apple_juice/no'. ≈ ÂGE : 21 y.o. ≈ FRÉQUENCE DE CONNEXION : 3 à 4/7 jours. ≈ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? grâce à Cassandra evan - and if i recover, will you be my comfort? 1717401672

evan - and if i recover, will you be my comfort? 1717401672

evan - and if i recover, will you be my comfort? 4246540362

. ≈ PERSONNAGE INVENTÉ, SCÉNARIO ? fantastique scénario de Leya evan - and if i recover, will you be my comfort? 3864692378

. ≈ UN DERNIER MOT ? evan - and if i recover, will you be my comfort? 3844806999

evan - and if i recover, will you be my comfort? 4007304602

evan - and if i recover, will you be my comfort? 3559106686

Code:: <span class="avapr">daniel sharman ≈</span> evan l. leblanc. (le pseudo tout en MINUSCULE s'il vous plait !)

it's gonna be hard when i'm gone.

if you're going through hell, keep going...

Août 1994, Pasadena — « Dis Evan, il est où ton papa ? » Le petit garçon s’arrêta subitement de jouer. Sans qu’il ne comprit réellement pourquoi, ses yeux s’emplirent de larmes. « Je n’ai pas de papa. Il est mort. A la guerre… » Choquée par la réponse de son ami, Cataleya plaqua sa main sur sa bouche, peut-être un peu aussi pour s’empêcher de dire une bêtise. « T’inquiètes pas, c’est pas grave d’avoir posé la question. Tu ne pouvais pas savoir… » ajouta-t-il en haussant les épaules. Lorsqu’il vivait encore à Toulouse, le jeune français avait souvent été confronté à des scènes du même type. Ses petits camarades, au même titre qu’une grande majorité des gens qu’il rencontrait, l’interrogeaient généralement sur son père. Si au départ aborder le sujet le mettait mal à l’aise, il avait fini par se faire une raison et surtout, il était très fier de Pierre. « Tu ne l’as jamais vu ? » Le petit garçon hocha la tête. « Maman dit que j’étais encore un bébé quand il est mort, mais j’ai bien vu que ça la rendait triste de parler de lui. A chaque fois que je lui demande de me raconter, elle se met à pleurer, alors je ne pose plus de questions… » Evan était déjà très intelligent pour un garçon de six ans. Il voyait beaucoup de choses, en comprenait davantage et était par-dessus tout très indépendant. Si sa mère était très fière d’avoir un fils aussi débrouillard, elle aurait aussi aimé qu’il puisse grandir auprès de son père, entouré d’une famille aimante et soudée, vivant cette vie que Pierre leur avait promis. Toutefois, le métier de Monsieur Leblanc avait toujours tenu une place de choix dans son existence et s’il aimait sa famille plus que tout au monde, il n’avait pas trouvé le courage d’y renoncer, ou bien alors pas suffisamment tôt. « Comment il était ? Tu as vu des photos ? » Evan acquiesça. « Tu veux bien me raconter ? » Pour toute réponse, le gamin attrapa son amie par la main et l’entraîna dans le jardin. Assis en tailleur sur la pelouse, il lui raconta alors tout ce que sa mère avait bien voulu lui dire au sujet de ce grand soldat, mort en voulant sauver une famille de réfugiés. A la fin de son histoire, Evan ne put retenir ses larmes et comme pour le consoler, la Colombienne le serra dans ses bras.

Avril 1996, Pasadena – « Evan, mon lapin, je vais me marier… » Le visage du jeune garçon se figea dans une grimace. Il n’aimait pas cet homme, il ne lui faisait pas confiance et la manière dont il se comportait avec lui lui déplaisait par-dessus tout. Lorsque sa mère était avec eux, Harry était un ange. Il jouait avec Evan, il l’aidait à faire ses devoirs et promettait même de l’emmener au parc. Mais dès que avait le dos tourné, tout était différent. Le policier devenait mesquin, méchant et violent. Evan était terrorisé par ses accès de colère, mais sa mère avait l’air si heureuse qu’il n’avait encore jamais osé en parler. Mais les choses étaient différentes aujourd’hui. Mary parlait de l’épouser et Evan n’avait aucune envie de continuer à vivre avec cet homme. Il voulait qu’il s’en aille et tout de suite. « Maman, tu es vraiment obligée de faire ça ? » Ses yeux étaient emplis de larmes désormais et Mary pouvait parfaitement lire la terreur dans le regard de son fils, une terreur qui l’avait prise au dépourvu. « Non, ce n’est pas une obligation, mais j’en ai très envie. Tu sais, je n’ai pas été heureuse comme ça depuis que ton papa est parti et… Je pensais que ça te ferait plaisir. Tu avais pourtant l’air de bien t’entendre avec Harry… » Evan feignit un sourire. C’est vrai que les apparences pouvaient être trompeuses. La journée, il vivait un enfer, mais tout avait l’air tellement normal lorsqu’ils étaient à table tous les trois. Harry se donnait même tellement de mal pour renvoyer l’image d’une famille parfaite que la pauvre mère de famille n’y voyait que du feu. « Qu’est-ce qu’il y a, Evan ? Il s’est passé quelque chose ? Tu peux me le dire, tu sais… » reprit-elle en jouant avec sa bague de fiançailles. Bien qu’elle eût sincèrement l’air concernée par la réaction de sa fils, Mary était aux anges et soucieux de son bonheur, Evan préféra se taire. « Non, tout va bien. Harry est… génial » mentit-il, en serrant les dents. « Je suis content pour toi… » A ces mots, sa mère le serra dans ses bras. Elle ne pouvait pas l’imaginer, mais sur le visage de son fils, ce n’était pas de la joie qu’on pouvait voir, mais bel et bien une cascade de larmes.

Juin 1997, Pasadena — « Je ne veux pas partir ! Je ne veux pas m’en aller ! Je veux rester ici ! » Le poing de son beau-père s’abattit sur la table de la cuisine, ce qui fit sursauter Evan et sa mère. « Que ça te plaise ou non, on déménage ! Alors, tu vas bien gentiment monter préparer tes affaires ou ça va barder pour toi ! » Effrayée à l’idée que son époux ne lève à nouveau la main sur son fils, Mary l’accompagna à l’étage. Si au départ, elle était réellement convaincue que tout se passait bien entre eux, la jeune femme avait fini par découvrir la triste vérité. Dès qu’elle avait le dos tourné, Harry battait Evan. Comment s’en était-elle rendu compte ? Son mari avait fini par changer ses méthodes et avait tout bêtement commencé à frapper le gamin au visage. Si elle avait souvent envisagé de le quitter, Mary n’avait pas encore trouvé le courage de le faire, sans doute trop naïve, un peu trop amoureuse aussi… « Je ne veux pas partir avec lui ! Je le déteste ! Je veux rester ici… Je veux rester avec Leya… Por favor, maman… Laisse-moi rester ici ! » Le visage de la mère de famille se figea et elle lui adressa une mine désolée. « N’insistes pas Evan ! On part cet après-midi et rien de ce que tu pourras dire ou faire ne changera ça ! D’ailleurs, arrête un peu de parler espagnol, tu sais bien qu’Harry déteste ça ! Qu’est-ce que tu cherches à la fin ? Tu veux vraiment qu’il s’en prenne à toi ? » Sa voix était teintée d’amertume et tremblante de peur. Souvent, elle avait voulu s’élever contre son mari, mais les violences qu’il lui infligeait étaient souvent bien pires. Alors, résignée, lassée de se battre, elle avait fini par lâcher prise. La petite voisine avait fini par se rendre compte des maltraitances qu’Harry leur infligeait au quotidien et anxieux à l’idée de finir en prison (un comble pour un policier de sa trempe), l’américain avait décidé qu’ils allaient déménager. Pour aller où ? Et combien de temps ? Evan n’en avait pas la moindre idée, mais il était intimement convaincu qu’Harry était prêt à tout pour l’éloigner de sa meilleure amie.

Septembre 2001, Mexico – « Maman… » Lorsqu’elle entendit la voix de son fils, Mary se redressa immédiatement. Cela faisait plusieurs heures qu’Evan était sorti du bloc opératoire et compte tenu de la violence du choc, elle avait bien cru que son fils ne se réveillerait pas. Harry avait été trop loin cette fois. Si elle avait supporté ses accès de violence sans rien dire pendant plusieurs années, elle avait fini par réaliser qu’elle ne pouvait plus mettre la vie de son fils en danger. Aussi, quand elle l’avait vu s’écrouler sur le sol, lorsque sa tête avait cognée sur le carrelage ou que du sang s’en était échappé, elle avait compris qu’elle devait mettre un terme à tout ça. Mary fit alors preuve d’un sang froid exemplaire. Après avoir surélevé la tête de son fils à l’aide d’une serviette, elle avait préparé à dîner à son mari en n’oubliant pas d’agrémenter sa bière d’un bon gros somnifère. Une fois chose faite, elle avait discrètement téléphoné à une ambulance et attendu que les secours arrivent, toujours au chevet de son petit. Harry dormait comme un loir quand les ambulanciers sont venus chercher Evan. Mary se souvenait parfaitement de leurs mots : « traumatisme crânien aggravé, le garçon est inconscient et son pouls est faible… » Si elle ne comprenait rien au jargon médicale, la libraire savait que c’était grave et immédiatement, des larmes avaient inondé ses joues, déjà rougies par la colère. « Je suis désolé maman… » souffla l’adolescent, les yeux à demi-clos. « Non. Non, non, non. Qu’est-ce tu racontes, mon chéri ? Ce n’est pas de ta faute, tu… C’est moi, ça fait longtemps que j’aurais dû arrêter tout ça, mais... » Mary essuya ses larmes. Si elle aimait son fils de tout son cœur, ça ne l’empêchait pas d’avoir honte de son comportement. « Mais tout va aller beaucoup mieux maintenant, je te le promets. J’ai téléphoné à la police, Harry a été arrêté… Dès demain, j’irai voir un avocat pour divorcer et on recommencera tout à zéro, je te le promets… » Bien qu’épuisé par l’opération, Evan comprit parfaitement le discours de sa mère et ce fût donc paisiblement qu’il se rendormi.

Janvier 2011, Londres — « Monsieur Leblanc. Selon certaines de nos sources, votre roman, A long way through Hell serait inspiré de faits réels ? Est-ce la vérité ? » Evan sourit à la journaliste et lança un regard complice à sa mère qui tenait la librairie où se déroulait l’interview. « Bien que l’univers de ce livre soit principalement fictif, comme vous l’aurez sans doute remarqué, notamment en raison de la prévalence d’éléments, de décors et de créatures surnaturelles, le personnage de Noah est effectivement et directement inspiré de mon enfance. » S’il n’avait jamais eu pour habitude de s’étendre sur sa vie privée ou son passé, inclure ces quelques éléments dans son bouquin l’avait aidé à extérioriser ses vieux démons. D’ailleurs, il adorait son métier d’écrivain. « Pouvez-vous nous en dire plus à ce propos ? » Sur le moment, le jeune homme hésita et la journaliste ouvrit alors la bouche pour enchaîner sur un sujet différent, lorsqu’il consentit enfin à reprendre la parole : « S’il y a bien une chose que tout être humain déteste, à commencer par les écrivains, c’est se mettre à nu, mais ça ne me dérange pas de répondre à cette question. Pour faire simple, disons que, tout comme Noah, je n’ai pas eu la chance de connaître mon père biologique. Tout comme lui, l’homme qui partageait la vie de ma mère était quelqu’un de foncièrement mauvais, qui m’a fait beaucoup de mal… » Mary avait retenu sa respiration tout le temps de sa réponse. Elle craignait qu’il ne s’étende trop longuement sur le sujet, qu’il ne révèle trop de détails, mais Evan était bien trop rusé pour se laisser avoir comme un débutant. « Et cette mystérieuse Lina ? La meilleure amie de Noah dans le livre… A-t-elle réellement existé elle-aussi ? » A ces mots, le jeune homme se sentit rougir. Lina était directement inspirée de Cataleya, mais il n’était pas certain d’avoir envie d’en parler devant cette personne. Il ne voulait pas que ses sentiments pour elle soient lus par des milliers de personnes ou retransmis à la télévision. C’était son jardin secret. Quelque chose qu’il voulait lui dire de vive voix si un jour il avait la chance de la revoir. Avait-elle seulement lu son roman ? Comment savoir… « Non. Lina est le seul produit de mon imagination » décréta-t-il, mettant fin à l’interview.

Juin 2014, Pasadena — Cela faisait maintenant quelques jours qu’Evan était revenu s’installer à Pasadena. Contre l’avis de sa mère, restée à Londres, il avait finalement décidé de partir à la recherche de Cataleya. Son premier roman avait connu un succès tel qu’il avait finalement décidé d’écrire une suite, une suite qui s’était bientôt transformée en un projet de trilogie qui allait même être adapté au cinéma. Evan sourit en songeant à la manière dont avait évolué sa vie. S’il était heureux ? Pas tout à fait, mais c’était en bonne voie. Épanoui sur le plan professionnel et libéré de ses vieux démons, la seule chose qui lui manquait était Cataleya. S’il ne l’avait jamais oubliée et avait toujours été fou amoureux d’elle, il n’était pas stupide au point de croire qu’elle l’avait attendue. D’ailleurs, il était le premier à avoir eu des aventures en espérant que ça l’aiderait à passer à autre chose, mais ça n’avait pas fonctionné. Quoi qu’il en soit, il avait besoin de la revoir et c’était aussi pour ça qu’il avait décidé de poser ses bagages en ville. Comme la partie réelle de son roman était directement inspirée de cet endroit, les premières scènes du film allaient être tournées dans la région de toute manière -et comme il aurait été forcé de revenir quoi qu’il en soit, il avait finalement décidé de sauter le pas. Après quelques recherches, Evan avait finalement appris que Leya tenait une petite galerie et ce fût tout naturellement qu’il s’y rendit pour lui faire la surprise. Lorsqu’elle croisa son regard, la jeune femme devint toute pâle. Pour Evan aussi ce fût un choc de se retrouver en face d’elle et il ne trouva rien de plus percutant à dire que « Caty ? »

très bon choix de scénario.
si t'as besoin, j'suis là.

Bienvenue et bon courage pour ta fiche evan - and if i recover, will you be my comfort? 3488855934

N'hésite pas si besoin evan - and if i recover, will you be my comfort? 3798279566

Je suis tellement contente de te voir On va faire roxer Evan&Leya comme notre alenzo et notre joshuaïs
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche si tu as la moindre question, t'as un accès vip à mes mps

Merci à vous trois! Dis-donc, y'a que des canons par ici I love you

Mais c'est toi la plus belle, ma petite Leya ! evan - and if i recover, will you be my comfort? 3488855934

Comme d'habitude, on va envoyer du rêve, tu as bien raison evan - and if i recover, will you be my comfort? 3798279566

evan - and if i recover, will you be my comfort? 3370132943

Je n'hésiterais pas à te harceler, c'est pas comme si j'avais pas pris l'habitude de t'envoyer minimum un MP par jour evan - and if i recover, will you be my comfort? 2380357005