savannah + saddie : rome. La voilà enfin, la partie la plus éprouvante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou de petites anecdotes. Nous demandons 20 lignes minimum. La voilà enfin, la partie la plus éprouvante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou de petites anecdotes. Nous demandons 20 lignes minimum.

le rencard La voilà enfin, la partie la plus éprouvante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou de petites anecdotes. Nous demandons 20 lignes minimum. La voilà enfin, la partie la plus éprouvante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou de petites anecdotes. Nous demandons 20 lignes minimum.

saddie sur le sujet de brody + l'ex copain qui revient à la charge. La voilà enfin, la partie la plus éprouvante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou de petites anecdotes. Nous demandons 20 lignes minimum. La voilà enfin, la partie la plus éprouvante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou de petites anecdotes. Nous demandons 20 lignes minimum.

Halloween. J’avais toujours aimé Halloween et ce pour deux raisons, la première était toute simple, nous avions un sacré don pour nous déguiser de manière relativement plus que sexy et effrayant à la fois avec Saddie et nous passions toujours un moment hilarant. La deuxième était le fait de passer une des soirées les plus angoissantes de nos vies. Brody et Aaron étaient du genre à nous embarquer dans un cimetière et passer la soirée à nous rendre totalement dingue juste parce qu’ils étaient légèrement limités. Ce soir-là, nous avions optés pour des cheerleaders mort-vivantes, ce qui était passablement ignoble mais le principal était surtout de s’amuser et quelque chose nous disait qu’on allait passer une excellente soirée. Ma sœur fit soudainement irruption dans ma chambre en tournoyant sur elle-même avec un grand sourire. « Alors, comment tu me trouves ? » - « Dégueulasse. » - « Oh allez, sérieusement ! » Me mordillant la lèvre inférieure avec un sourire narquois, je fis mine de réfléchir pendant quelques minutes avant de hausser les épaules. « Tu es se-xy ma grande. » Ricanais-je avant de continuer d’étaler du faux sang sur mon avant bras. Fignolant les derniers détails, j’observais Saddie du coin de l’œil avant de lâcher un soupir. « Qu’est ce qu’elle a Vampirella ? » - « Rien, pas d'problème, jamais. » Susurra-t-elle avant de s’asseoir sur une des commode. « Sad, qu’est ce qu’il y a ? » - « Tu sais qui sera là ce soir ? » - « Les trois-quarts des lycéens de Pasadena ? » - « Mieux. » Arquant un sourcil, je fis volte-face en croisant les bras sur ma poitrine avant de secouer la tête, une mine interrogative collée sur le visage. « Tu commences vraiment à m’angoisser là.. Me dis pas que.. » - « Tout juste Auguste ! » Me coupa la jeune femme avec un sourire de star hollywoodienne avant de sautiller sur ses pieds. « Brody sera peut-être, éventuellement, avec un peu de chance présent, c’est sûr et tu n’imagines même pas la gueule que tu tires là ! C’est énorme. » Dit-elle avant d’éclater de rire et de sortir de la chambre telle une tornade. Nous étions un peu prit le bec quelques jours plus tôt et ça ne s'était pas vraiment arrangé. « C’est pas vrai. » Murmurais-je en laissant retomber le tube de sang sur mon lit. C’était bien ma veine, je tentais par tous les moyens de ne pas envenimer la situation et pourtant, il était toujours dans les alentours. Je commençais vraiment à croire à la théorie du complot. Restant plusieurs minutes à pester dans ma barbe, j’entendis ma tendre sœur hurler mon prénom. Si blondie-bis commençait à s’impatienter, c’est que nous étions terriblement en retard.

« Mais c’est qu’elles sont plus que sexy ce soir les jumelles. Ça nous change. » - « Mais c’est qu’ils sont super drôle Tic et Tac ! » Lâchais-je avec un petit sourire en coin. Brody semblait légèrement gêné et ça n'allait pas vraiment m'arranger. Les deux jeunes hommes étaient grimés en footballeurs américains zombies et nous étions en parfaite harmonie. « Qui rentre dans l’arène le premier ? » Demanda Brody comme si il devait monter sur l’échafaud. « Bah toi.. Bébé. » Dis-je en le poussant dans la maison avec un rire machiavélique. « Vous savez, j’aime vraiment pas les caves, c’est pas mon truc, c’est pas bon pour moi, mon cœur, mon cerveau, mes cheveux, mes doigts. » - « Ça te rappelle de mauvais souvenirs  mec ? » - « Un jour toi j’te tuerais et.. Je te ferais beaucoup, beaucoup de mal. » Croisant le regard de ma sœur, j’essayais de me retenir d’éclater de rire devant la scène de vieux couple que nos amis nous servaient. Lorsque je disais qu’ils n’étaient pas complètement finis, je ne savais pas à quel point j’avais raison. « Les amoureux, la cave c’est par là ! » Pointant la porte du doigt, Saddie trépignait d’impatience, elle avait rêvé de cette soirée depuis l’année dernière et il fallait dire que ce n’était pas la personne la plus patiente sur cette terre. J’avais eu énormément de mal à la tenir en place dés le début de la semaine et ça n’avait pas été facile tous les jours. « Toi aussi, je te ferais énormément de mal. » Marmonna Brody avant de se décider à passer la porte. Courageux mais pas téméraire ce gosse. Leur emboitant le pas, j’étais plus inquiète à la tournure qu'allait prendre cette soirée plutôt que de me viander – comme à mon habitude – dans les escaliers. Soudainement, Saddie venait de sautiller comme une dingue devant moi en m’entrainant dans le fond de l’immense cave avec un sourire digne d’une pub colgate. « Tu te souviens ? » Demanda l’intéressée en me montrant le bac rempli d’eau. Écarquillant les yeux en opinant du chef, elle me fit son signe du high five avant de s’agenouiller par terre. Les garçons venaient de nous rejoindre et vu leur expression, je savais qu’ils allaient nous en reparler pendant un très long moment. « C’est quoi.. Ce truc.. » Ils venaient de demander ça en chœur comme si nous étions en train d’égorger un mammouth sous leurs yeux. Ma sœur se contenta de se relever et s’appuya sur mon épaule, faisant un clin d’œil aux garçons ce fut à mon tour. Il ne me fallut que cinq secondes pour attraper la pomme. Croquant dedans je les observais sans un mot. « Ça messieurs, c’est un test tout à fait personnel. » Dis-je après quelques minutes en fourrant la pomme entre les lèvres d'Aaron. « Allez les gars, on vous regarde. » Fière de notre coup, on ne pouvait s’empêcher d’éclater de rire devant leur mine déconfite. Le regard que me lançait Brody me gêna immédiatement. Depuis qu'il savait que j'avais une sorte de rencard avec un type qu'il ne pouvait pas voir, c'était devenu très étrange. Mais peu importait, nous devions profiter de notre soirée.

« C’est une très mauvaise idée. » Brody venait de grommeler ça tout en engouffrant un muffin avant de se renfrogner pour la centième fois de la journée. Lui tapotant la tête, Saddie lui fit les gros yeux avant de se tourner vers moi avec une moue boudeuse. « N’écoute pas ce rabat-joie, c’est une merveilleuse idée. » - « Merveilleuse, merveilleuse, faut le dire vite. » Marmonnais-je en rajustant ma jupe sous les yeux soucieux des garçons. « Tu comptes sérieusement passer une soirée avec ce.. Ce machin là ? » Demanda soudainement Aaron. Éclatant de rire, je me contentais de hausser les épaules en l’observant dans le miroir. Il marquait un point étant donné que je ne savais toujours pas pourquoi j’avais accepté ce rendez-vous. Un élan de connerie sans doute. J’avais une volonté en mousse. Mais la vieille mousse. Celle rongée par un hamster anémique et hyperactif depuis six mois. À la base, Jayson n’apparaissait nullement dans l’ordre de mes priorités. À vrai dire, tout ça était de la faute de ma sœur, c’était elle qui été à la tête de cette histoire. Elle complotait contre moi depuis le début de l’année cette abrutie et ça avait rudement bien marché. Juste parce qu'elle trouvait que j'étais célibataire depuis trop longtemps. Résultat des courses, je n’avais rien vu venir et je me retrouvais dans une situation que j’aurais préféré éviter. Cela faisait des semaines que je tentais de repousser ses avances et voilà que suite à la pression de Saddie j’étais en train de me demander ce que je pouvais bien mettre pour ce rendez-vous. Le jeune homme avait eu un tel acharnement à ce que je ne lui jette ne serait-ce qu’un regard, que je devais avouer être quelque peu troublée. Je ne comprenais pas tout à fait ce qu’il me voulait ou ce qu’il pouvait simplement me trouver, mais j’avais le sentiment qu’il n’était pas aussi méchant qu’on avait pu me le dire. Du moins, c’est ce que j’essayais de me dire. Tout ça, c’était parti du plan démoniaque de ma sœur, non contente de me mettre dans la merde à la première occasion, la voilà qui s’était fait pour cheval de bataille de me caser avec le psychopathe maléfique. Comme si je n’avais que ça à faire. Bon, d’accord, j’avais vraiment QUE ça à foutre. Elle n’avait pas vraiment l’air d’avoir saisi à quel point je n'en avais rien à faire. Prenant une cigarette dans le paquet de ma soeur, je lâchais un long soupir avant de me laisser tomber sur mon lit. « Vous allez vraiment rester là jusqu’à ce qu’il arrive ? » - « Tu crois qu’on va laisser Satan prendre possession de ta personne ? » - « Il va pas juste prendre possession de sa personne lui. » Je restais interloquée devant la manière dont Brody avait lâché ça. Il semblait plus énervé qu'à l'accoutumée et ça ne faisait pas vraiment de bien. « Je veux dire qu’il va la baiser quoi. » Continua-t-il en se tournant les pouces, les yeux rivés au plafond. « Ta gueule Brody. » Lâchais-je en chœur avec ma sœur qui semblait totalement dépitée. « Peut être pas de suite dans sa voiture mais il va forcément finir par te baiser. » - « Mais c'est quoi ton problème ? » Demanda ma jumelle avec véhémence. Elle additionna à sa parole le coussin qui vint s’écraser sur le visage du jeune homme. « Si j’étais ce genre de personne, ça se saurait mon cher. » Un point pour le mammouth. Non pas que j’étais la fille la plus prude du monde, cela dit, je n’étais pas spécialement en adéquation avec ce genre de relation. Soudainement, le bruit d’une voiture me sortie de ma rêverie et un nouveau soupir s’accompagna à mon envie de mourir sur le champs. Éteignant ma cigarette, je n’eus même pas le temps de me lever du lit que Saddie sauta sur ses pieds avant de me secouer tel un prunier. « Je suis plus vraiment certaine que ce soit une bonne idée. » Dit-t-elle soudainement en s'asseyant sur le lit. Elle se moquait de moi. Je ne voyais que ça. C'était elle qui m'avait littéralement obligée à accepter et la voilà qui n'était plus d'accord avec ça. Voyant le regard désolée qu'elle lança à Brody, celui-ci haussa les épaules avant de sortir de ma chambre. Il semblait sur le point d’exploser et son regard me fit froid dans le dos. « Mais c'est quoi son problème ? » - « Tu poses vraiment la question ? » - « Non, non, je fais semblant. » - « T'es aveugle ou quoi ? » Saddie se leva presque immédiatement en levant les main au ciel. « Pas maintenant Aaron, s'il te plait. » Poussant un soupir, je sortais de la pièce à la recherche de mon ami. Il me fallu bien dix minutes avant de le trouver sur la terrasse. « Quelque chose cloche ? » - « T’es sûre de vouloir y aller ? » - « Je sais pas, j'ai plus spécialement envie là mais je ne peux pas lui faire faux bond comme ça. » - « Si tu le dis. » Lâcha-t-il soudainement en sortant de la maison tel un boulet de canon avant même que je puisse dire quoi que ce soit d’autre. Ça, c’était fait. Je ne comprenais pas vraiment sa réaction mais quelque chose me disait que je n’allais pas tarder à le savoir.

« Pourquoi tu refuses l'idée que tu lui plais ? » Voilà maman Saddie qui ressortait soudainement sa science après trois heures de silence total. Elle commençait tout doucement à me courir sur le haricot la frangine. Trois mois que Brody ne m'adressait plus la parole, je n'avais pas eu une seule explication à part celle de ma jumelle. Explication qui ne me convenait absolument pas. Premièrement parce que c'était idiot, deuxièmement parce que je l'aurais remarqué. Du moins je crois. Peut être. Éventuellement. Elle m'avait complètement chamboulé avec ses idioties. Ma soeur avait tenté plusieurs fois de recoller les morceaux entre le jeune homme et moi mais il semblait avoir toute la rancune du monde. Depuis que j'avais accepté ce rendez-vous avec Jayson, j'avais eu le droit à une crise existentielle sur le fait que je ne voyais pas plus loin que le bout de mon nez. Comment pouvais-je me douter que mon meilleur ami était tombé sous mon charme. Je n'avais jamais pensé à cette éventualité. À aucun moment. Toujours est-il que Saddie n'aimait pas cette situation et qu'elle ne comptait pas lâcher le morceau. Elle n'avait pas l'air de comprendre qu'il avait été plus que blessant et désagréable la dernière fois que nous nous étions vus. Je m'en était pris plein la poire alors qu'il aurait tout simplement pu l'ouvrir et me dire clairement que quelque chose l'ennuyait. Comme si j'étais devenue madame Irma en deux heures. L'un comme l'autre, nous n'étions pas prêt de faire le premier pas, nous avions été exécrables et nos mots avaient clairement dépassés nos pensées. Pourtant, j'étais plus que rancunière et ce n'était pas ses petits yeux de bébé faon qui allaient changer la donne. « Vous n'allez pas pouvoir vous faire la tronche pendant cent-sept ans. J'te rappelle que l'on vit à Pasadena pas à New York, pour vous éviter vous êtes limite obligés de vous planquer dans un buisson. » - « Tu veux pas changer de sujet, ne serait-ce que cinq minutes ? Ça va là, j'ai compris que tu n'étais pas d'accord avec cette situation. » - « Toi et ta fierté mal placée. » - « Che cazzo dici ? E' una cazzata. » Lâchais-je, furibonde, en me levant du canapé avant de sortir de la maison. J'avais besoin de prendre l'air et de penser à autre chose, ce que je n'arrivais pas à faire vu la manière dont ma jumelle agissait. Je savais bien qu'elle ne faisait pas ça pour m'énerver encore plus, blondie-bis ne supportait tout bonnement plus tout ça. Sauf que pour le coup, ça ne la regardait pas à ce point là. Certes, il était son meilleur ami et tout le tintouin, mais le fait qu'elle n'admette pas qu'il avait été plus qu'odieux me rendait dingue.  

« Rentre chez toi Brody. » Lâchais-je en me levant des escaliers comme électrifiée à la vue du jeune homme. Jetant ma cigarette sur la route, je me retournais afin ne plus avoir de contact visuel avec lui, si c'était le cas, j'allais sans doute lui arracher les yeux. « Attends, Nana s'il te plait. Il faut qu'on parle, il est temps d'arrêter les conneries là non ? » Non, pas là non, je n'ai aucune envie de discuter alors rentres chez toi et ne me gonfle pas. J’allais pour ouvrir la porte de la maison lorsqu’il me prit par le bras. « Bas les pattes Anderson. Vois-tu je suis bien trop occupée à être en introspection avec moi même. » Dis-je ironiquement en arquant un sourcil. Je poussais un long soupir en croisant les bras sur ma poitrine. « Qu'est ce que tu veux ? » Je le connaissais, lorsqu'il avait quelque chose à dire, il avait un don pour vous taper sur le système jusqu'à ce que vous l'écoutiez. « Je suis désolé okay ? » Levant les bras en faisant la moue, il soupira avant de laisser son regard se perdre sur la rue. « Je l'ai mal pris, vraiment mal d'accord ? J'aurais pas dû te dire toutes ces choses. » - « Bien. » - « Bien ? Attends, je suis là comme un con et.. Tu me dis "bien" ? » Je le voyais gesticuler sous mes yeux et je ne pu me retenir d'éclater de rire. Me lançant un regard qui se voulait noir, il secoua la tête avant de sourire. « Par moment je te déteste vraiment, oh ça ouais. » Hochant la tête, je m'asseyais à nouveau sur les escaliers. « Tu vas m'expliquer ? » - « Je.. Tu.. Sérieusement ? » Lâcha-t-il après quelques minutes de silence. Quelque chose me disait que ça n'allait pas être facile tout ça. Bien sûr que j'avais une idée de ce qui se tramait, j'avais juste besoin qu'il me le dise. Parce que, entre ce que mon adorable jumelle pouvait s'imaginer et la réalité, il y avait parfois un véritable gouffre. « Tu es heureuse ? » - « Maintenant, là, tout de suite ? » Demandais-je avec un air enfantin. Bon d'accord, peut être que là, j'abusais légèrement à tenter de tourner autour du pot. Seulement je ne savais pas à quoi m'attendre, après tout, nous étions deux idiots à ressentir des choses que nous n'osions même pas dire à voix haute. Qu'est ce que vous voulez faire avec ça ? J'avais la vague impression d'avoir à nouveau douze ans et de ne pas savoir comment me comporter. « Savannah, je suis rarement sérieux tu le sais bien. Mais là, j'suis paumé. Où est-ce qu'on va ? » C'était une très bonne question. « La vraie question est : est-ce que tu sais où tu veux aller ? » Acquiesçant en silence, il mit ses mains dans ses poches en haussant les épaules. « Et toi ? » La réponse était simple, clair, précise. À vingt-cinq ans, j'étais fatiguée de ne pas pouvoir me bouger sans avoir peur de la moindre conséquence. Je me retrouvais comme une idiote face au jeune homme qui semblait tout autant gêné que moi. « J'ai jamais.. J'ai jamais été comme ça. Tu me connais, je suis du genre à être sarcastique pour une simple question de survie. Mais là je peux pas juste jouer au clown. » Il n'avait pas tout à fait tort cependant, j'avais l'impression que ça n'allait pas être si facile.