(n°239) Back to normal ? [Hot]

MYHUBBY

Back to normal ?

« Ça va être bien de se retrouver tous ensemble ! » Les derniers mots de Fabio, avant qu'il ne parte chercher Raffaele, lui avaient donné assez de force pour tenir jusqu'à la fin de sa chimio sans plus de nausées. Elle était sortie de l'hôpital avec une petite mine, mais un grand sourire. Sur le chemin, elle s'était arrêtée pour acheter le gouter et quelques bonbons - sans compter une bonne bouteille de vin -. « Courage. » s'était elle murmurée avant de rentrer dans la maison. Leur petite maison qu'il avait acheté peu après la naissance de Raffy pour accueillir leur bonheur, mais qui pour le moment n'avait pas connu grand chose de tout ça. Ça allait changer maintenant. La porte se referma derrière elle, il n'y avait pas un seul bruit à l'intérieur et elle en déduisit que ses deux hommes devaient être dans le bac à sable dans le jardin. Elle passa dans son atelier de dessin pour récupérer son carnet et quelques crayons avant d'aller dehors à son tour. Fabio était en train de faire de faire un château et leur fils le regardait avec un air de prédateur. A peine avait il fini que le plus petit sauta dessus pour l'écraser. Le rire qui s'échappait de lui était magique. Une pluie de bonheur. Rien que ça lui apporta un énorme sourire sur le visage et c'est là qu'elle leur fit savoir qu'elle était là. Raffy lui fit coucou avant de demander à son père de faire un autre château de sable. Les deux garçons se remirent à jouer et elle s'installa sur un fauteuil sur la terrasse pour pouvoir les regarder. Les crayons se mirent d'eux même à glisser sur la première page de son carnet. Le visage de ses hommes elle les avaient dessiné des centaines de fois, mais jamais en les ayant pour modèle face à elle. Elle pouvait faire tous les détails, les étoiles dans les yeux, les fossettes, les bouclettes des cheveux de Raffaele. Ce petit bout d'homme était vraiment beau et c'était elle qui l'avait fait. Elle se sentait fière d'elle. Alaska était dans son monde quand soudain deux petites mains sales se posèrent sur le côté du fauteuil. « Fais quoi Mama ? » Son petit prince avait dit le mot magique, le mot qui envoya la brunette au paradis. « Je te dessine avec papa. Tu pourras le prendre quand j'aurais fini. » Elle lui montra le dessin en même temps. Fabio s'était approché pendant ce temps et elle le regarda par rapport à ce qu'ils avaient dit un peu plus tôt. Pas le droit de le porter, mais le droit de le câliner. Elle posa alors le dessin qu'elle avait fait et tendit ses mains vers l'enfant qui les prit avant de se laisser hisser jusqu'au genoux de sa mère. Elle le sentait tendu, mais il se laissait faire quand même. « Papa. » Demanda rapidement Raffy en tendant les bras vers le seul adulte en qui il avait vraiment confiance. Elle l'avait eu deux minutes avec elle, c'était déjà ça. C'était vrai que ça faisait un peu mal de voir que son propre fils ne voulait pas s'éterniser avec elle, mais ça allait prendre du temps de construire la même complicité qu'il avait avec Fabio. « J'ai ramené le gouter si vous avez faim. »

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Alaska and Fabio

Il n'avait pas pleurer beaucoup. Une heure seulement après mon départ. Comme quoi ! Il m'appelle normalement, quand il m'aperçoit pas, il commence à pleurer, avant de hurler comme un malade ! Oui c'est bien mon enfant, pour avoir la voix autant porteur que son paternel. Là de retour à la maison, je commence à déposer le matériel pour m'occuper de Raffaele. A ce moment, il me prend ma main pour s'amuser. Je le soulève doucement, et il commence à me demander pour les châteaux : « Encore ! » Je commence donc à remplir le seau pour qu'il m'en enlève, avant que je le retourne pour voir le château. Il le détruit, avant de m'en redemander de nouveau. Je m'exécute pendant un temps, avant qu'Alaska commence à crayonner. Oui, je vais devoir bientôt travailler également ! Il me demande de le soulever pour qu'il court auprès de sa maman, pour regarder en se mettant au bout des pieds, et demander ce qu'elle fait : « Fais quoi Mama ? » Ca du faire plaisir à mon épouse le « mama ». « Je te dessine avec papa. Tu pourras le prendre quand j'aurais fini. » Oh risque qu'il commence à le déchirer, car il aime beaucoup démonter. Je la regarde quand elle dépose son bouquin, pour tendre les bras doucement vers Raffaele. Qui me regarde, avant d'accepter l'affection que sa maman demandait. C'était vraiment adorable ! Chacun son tour comme on dit souvent. Il était peut-être un peu tendu, ayant pas beaucoup habitude de voir sa maman comme ça. Quand il me demanda rapidement : « Papa. » en me tendant les bras, comme auparavant. Je sais que ce qui va beaucoup amusé. Je cours vers lui avant de l'appeler : « RAFFAELE ! MON AMOUR ! » Je le prend et le soulève en haut, avant qui se met à rigoler. Je l'embrasse sur la joue, content d'avoir rendu mon enfant heureux. Il me montre le doudou du doigt qui veut commence à mordiller, dés qu'il a dans la bouche !

Il regarde sa maman quand même avant de dire, avec le doudou dans la bouche : « A papa ! » « Oui je suis ton papa, bonhomme ! Et elle c'est qui ? » Il se met à sourire en montrant ses dents qui commençait à pousser. « A mama ! » Et qui m'a pas laisser dormir dernièrement, ca doit vraiment être insupportable ! Pauvre amour quand même ! Quand il grandira ça ira beaucoup mieux. « J'ai ramené le gouter si vous avez faim. » Le mots « gouter » interpella rapidement Fabio et Raffaele. Il se mit à bouger pour descendre, et demander son goûter. Je le descend doucement, avant de tirer sur sa maman pour qu'elle ramene rapidement le goûter pour tout le monde : « Mama ! Mama ! » Oui elle a compris, qu'elle est quasiment obligé de se lever. Je vais la voir d'ailleurs pour embrasser sur la bouche tendrement, quand il se cache pour pas voir le « bisous » : « Beeerk ! » Je me met à rigoler avant de l'aider à se lever pour accompagner. Il se met à courir rapidement, en se gamelant comme il ne marche pas totalement droit. Là on l'entend déjà dedans en train de demander le grenadine pour accompagner le goûter : « DINE, PAPA ! » Je roule des yeux, en me disant qu'il est vraiment impatient comme son paternel. Oh d'ailleurs, je me demande si elle le sait. Qu'il est exactement comme elle, le même comportement quand je suis avec quelqu'un de féminin ! Il se met à hurler pour attirer mon attention, avant de m'appeler. Il va devoir s'y habituer car mon travail, me demande de travailler avec beaucoup de personnes ! « J'arrive, Raffy ! Il est comme toi, ton fils ! Il ne veut pas que je vois quelqu'un de féminin.. Sinon il se met à hurler et m'appelle après ! Telle mère, tel fils ! » Je rentre dans la cuisine pour lui préparer sa grenadine, pendant qu'elle prendra le goûter. On va déjeuner dehors vu que le temps s'y prête beaucoup. Je met de l'eau, et seulement un peu de Grenadine. Je le mélange avant de refermer, et de donner le biberon, qu'il pourra boire tout seul, vu qu'il a quand même un peu plus qu'un ans dorénavant. Il se met à marcher dehors, en me tirant par la main pour aller dehors : « Oui, oui, on arrive, bonhomme ! »

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« Mama ! Mama ! » Le petit garçon l'appelait et c'était la plus douce des mélodies. Elle le regarda avec un grand sourire. Puis Fabio entra dans son champs de vision pour venir l'embrasser du bout des lèvres. Elle fut surprise parce que tout était normal. Trop de normalité d'un coup. La pauvre femme passait de son monde de recluse à ça, une petite vie de famille tranquille. Heureusement que son mari l'aida à se lever, car elle serait restée bloquée sur sa chaise à penser. Elle les suivit donc à la cuisine, observant leur petit rituel. Ils étaient adorables. Complices. Elle n'osa pas se mettre en travers de leur chemin parce qu'elle aurait probablement cassé la magie. « Il est comme toi, ton fils. Il ne veut pas que je vois quelqu'un de féminin. Sinon il se met à hurler et m'appelle. » « Et ça arrive souvent ? » Demanda-t-elle curieuse en les suivant à nouveau dehors. Il y avait une pointe de jalousie, même si elle savait très bien qu'elle n'en avait pas le droit. Raffy avait atteint la table en premier et s'était mis à regarder les dessins de sa mère avec ses petites mains sales. Elle rigola en le voyant découvrir tous les portraits qu'elle avait pu faire de Fabio, mais surtout de lui. Être absente avait été dur, mais elle avait un peu compensé grâce à ses talents de dessinatrice. « Tu pourras prendre le carnet si tu veux. J'en ai d'autre pour toi encore dans mon atelier. » Alaska passait sa vie à dessiner alors forcément elle ne faisait pas les dessins des livres que son éditeur lui demandait. Elle dessinait sa famille et pour sa famille. Elle avait même fait un livre à Raffaele pour lui expliquer son cancer de manière simple, sa reprenait leur histoire et quand elle le pouvait, elle rajoutait un petit morceau de leur vie. Mais ça personne ne le savait, elle n'avait jamais osé lui donné. Alaska poussa le carnet pour pouvoir donner un petit bout de viennoiserie à son fils. Elle s'assit en face de lui pour que Fabio puisse être au plus près du petit au cas où il avait besoin d'aide. « Merci pour cette deuxième chance. » Raffy n'avait pas entendu, mais Fabio si. Il lui offrait une deuxième chance et elle l'aimait encore plus pour ça. Tout n'était pas réglé, mais ils allaient y travailler ensemble. D'ici quelques mois, peut être qu'ils seraient à nouveau comme avant tout ça. Heureux. Pleins d'espoirs pour le futur. Soudainement le poids de la journée et de la chimio vint se poser sur ses épaules, elle avait besoin de s'allonger pour dormir une petite heure ou deux, mais ce soir elle voulait absolument être là pour le repas et le coucher de Raffy, du coup avant de se lever, elle demanda à son homme s'il pouvait la réveiller avant tout ça. Elle embrassa son petit bout de chou sur la tête, puis son homme sur les lèvres et partit au salon pour accorder à son corps le repos qu'il méritait.

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Alaska and Fabio

Je n'aurai pas dû évoquer le sujet. Et ça va recommencer comme auparavant. Alaska va devenir « jalouse ». Je souligne que mes collègues sont pratiquement mariées, ou avec quelqu'un pour le moment. Ça me serait impossible, surtout qu'elle viendrait à me haïr ! Je suis redevenu comme auparavant, et je peux encore lui rappeler que c'est uniquement elle, qui m'a poussé à coucher avec Marian non ? Je sais que ça rappellerait de mauvais souvenir, cependant elle me croit vraiment capable de la tromper. Et ca me fait beaucoup de mal, car même quand elle était reclus. Je m'inquiétais tout le temps pour elle, en pleurant sur Aby que je pourrai perdre mon épouse ! Comment je dois réagir vraiment ? Je soupire un moment avant d'écouter : « Et ça arrive souvent ? » Qu'il a commencé à se comporter comme ça ? Il y a un moment déjà, cependant il m'a toujours voulu que lui uniquement. Et quand il dit souvent quand il veut « à moi ! » comme quoi je l'appartiens. Si elle parle de mes fréquentations, depuis longtemps, comme j'ai des collègues hommes comme femmes ! « Ca me fait du mal que tu penses que je pourrai encore te tromper. La première fois c'est toi qui m'a forcé de coucher avec Marian. Ca m'a tellement énervé, que j'ai décidé de mon plein grès d'y prendre part ! Je ne supportai pas te voir en mode mort-vivant, et que tu décides d'abandonner ton combat.. » J'ai vidé mon sac comme ça, elle comprendra mieux ma douleur. J'aurai pas du à ce moment, cependant elle commença à entamer la conversation. Et je me devais d'avouer par rapport à ma tromperie avec Marian auparavant. Oui je sais que c'est idiot de tromper la femme qu'on aime, mais quand elle vous force, comme vous pousse à la « tromper ». On finit par céder un moment. Qu'est-ce que je pouvais faire ? J'ai déjà essayer de la faire bouger, cependant elle ne voulait pas. Je me suis confié à Aby, ma confidente qui est également maintenant mon patron. Et elle me comprend, et réussit presque tout le temps à me redonner le courage.

C'est vraiment dur par moment de continuer. Quand tu vois ta femme mourir lentement. Comment aurais-je du réagir ? J'ai tenté de la réveiller de son sommeil, néanmoins elle ne répondait pas. Pour elle, elle était déjà morte, et quand elle se réveillait uniquement pour manger. J'essayai de continuer de vivre comme si elle était vraiment morte. Car je n'avais plus espoir de retrouver MA femme comme auparavant. Et maintenant qu'elle est là, je veux absolument la garder pour toujours. « Ne m'abandonne pas, s'il te plait ! » Je l'avais à peine murmurer, étant légèrement ailleurs. Quand Raffaele prend rapidement son bouquin pour voir les portraits, le ricanement de ma femme me remplit de bonheur. Je ne l'avais pas vu comme ça depuis longtemps. Là je la prend dans mes bras, simplement pour me rendre compte que c'est bel et bien Alaska, celle que j'ai rencontré y a longtemps, et que j'aime profondément. « Tu pourras prendre le carnet si tu veux. J'en ai d'autre pour toi encore dans mon atelier. » Oh ca j'en doutais pas qu'elle en avait beaucoup à son bureau. Les deux ans ont durée à uniquement dessiner, et s'isoler complètement du monde. Je le vois en train de tourner les pages, en se demandant si c'était vraiment lui, Raffaele ! Ou seulement des dessins, qui vivaient vraiment dans le bouquin. Je reste présent au cas ou il aurait besoin de quelque chose, vu que je comprend tout pour le moment. Quand j'entend soudainement, un remerciement. Je me met à sourire avant de l'écouter : « Merci pour cette deuxième chance. » « Merci à toi d'être revenu, Alaska ! Tu ne pouvais me faire plus beau cadeau ! J'ai vraiment eu peur de te perdre ! » Je l'ai dis pour que seul entende pour pas inquiéter Raffy pour le moment. L'espoir fait vivre cependant, donc on pourra tout recommencer comme auparavant. Je l'espère car c'est ce que je veux vraiment. Quand elle me demanda de la réveiller, je hocha simplement la tête en répondant à son baiser, avant qu'elle embrasse Raffy qui ne comprend pas beaucoup […]

Je me met à la hauteur de Raffaele pour lui demander de réveiller sa maman, pour la prévenir que le repas va commencer. En lui expliquant qu'elle a été beaucoup fatigué, donc de pas énormément la brusquer. Le bout de chou commence à courir, en chutant mais se relevant comme un grand. J'ai eu le temps de préparer mes lasagnes maison, avec une bouteille comme à notre rencontre ! Je le surveille pour voir si vraiment il n'a pas bousculer maman, comme il me fait souvent le coup, mais apparemment il a compris. Il pose sa main sur son épaule, en la poussant du mieux qu'il peut en l'appelant : « Pas dodo, mama ! Pas dodo ! » Je me met à rigoler en voyant comment il s'y prend. Bon on va avançer quand même un peu. Je fais un clin d'oeil à mon enfant avant de le prévenir : « On fait comme la belle au bois dormant ! Il faut un baiser pour que maman se réveille ! » Il se met à sourire avant que commence de l'embrasser tendrement. Et de rajouter au dire précédement de notre bonhomme : « La belle au boit dormant, il est temps de se réveiller maintenant ! Les lasagnes vont se refroidir sinon.. »

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Lorsqu'il lui avait dit que Raffy n'aimait pas le voir avec d'autres femmes, elle avait voulu plaisanter en lui demandant si ça arrivait souvent, mais il l'avait mal prit. Il avait haussé légèrement le ton pour lui rappeler qu'elle était celle qui l'avait poussé dans les bras d'une autre et qu'il n'avait fait que suivre des ordres. Du coup malgré la petite blessure qu'elle avait ressenti, elle l'avait remercié de lui laisser une seconde chance. Puis peu de temps après, elle s'était sentie fatiguée et était partie s'allonger pour ne pas finir comme une larve devant ses hommes. Sa petite sieste passa en un éclair. « Pas dodo, maman. » La voie de son fils la tira hors de son sommeil, mais elle avait encore du mal à ouvrir les yeux, il lui manquait de la motivation. Un bisou arriva et elle sourit intérieurement. « Il est temps de se réveiller maintenant ! Les lasagnes vont se refroidir sinon. » Des lasagnes ? Il n'en fallait pas plus pour qu'elle se redresse d'un coup en attrapant son petit homme. Elle l'attira sur le canapé pour qu'il s'allonge à côté d'elle et se mit à le chatouiller. Comme elle n'avait jamais fait ça, elle s'arrêta vite de peur que ce soit trop pour le petit qui ne l'avait jamais eu trop avec lui. « Je commencerai déjà par manger mon petit garçon avant de passer à table. » Raffy se mit à gigoter pour s'enfuir et elle le lâcha en pensant qu'il ne voulait plus d'elle, mais elle se trompait. Il fit le tour de son père pour aller lui chuchoter un truc à l'oreille avant de revenir et de la chatouiller. Du moins d'essayer alors elle rigola et dans son élan elle se leva avec lui dans ses bras. Elle réalisa rapidement ce qu'elle venait de faire et perdit son sourire en le reposant tout aussi vite. « Pardon. » Son cœur battait à mille à l'heure de peur que Fabio ne l'engueule, elle n'avait pas réfléchis avant de se lever. Ça avait été spontané. Raffaele la sauva en attrapant la main de son père pour aller vers la table où le repas les attendait. Elle les suivit et s'installa près de son fils qui lui avait tiré la chaise. « Les lasagnes de ton papa c'est les meilleures. » Un verre de vin se posa devant elle et elle leva les yeux vers Fabio. Il ne semblait pas en colère alors elle se détendit un peu. « Après je pourrais t'aider pour son bain ? »

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Je me met déjà à rigoler quand elle dit commencer à manger Raffaele. Qui va commencer sûrement à protester. Oui, il ne veut pas être manger ! Il est beaucoup trop mignon. C'est de voir qu'ils s'entendent, comme ça on pourra retrouver exemple de famille qu'on aurait voulu former ! Le petit apprécie déjà de s'amuser avec Alaska. Je crois que c'est bien partie comme ça ! Par contre il ne doit pas être énormément comestible. Oh tient, je partirai un moment, voir comment elle se débrouille, à moins que Raffy commence à appeler. Il ne veut pas que je l'abandonne, donc il m'appelle jusqu'à ce qu'il m’aperçoit. « Je commencerai déjà par manger mon petit garçon avant de passer à table. » Il se mit à gigoter avant de me rejoindre rapidement, en croyant qu'elle ne voulait plus de sa maman, alors qu'il voulait de me prévenir de son plan de « contre attaque » sur Alaska : « Gilli a maman » Il repart aussi pour commencer à la chatouiller, c'est vraiment adorable, donc je préfère laisser profiter du moment. Je m'assois comme étant donner que je me suis pas reposer depuis longtemps. Et dois reprendre le travail demain, en plus d'une réception qui aura lieu prochainement. Je n'ai toujours pas demandé d'ailleurs à Alaska.. Quand je la vois soudainement porter dans l'élan Raffy. On dirait vraiment que je m'énerve ? Je suis seulement méfiant, à la reception d'un enfant. Néanmoins, elle semblait quand même gérer avant de prendre peur, pour reposer Raffaele. Je ne vais pas la manger quand même, certes la dernière fois c'était mal parti. Mais bon, j'ai promis de l'aider et à faire beaucoup d'effort comme elle également. Donc cela ne gêne pas beaucoup, seulement ça me fait peur pour notre enfant. « Pardon. » Ca m'a surpris ! Je ne peux pas vraiment lui en vouloir. Sur le moment ça m'arrive de prendre Raffy. Ca peut se comprendre cependant il faut faire beaucoup attention.

Le petit m'attrapa la main, pour manger comme tout le monde. Il aide d'abord sa maman comme un grand. Et on commence le bruit qu'on fait quand je le soulève ensemble : « Oh hisse ! » « Oh hisse ! ». Le voilà sur le fauteuil de bébé maintenant ! Je prend les compotes et les plats préparés que j'ai commandé. Il mangera des plats préparés pour enfant, cependant pas fait « industriellement ». J'ouvre le pot pour bébé, en essayant de goûter pour voir le goût que cela avait. Une habitude que j'ai pris depuis longtemps ! Ça m'a l'air bon, mais un peu acide quand même ! Quand je me met à sourire pour le commentaire sur mes « lasagnes ». « Les lasagnes de ton papa c'est les meilleures. » Je sers un verre de vin à Alaska, avant que Raffaele sent et comprenne qu'il veut également des lasagnes comme maman. Je roule des yeux en sentant que je vais devoir donner un moitié pour monsieur. Et qu'il va pas vouloir terminer ses pots comme d'habitude, car c'est beaucoup plus bon. « Bon asagne ! En veux ! » Je passe ma main sur mon visage en rigolant. Je crois qu'il va devenir un grand adepte des lasagnes familial également. Je rigole avant de prendre de mon plat, car on mange pas dans le plat de maman. Elle a besoin de reprendre beaucoup de force ! « D'accord, cependant tu manges tes pots ! Je te préviens Raffaele.. Sinon papa t'en donnera pas la prochaine fois ! » Il se met à hocher la tête pour confirmer mes paroles, cependant je doute qu'il comprendra. Bon je prend sa cuillère pour enfant, et en met un peu dessus pour qu'il en mange. Le voilà déjà qu'il dit « Mmmmmh ! Encore ! » « T'es comme ta mère toi ! C'est pas possible ! Tu vas me terminer toutes mes lasagnes.. Si vraiment tu pouvais ! » Je repose mon attention sur Alaska un moment, pour surveiller s'il mange bien son deuxième morceau. J'entend qu'elle veut m'aider pour le bain. Oui je lui montrerai comment faire, cependant par moment il veut vraiment pas qu'une femme le regarde à poil. Je vous jure par moment, qu'est-ce qu'il peut être marrant ! « Après je pourrais t'aider pour son bain ? » « Bien sûr ! Je t'en veux pas quand tu l'as porté ! J'ai seulement pris peur.. J'ai vu que tu te débrouillais bien cependant.. Tu pourras donc peut-être le porter ! » « Encore Papa ! Encore ! » « Va d'abord lui donner son pot de légume ! » Je lui tend le pot de légume comme la cuillère, que déjà Raffy commence à ouvrir grand la bouche pour montrer qu'il est vraiment affamé ! Et quand il attend trop, il se met à hurler c'est vraiment dur par moment de le calmer.

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Alaska s'était fait peur. Elle avait soulevé Raffaele dans un moment de spontanéité avant de se rappeler que son mari le lui avait interdit. Son fils avait vite retrouvé la terre ferme, mais les yeux de la brunette étaient restés fixés sur Fabio. Allait il l'engueuler ? La faire retourner dans son coin ? Il n'avait rien fait de ça, il avait juste été compréhensif et avait proposé de passer à table. Le bel italien avait cuisiné des lasagnes. Un plat qu'aimait particulièrement Alaska. Et apparement, après avoir gouté, elle n'était pas la seule à adorer ça. « Encore Papa ! Encore ! » « Tu vas me terminer toutes mes lasagnes. » « Prend chez moi, je ne pourrais jamais finir toute mon assiette. » L'attention de lui faire son plat préféré pour le premier jour de sa seconde chance était vraiment gentil de la part de Fabio, mais elle était nauséeuse. C'était les effets secondaires de la chimio. Chez elle, et elle était plutôt chanceuse vu toutes les complications qu'elle aurait pu avoir, la chimio lui donnait envie de vomir et lui faisait perdre ses cheveux. Cheveux qu'elle avait rasé il y a bien longtemps pour laisser la place à une perruque. « Moi moi moi ! » Cria le petit garçon en poussant du revers de la main la cuillère que lui amenait son père. Il voulait les lasagnes de sa mère plutôt que les légumes du petit pot. Alaska pouvait comprendre et pourtant en tant que maman, elle ne pouvait pas céder. « Mange ton petit pot et promit je t'en donnerai un peu. » La brunette reprit son repas en mangeant lentement, essayant de mettre de côté le fait qu'elle n'était pas au top de sa forme - mais ça n'était pas nouveau -. Elle prenait son temps et regardait ses deux garçons qui s'entendaient vraiment bien. Ils étaient complices et n'avaient pas besoin de mot pour se comprendre. S'ils ne jetaient pas de coups d’œil dans sa direction de temps à autre elle se serait vraiment sentie invisible. Elle ne pouvait rien attendre d'autre car après presque deux ans d'absence, Raffy avait grandi sans elle toute sa vie. Elle était sa mère, mais il ne la connaissait pas... en fait elle était une inconnue pour lui. Elle ne l'avait jamais nourri, ni même baigné, jamais habillé ou mit au lit. Elle avait toujours été là sans être là. « Tu veux que je finisse de lui donner pendant que tu manges ? Ça va être froid. » Alaska n'avait pas réussi à manger la moitié de ce qu'elle avait dans son assiette, elle avait pourtant l'impression d'être pleine. Puis elle avait envie de s'occuper de Raffaele et de lui donner à manger comme son père le faisait. Il y avait une pointe de jalousie en les voyant, elle voulait elle aussi faire partie de ce club fermé. La belle se retrouva avec le petit pot dans les mains et la cuillère, mais au moment d'approcher des lèvres de l'enfant, il tourna la tête. « Non ! » « S'il te plait, il ne reste plus grand chose. » « Non ! Papa... Papa donne. » « Maman c'est bien aussi, non ? » « Non. » A quoi s'attendait elle ? Elle avait été comme un fantôme depuis sa naissance, il n'allait pas lui sauter dans les bras comme ça du jour au lendemain. Et pourtant ça faisait mal et elle dut le cacher sous un masque de résignation. « Je crois que tu vas devoir finir Fabio. Il ne veut pas que se soit moi. Je vais aller faire la vaisselle pendant que tu finis. » Sans attendre, elle se leva en prenant la vaisselle sale pour aller la laver à la cuisine.

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Je vois que la chimio est encore présente. Elle n'ose même pas terminer. Ça doit être vraiment dur. Ça me fend le cœur ! Ce n'est pas le moment de montrer mon inquiétude. Je dois faire comme d'habitude, comme si elle était vraiment en « rémission » depuis longtemps. Le mental y est mais pas le cœur ! Comment suis-je censé faire ? Je me demande si donneur n'était peut-être pas « suffisant » pour sauver Alaska. Raffaele fait vraiment son mieux pour l'aider. Il se prête volontiers au jeu pour que sa maman récupère rapidement. Il me tarde vraiment que la chimio soit terminer. Elle ira beaucoup mieux, et peut-être que j'en soucierai moins.. ou beaucoup plus ! « Prend chez moi, je ne pourrais jamais finir toute mon assiette. » Il en reste quasiment la moitié, comment peux-t-elle reprendre beaucoup d'énergie ? Je vais prendre un bain, peut-être qu'elle voudra également en prendre un pour reprendre un peu d'énergie ! J'entends que Raffy veut bien les manger. Lui on lui demande pas deux fois pour manger. Il est un grand mangeur comme son paternel. Il m'appelle tout le temps pour manger souvent des « biscuits ». « Moi moi moi ! » Et voilà comment il me remercie de lui en donner. Le oui d'auparavant, n'était qu'un mensonge. Oh god, il va pas recommencer à me balancer les couverts comme dernièrement. Il s'était pris une engueulade, qu'il avait compris comme je m'appelle maintenant ! Je crois que c'est pour ça qu'il mange aussi facilement ! Alaska veut se montrer autoritaire pour montrer qu'elle ne cédera pas. Ca me fait plaisir de voir ça ! Je ne serais pas le seul méchant, à être autoritaire pour m'occuper de Raffaele. Bon pour le moment il n'a pas évoquer que j'étais méchant. Seulement quand il n'a pas ce qu'il veut pendant un long moment. « Mange ton petit pot et promit je t'en donnerai un peu. » Je vois qu'elle mange quand même un peu. Là c'est plutôt pour me faire plaisir, non ? Bon revenons au bonhomme qui commence à me tromper. Il ne m'aura pas facilement, comme d'habitude.. Il va chercher à faire céder quelqu'un, et quand personne n'accepte. Mr. Raffy crie comme pas possible, en voulant mamie, parce qu'elle acceptera de lui en donner !

Je fronce des sourcils, en montrant que je suis pas content, et que prochainement il n'aura pas de lasagnes ! Il doit manger des pots pour apprécier les aliments, cependant il décide d'aimer seulement mes « lasagnes ». Il va me rendre chèvre cet enfant. Je regarde par moment Alaska pour pas qu'elle se sent mal, néanmoins j'aurai aimé que maman soit demandé. Comme ça papa pourrait se reposer, ou même travailler beaucoup plus ! Je crois que c'est peine perdu pour le moment. Elle me proposa de me remplacer. Et ça pas sur que Raffaele apprécie, cependant je n'ai pas manger depuis un moment, comme je n'ai pas eu un temps à moi pour préparer mon travail, comme s'occuper du jardin ! Il ne me lâche plus même au WC, incroyable ! « Tu veux que je finisse de lui donner pendant que tu manges ? Ça va être froid. » « Je veux bien. Merci, ma chérie ! » Je l'embrasse tendrement, avant de commencer à manger mon plat. En cas de problème, il sait que j'interviendrai rapidement. Je vais écouter le pédiatre qui a dit de montrer autorité pour pas qu'il devient le « roi de la maison » et qu'il devient vraiment ingérable ! Quand je m'y attendais, il recommence à désobéir, Monsieur Raffaele va comprendre prochainement. Que maman va devoir s'occuper de lui. Et donc il a intérêt d'être droit. Car je lui demanderai comment il a été en rentrant. « Non ! » « S'il te plait, il ne reste plus grand chose. » « Non ! Papa... Papa donne. » « Maman c'est bien aussi, non ? » « Non. » Je termine ma bouchée, avant de me lever pas content, et ça il a senti rapidement. La main va reprendre celle de ma femme, pour la serrer et montrer que c'est le parent qui commande ! Car il me balance les couverts par moment, donc il se trouve un nouvel échappatoire, en me demandant, mais ça marchera pas.

« Je te préviens Raffaele.. Je vais au toilette, et si je reviens que tu n'as pas terminé ton pot. Tu vas au lit directement, sans même regarder la télévision avant de dormir.. Je ne rigole pas Raffaele ! Tu me connais.. Alors si maman me dit que tu n'as pas terminé ton pot. Méfie-toi ! » Il hoche la tête, pour montrer qu'il est d'accord. On verra bien cependant, car pour le moment il m'a énervé. Et s'il me contrarie, Zou ira au dodo comme Raffaele, et même s'il pleure ça ne fonctionnera pas ! Il pose le regard vers Alaska : « Mama ! » Je repose mon regard vers Alaska qui m'a l'air déçu. Je passe les bras autour d'elle, avant de l'embrasser tendrement. Il ne faut pas que ça l'inquiète, elle reprendra son rôle comme une vrai maman, cependant il ne faut vraiment pas céder. C'est un moyen de faire pression ! Il sait que maman cédera, donc il commence à crier ! Et vu que je l'ai engueulé, il a compris clairement qu'on ne pouvait plus énerver son paternel. « Je crois que tu vas devoir finir Fabio. Il ne veut pas que se soit moi. Je vais aller faire la vaisselle pendant que tu finis. » « Va lui donner son pot ! Je crois qu'il a compris, maintenant ! Il ne faut pas que tu le prend mal.. Il y a à peine deux jours, qu'il me lançais les couverts pour pas manger les pots ! Il fait ça quand il veut pas manger les pots.. Et vu qu'il a vu que tu ne le grondais pas, comme moi.. il en profite simplement.. » Je dépose les plats qu'elle prend, avant de la lâcher pour embrasser sur le front. Et de m'éloigner pour aller au toilette comme dit récemment. Je sais qu'il va manger comme d'habitude, il cède facilement quand on parle de regarder la télévision avant dormir !

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Raffaele semblait avoir un sacré caractère, comme son père, l'Italie courait dans leurs veines après tout. Et les italiens étaient connus pour leur sang chaud. Le petit voulait des lasagnes et pas son pot de légumes. Il ne comptait pas changer d'avis de si tôt. Cependant Fabio ne se laissait pas marcher sur les pieds et il haussa la voie sur le petit qui se ratatina dans sa chaise haute sans rien dire. Alaska partit tout de même dans la cuisine en ayant l'impression d'être un échec ambulant. Pas foutu de nourrir son fils. Et encore moins de lui crier dessus pour qu'il arrête ses bêtises. Elle allait se mettre à faire la vaisselle quand des bras forts l'encerclèrent et elle se tourna. Fabio l'avait rejoint et il déposa un baiser sur son front avant de l'encourager à aller finir de donner à manger à leur fils.« Il en profite simplement. » « Et ça fonctionne avec moi. Je ne pense pas être capable de hausser la voir comme tu l'as fait. Il me connait à peine... » Elle déglutit difficilement avant de retourner auprès de son fils à table. Il semblait mécontent. Mais de quoi ? De devoir manger ? De la voir elle au lieu de Fabio ? Elle s'approcha lentement et pensa à un compromis entre elle et sa mère quand elle était petite. « Qu'est ce que tu dirais de manger deux cuillères de ton pot puis une de lasagne et qu'à chaque fois que tu manges des lasagnes, maman mange une cuillère de ton pot ? » « Pas compris. » « Maman va te montrer. » La brunette approcha une première cuillère de la bouche de son fils qui prit avec une grimace. Elle refit la même chose une deuxième fois. Et la troisième fois, à la place du petit pot elle lui donna un morceau de lasagne et en même temps elle prit une cuillère de légume. A ce rythme là, trois tours comme ça et il n'y aurait plus rien. Ça devint assez rapidement un jeu et Raffy l'encourageait à mangeait avec lui. Il souriait et gigotait énormément dans son siège. Même la cuillère qu'il tenait virevoltait dans tous les sens tel une baguette magique. Celle ci vola au moment où Fabio revenait et elle vit le petit la recherchait du regard, surement dans l'espoir qu'elle soit tombée dans un endroit peu visible, ce qui n'était pas le cas. « Pas moi. » Raffy avait apparemment comprit la leçon sur le lancé de cuillères, et ce soir était juste un accident dut à l’excitation d'avoir tout mangé comme un grand et d'avoir eu quelques morceaux de lasagnes. Elle se leva et la ramassa avant de revenir embrasser son fils. « Si papa est d'accord, on prend une petite glace avant d'aller au bain. Et après on regardera un dessin animé. » « Non. Veux 'stoire. » Alaska bien qu'absente savait que le petit avait le choix entre un épisode de dessin animé ou une histoire et ce soir il voulait une histoire. C'était peut être le moment de sortir le livre qu'elle lui avait fait... Mais Fabio voudrait surement le voir avant qu'elle ne le montre à leur fils. « Maman elle a écrit une histoire pour toi bonhomme et papa te la lira s'il le veut. »

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Alaska and Fabio

Et comme moi au début. J'ai appris doucement, mais sûrement pour pouvoir engueuler Raffaele. Au début, c'était dur en me prenant pour un mauvais parent, de m'en prendre à mon enfant. Le pédiatre a dit que c'était important de mettre des « limites » comme de le gronder quand il commence à dérailler. Je me suis donc mis à le gronder, cependant au commencement il se jouait beaucoup plus de moi que me respecter comme maintenant. On aurait dit que c'était même lui qui régnait. Après quelques jours, il a comprit qu'on ne s'amusait pas, et que quand papa grondait. Il tenait ses promesses comme pas de vidéo, comme de contes, ou même de lasagnes ! Là il a de suite changer de comportement, et a décidé de m'écouter. « Et ça fonctionne avec moi. Je ne pense pas être capable de hausser la voir comme tu l'as fait. Il me connaît à peine... » Et alors quand il a grandit, il me connaissait pas beaucoup. Il m'a juste vu, cependant il me croyait pas capable de respecter mes promesses ! Ou quand ma mère le gronde, et qu'elle vient seulement de venir. Il l'écoute également, comme si c'était moi qui le grondait. Là est le vrai problème d'un parent. L'autorité. « Et alors ? Quand ma mère est venu, et qu'il a commencé à s'amuser avec la porte ! Elle a grondé même si c'était seulement la deuxième fois que Raffaele l'a vu ! J'ai même eu du mal les deux premières semaines.. J'avais peur d'être un mauvais parent en grondant Raffaele ! Et quand je le grondai, il se moquait bien de moi auparavant.. Quand il a comprit que je ne rigolais pas, et que quand je dis que je supprime le dessin animé, ou son conte pour être ensemble ! Il change vite de comportement.. Je t'apprendrai si tu veux ! » Je m'en vais de se pas, au toilette en espérant qu'il mangera son pot avant que je commence à m'énerver. Quoique déjà un peu énerver, cependant pas suffisamment pour me voir réellement furieux ! Qui soit mécontent ou non, il doit manger ses pots quand même. La lasagne c'est pour les grands, les enfants mangent des pots de légume, comme de fruit. Et ils sont pas industrielle, mais manuelle donc il doit être « délicieux » !

Elle s'approche de lui, avant de commencer un compromis. Et voilà comment forcer maman à manger. Là au moins, on est sûr qu'elle aura quand même manger. Les légumes c'est bon pour la santé cependant, donc il faut en manger au moins cinq par jours. Oui les publicités sur Guilli te servent beaucoup à comprendre que manger « cinq fruits et légumes par jour » c'est important pour la santé ! « Qu'est ce que tu dirais de manger deux cuillères de ton pot puis une de lasagne et qu'à chaque fois que tu manges des lasagnes, maman mange une cuillère de ton pot ? » « Pas compris. » « Maman va te montrer. » Je sors des toilettes, en espionnant le moment. Le rire est presque contagieux, mais je me contente de me retenir absolument. C'est vraiment adorable, comme amusant ! On dirait vraiment deux enfants qui mangent. J'essayerai de pas profiter du moment, pour tenter un petit amusement qui va beaucoup amusé Raffaele. La cuillère au bout de quelques temps vola comme par magie. Et vu que je m'étais quand même dissimuler, c'est à cet instant qu'elle m'a montré à tout le monde. « Pas moi. » Je dépose un baiser sur son front avant de rajouter, d'un air vraiment drôle : « Je sais, mon chéri ! Vous avez bien manger, les enfants ? » Le petit se mit à rigoler en comprenant que je parlais également d'Alaska. Je l'embrasse tendrement, pour lui montrer qu'elle était quand même capable. La maman proposa de manger de la glace, cependant aussi tard, cela pourrait lui donner des aigreurs d'estomac. Il me fait des yeux doux quand il a comprit qu'il pourrait en manger : « Si papa est d'accord, on prend une petite glace avant d'aller au bain. Et après on regardera un dessin animé. » « Non. Veux 'stoire. »

Il veut une histoire, maman en a sûrement beaucoup à conter, en même temps elle est « dessinatrice ». Comme ça pendant ce temps, je préparerai mon bain moussant, pour me reposer tranquillement. J'espère qu'en laissant la porte ouverte, personne ne comptera ouvrir soudainement. Bref, je repose mon regard sur les deux amours d'enfants : « Il n'a pas le droit de manger beaucoup de sucre ! Le pédiatre m'a déconseillé, cependant un biscuit c'est acceptable ! Il y en a au chocolat ! » Oh oui maintenant pour le conte, ou même ceux qu'elle compte lui montrer. J'espère qu'elle n'évoquera pas la maladie, car pour le moment j'ai communiquais uniquement que maman était beaucoup « fatiguée » seulement. Et donc pas de maladie, pour pas l'effrayer. J'écoute donc ce qu'elle a dire par rapport au moment que son enfant veut : « Maman elle a écrit une histoire pour toi bonhomme et papa te la lira s'il le veut. » Je pense qu'elle pourra lui conter, sans aucun mal vu comment le dîner a soudainement eu une apparence beaucoup plus.. enfantine ! J'embrasse la joue de ma femme, avant de répondre : « Oh tu pourras t'en occuper ! Je croyais que tu voulais passer du temps avec Raffaele ! » Je m'approche de son oreille pour mumurer : « Pas un seul mot de la maladie dans ton bouquin ! Raffaele n'est pas au courant.. » Je me retire avant de commencer à m'éloigner pour pouvoir soupirer un moment. Raffy passera du temps avec maman, pour le commencement de son apprentissage !

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Le repas s'était plutôt bien terminé et même si Raffy n'avait pas le droit à une glace, il fut content qu'on lui propose un biscuit au chocolat. Il accepta et c'est alors qu'elle était à la cuisine pour le prendre que son homme vint la voir par rapport à l'histoire. « Pas un seul mot de la maladie dans ton bouquin. Raffaele n'est pas au courant. » « Tu lui as dit quoi jusqu'à présent ? » Fabio lui expliqua rapidement avant qu'elle ne retourne auprès du petit garçon pour lui donner son dessert. Le petit gâteau et un yaourt nature. Il engloutit tout ça rapidement avant de demander à sortir de sa chaise haute. « Viens mama. » Alaska était toujours aussi surprise et heureuse à chaque fois qu'il l'appelait "mama", elle adorait... Elle le suivit jusque dans sa chambre à l'étage et il se mit à déballer tous ses jouets pour lui montrer. Ce n'était pas le moment, elle essayait de lui faire comprendre, mais sans succès jusqu'à ce qu'elle lui rappelle l'histoire. Une histoire qu'il n'aurait que s'il passait au bain rapidement parce qu'il commençait à se faire tard. « Va bain mama. Vite ! » Raffaele vint se mettre devant elle en levant les bras pour qu'elle lui retire son tee shirt et elle le fit. Il se débrouilla tout seul pour son pantalon, même si ça mot un peu plus de temps. « Tu te débrouilles comme un grand. » Il sourit, fier de lui, avant de courir dans la salle de bain avec juste sa couche sur lui. Fin courir... Alaska le suivait sans peine car il vacillait encore un peu. Elle n'en revenait pas que d'ici peu il aurait deux ans. Son petit mec grandissait à une vitesse folle et elle avait loupé beaucoup de chose. Le grand italien les attendait dans la salle de bain, la baignoire avait un fond d'eau et des jouets flottaient. Raffy se fit retirer sa couche et pouf il partit faire trempette pendant qu'Alaska allait rejoindre les côtés de son mari. « Tu as été parfait avec lui depuis sa naissance. Tu es un papa fantastique. » La jeune femme le laissa s'occuper du bain, elle ne fit que regarder, parce qu'elle n'était pas au top de sa forme et qu'il s'agissait quand même d'un petit enfant dans de l'eau. Elle ne voulait pas qu'un malheur arrive par sa faute. Mais elle reprit les choses en main à partir du moment où Raffaele sortit de l'eau et se retrouva enroulé dans une serviette. Elle l'essuya, lui mit sa couche pour la nuit et le ramena dans sa chambre pour l'histoire. Il choisit un livre, mais une fois sous la couette il se mit à lui poser des questions. Des questions sur elle. « Maman elle va rester avec toi et papa maintenant. C'est pas parce qu'elle ne vous aimait pas qu'elle restait dans son atelier. Poussin, maman elle a eu un bobo au ventre. Un gros bobo que seules les filles peuvent avoir, mais maintenant c'est fini. Maintenant elle va bien et on va pouvoir faire pleins de bêtises avec papa. » Raffy lui fit un bisou sur le ventre avant de lui tendre son livre. Elle n'avait pas lu deux pages que déjà l'enfant ronflait alors elle sortit de la chambre en silence et partit à la recherche de son mari. Elle le trouva dans la salle de bain. Nu. Et ça lui fit de l'effet. Elle ne l'avait plus vu comme ça depuis des mois, si ce n'est des années. Alors forcément elle se sentit toute fébrile, appelé par une envie qu'elle avait cru partit depuis longtemps. « Il s'est endormi. Et je voulais savoir ce que tu voulais faire de la soirée... »

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Alaska and Fabio

Je lui ai seulement dit qu'elle était simplement « malade ». C'est pour qu'elle était fatiguée, et qu'elle venait pas beaucoup. Oui ça lui a fait bobo au cœur ! Comme apprendre que papa va bientôt voyager. Le travail m'a demandé récemment, et donc elle va devoir s'occuper de Raffy. Ou la nounou s'en occupera, cependant il commence à pleurer. Hélas, on ne peut tout le temps rester à « disposition », même quand on le veut. Il est un grand bonhomme, il acceptera mon départ, même si ça va prendre du temps. J'écoute Alaska par rapport à la « maladie ». « Tu lui as dit quoi jusqu'à présent ? » J'ai communiqué avec Barbara. Barbara ? C'est ma cousine enceinte depuis bientôt sept mois. Elle est venu pour me rappeler de l'anniversaire de la mort d'Emily. J'en ai profité d'évoquer comment expliquer à Raffaele la maladie de Alaska. On a instauré des règles importantes : aucune image choquante, aucun mots d'adulte, ou même trop brutal pour un enfant. Le principal : un langage qu'un enfant peut comprendre ! J'avais pensé à évoquer comme une bestiole qui mange, comme ça il comprendra comme ça marche, sans comprendre le risque important. Je ne veux pas qu'il est peur de perdre Alaska. Il serait complètement anéanti.. tout comme moi en ce moment ! « Je lui ai seulement dit que tu étais malade. Et que c'est pour ça que tu étais beaucoup fatiguée ! Je ne veux pas qu'il souffre autant que moi, en apprenant que sa maman risque de mourir ! » Le bout de chou l'attendait pour manger. Oh tient ça me rappelle que je mange pas beaucoup. Elle lui donna un biscuit, comme un yaourt nature pour le tremper. Il adore en mettre partout. Raffy le déglutit rapidement, avant qu'il demande à l'accompagner. Le bébé voulait montrer sa chambre, que mamie remplit en l'achetant des vêtements. Et des jouets également, pour montrer qu'il a été vraiment courage. « Viens mama. » Il déballa les jouets, comme je m'y attendais. Le temps de lui préparer son bain, en commençant de lui expliquer qu'il était de prendre le bain rapidement. Alaska pourra lui raconter son bouquin, et me permettre de me reposer dans mon bain !

Le petit compris en rajoutant : « Va bain mama. Vite ! » Il leva les bras pour qu'on lui retire le vêtement, en exécutant la demande de l'enfant. Le reste était simple, cependant la couche était beaucoup trop compliqué. Le scotch empêchait de l'enlever. « Tu te débrouilles comme un grand. » Il se mit à sourire à sa maman, avant de me rejoindre. Le rire venait tout seul, car si quelqu'un entrait, on verrait un bout de chou tout nu ! Il y a seulement la couche qui le protégeait. J'avais tout préparé avec les jouets, puis la climatisation de l'eau pour bébé Raffaele ! On commence par enlever sa couche, avant de l'envoyer direction : Corbeille ! Et le voilà que je le porte pour mettre doucement pour le moment du bain. « Tu as été parfait avec lui depuis sa naissance. Tu es un papa fantastique. » Je me met à sourire. Le compliment me comble beaucoup. Je profite du moment pour l'avertir qu’elle va devenir une maman « merveilleuse » : « Merci beaucoup, mon amour ! Tu vas le devenir aussi ! J'en suis sûr ! » Là on débute l'amusement comme auparavant. Un moment de pur bonheur. Je me suis toujours mouillé cependant. Comment se méfiait de l'eau avec Raffy : « Attention capitaine ! L'eau montre rapidement.. On va tous se noyer ! Nooon ! » « vai auvé ! » « Oh oui sauvez-nous capitaine ! » Il se mit à rigoler, avant de sauver le bateau qu'on avait noyé pour le sauvetage ! Là il se met à éclabousser tout le monde, en sautant pour montrer qu'il est content ! Okey, je vais me prendre un bain. Je me mis à rigoler avant d'entendre les mots magique : « ze t'aime papa ! » « Moi aussi bonhomme ! » Je l'embrasse sur le front, même quand je le gronde. Il sait que c'est pour son bien, et donc il ne m'en veut pas beaucoup. Il comprend quand même pourquoi, et se met à se comporter comme un grand.

Je le sorti de la douche pour que maman l'essuie convenablement, avant que le bonhomme soit sur le matelas, pour montrer le bouquin. Il avait cependant beaucoup de questions. Je peux le comprendre cependant maintenant elle ne nous abandonnera plus ! Je me préparai mon bain moussant, pendant qu'elle lui contait, ou même le rassurer pour sa « disparition ». J'aurai aimé voir le moment comment elle expliqua pour le bobo, et comment il l'embrassait. Cependant beaucoup de trop chose m'ont perturbé en ce moment. Le petit s'était endormi, et elle commença à me chercher. La douche c'est le meilleur endroit pour me reposer, avec la musique comme le bain moussant. Je déboutonne mon chemisier, pour ensuite déboutonner mon pantalon. Le sous-vêtement termina au sol, avant de reporter mon attention sur Alaska. Qui m'avait apparemment vu ! Je me met à sourire pour répondre : « Il s'est endormi. Et je voulais savoir ce que tu voulais faire de la soirée... » Je m'approche d'elle à ce moment, pour remonter son beau visage, en lui demandant : « Je comptais me prendre un bain ! Tu peux te joindre à moi, si cela te dit ! » Là j'entre d'abord mes pieds, avant de faufiler lentement dans l'eau à bonne température. Je soupire de plaisir, en fermant les yeux, tout en gardant un œil sur Alaska. Il faudra bien qu'on reprend nos moments ensemble, non ? Je dépose ma tête sur la bordure du bain, en reportant mon attention sur Alaska pour la voir dénudé devant moi. Je suis quand même un homme non ? Je commence à la prendre contre moi doucement, son dos contre mon ventre, ce contact m'avait beaucoup manqué. Là je viens de remarqué qu'elle ne voulait pas s'éloigner de la perruque un moment. Je demande à ce moment avec une moue : « Tu veux bien me rendre un service. Est-ce que tu pourrais enlever ta perruque ? Je veux te voir sans.. Car pour moi, tu seras toujours belle ! »

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Raffaele s'était endormi sans soucis et Alaska était partie à la recherche de son mari. Elle l'avait vite trouvé dans la salle de bain où il était nu. Complètement nu. Il lui faisait toujours autant d'effet, son corps musclé, son sourire d'ange, ses yeux expressifs... Elle avait beau tout avoir fait pour s'éloigner de lui, elle n'avait jamais arrêté de l'aimer, ni même de le regarder. Fabio entra dans l'eau du bain et s'installa. La brunette n'avait pas manqué une seconde du spectacle. Et comme il lui avait proposé de venir avec lui, elle commença à retirer ses vêtements. Elle essayait de se cacher en se mettant de dos, elle fit pareil en entrant dans l'eau et ramena la mousse vers elle pour qu'il ne puisse pas la voir - même si elle était contre lui -. « Je veux te voir sans. » « Pardon ? Je peux pas... Tu ne peux pas me demander ça Fabio. » Alaska se tourna pour pouvoir le voir et elle vit qu'il était sincère. Qu'il la trouverai toujours belle, alors avec hésitation, elle retira sa perruque. Son crane n'était plus recouvert que par une fine couche de cheveux brun, qui se battaient pour repousser malgré la chimio. « Je suis désolée d'être si... si moche. » Elle se leva d'un coup et sortit de l'eau. Elle ne pouvait pas accepter qu'il la voit comme ça, sans cheveux, si faible, si pâle... « Faut que je la remette. » Devant le miroir, elle essayait, mais ses mains tremblaient, elle n'y arrivait pas. Elle craqua et laissa les larmes couler sur ses joues. C'était l'émotion de la journée. La fatigue de la chimio. Le bonheur d'avoir eu Raffaele avec elle pour l'heure du coucher. Puis Fabio... Fabio qui lui laissait cette deuxième chance. Il y avait beaucoup trop de chose pour une seule journée. « J'ai l'impression que ça ne repoussera jamais. » La jeune femme, qui avait plus ou moins remis sa perruque - elle était un peu de travers - s'assit sur le bord de la baignoire et caressa la joue de son homme avant de glisser sa main dans ses cheveux. « C'est pour ça que j'ai voulu te laisser passer à autre chose après la naissance de Raffy. Parce que je n'étais plus la femme que tu as épousé. Je perdais tout. Physiquement et moralement. Je me voyais mourir et je ne voulais pas t'entrainer dans cette spirale avec moi. »

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Je ne comprend pas. Me crois-t-elle stupide pour me moquer ? Désolé, mais mon comportement n'est pas à ce point lamentable ! Elle m'a tout appris, comment survivre à la maladie, ou comment tu te rend compte de ce que tu as, uniquement quand tu le perds. La vrai beauté c'est celle du cœur, le physique n'est que superficiel. On prend quelqu'un pour son tempérament, peut-être pour son physique cependant c'est « secondaire ». La chevelure est vraiment qu'un élément, comme un accessoire important – pour les femmes – Les femmes quand même ! Je soupire donc quand elle me répond « Pardon ? Je peux pas... Tu ne peux pas me demander ça Fabio. » Je la vois un moment hésité, quand elle a compris que mes sentiments sont vraiment « sincère ». Mon sourire s’agrandit, quand elle enlève complètement sa perruque. Les yeux devinrent beaucoup plus rond, à l'énorme connerie qu'elle commence à dire sur le coup. Les femmes vraiment, par moment elles sont vraiment compliqués ! Je manquais même de m'étouffer, en voyant qu'elle le pensait énormément. « Je suis désolée d'être si... si moche. » « Je suis désolé que tu le penses vraiment.. Car tu n'es pas moche, Alaska ! Les cheveux sont rien comparé à la vrai beauté ! Celle qui vient du cœur.. » Je la vois bondir pour sortir rapidement la récupérer. La voilà quand même inséparable de s'éloigner un moment de la perruque. Bon, il me reste plus qu'à me raser comme ça, elle comprendra vraiment. Je tourne légèrement ma tête, avant de la prendre tout de même contre moi pour montrer que je suis « présent ». Je veux la rassurer et montrer que maintenant personne nous séparera ! « Faut que je la remette. » « J'irai au coiffeur demain pour me raser ! Qui sait peut-être que tu me trouveras moche ! Je l'ai déjà fais pour Emily donc cela me dérange pas ! Et je serais vraiment prêt à tout pour toi ! »

Ca me fait beaucoup de peine de la voir dans cet état ! Je pose mes mains sur ses mains tremblantes, en le serrant doucement. Ola ça va beaucoup trop loin, elle se met à pleurer maintenant. Je me met en face d'elle, avant d'essuyer doucement les goûtes d'eau. Je caresse sa joue tendrement, en posant son front sur mon torse, en la berçant lentement. « Chut. Je suis là, mon amour ! » Il faut le temps à tout, même si ça prend du temps. Ca va pousser sinon y a des médicaments qui aident la pousse de la chevelure ! Et même si c'est beaucoup plus dur pour Alaska – ou les femmes -. On se fit pas beaucoup, car pour nous le plus important c'est pas qu'une chevelure importante ! Je me remet dans le bain, en prenant sa main pour qu'elle m'accompagne. « J'ai l'impression que ça ne repoussera jamais. » Je comprend, cependant ça repoussera comme tout. Moi aussi par moment mes plantes ne poussent pas énormément, mais avec beaucoup d'amour, du soleil, comme de l'eau ! « Ca prend seulement du temps comme tout ! » Elle a remis sa perruque, en se mettant au bord pour me caresser ma joue, en passant une main dans mes cheveux. Le truc que j'ai du mal à digérer c'est qu'elle croit qu'elle a beaucoup changé. Et que je ne l'aurai pas accepté, cependant elle a tord comme depuis le début de la conversation ! Elle m'y a entraîné malgré tout, cependant ça m'a rendu beaucoup plus fort ! J'ai même accepté le fait qu'elle aurait pu être déjà morte !

Quoique Aby dirait sûrement que je n'aurai surement pas accepté, vu comment j'ai mal pris le décès d'Emily. Il ne faut pas croire je me suis quand même bien en sorti. « C'est pour ça que j'ai voulu te laisser passer à autre chose après la naissance de Raffy. Parce que je n'étais plus la femme que tu as épousé. Je perdais tout. Physiquement et moralement. Je me voyais mourir et je ne voulais pas t’entraîner dans cette spirale avec moi. » Je fais semblant de tousser, alors que moi aussi j'avais changé de comportement. Elle aurait pu vouloir me quitter, comment mon tempérament avait commencer à la blesser ! Là je la soulève pour qu'elle me rejoint comme auparavant, contre mon ventre, et la serrer doucement contre moi, en embrassant son cou : « Tu as tord. Tu es toujours la femme que j'ai épousé ! Et tu me l'as prouvé aujourd'hui ! Tu aurais pu sûrement me quitter.. Comment j'ai changé. Je t'ai beaucoup blessé.. Je m'en veux beaucoup cependant ! Tu m'as quand même entraîné ! Car je m'inquiétais constamment pour toi.. Et depuis un moment je commence à manger peu ! J'aurai voulu être présent pour tous tes moments dur.. Ca me rend malade de pas t'avoir rendu heureuse ! Alors que c'est mon devoir.. » Je la serre un peu plus fort, en sentant son odeur m’imprégnait pour me rassurer comme me dire qu'elle est « vivante ». Et que je ne rêve pas, que même demain. Je la retrouverai ensemble ! Je m'approche de son oreille pour lui murmurer : « Laisse moi te montrer que tu es toujours belle à mes yeux ! Et promis ca se terminera pas comme à notre rencontre ! » Je souris amusé, par ma réplique comme étant donner que c'était aller beaucoup plus loin. En même temps comment résister à une telle femme ! Je caresse doucement son bras, en embrassant tendrement son dos.

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« J'irai au coiffeur demain pour me raser. » « Ne fait pas ça s'il te plait. Tu dirais quoi à Raffy ? Les cheveux pour une fille c'est différent de pour un homme. Pour nous c'est une preuve de notre féminité... Je ne plus vraiment une femme depuis qu'on m'a retiré mon utérus. Je ne peux même plus te faire d'enfants. » Alaska était dure avec elle même, mais lorsqu'elle vit que Fabio en souffrait, elle remonta sa garde pour prendre à sa place. Elle oublia ses peurs et retourna dans le bain avec lui en retirant sa perruque. Il aurait peut être plus facile d'accepter les choses, si elle s'acceptait elle même. Cependant elle ne s'attendait pas à ce qu'il avoue l'avoir blessé en agissant comme il l'avait fait. Pas ce soir. En fait jamais... Mais ça faisait du bien de l'entendre le dire. « Je ne peux pas t'en vouloir d'avoir eu besoin d'être dans les bras d'une autre femme. Tous être humain à besoin de relâcher la pression de temps à autre. Non, ce qui m'a blessé quand je suis tombée sur Marian, c'est que je t'ai entendu lui dire "je t'aime". » Enfin elle le lui disait calmement. « Et je veux être la seule femme que tu aimes. » Murmura-t-elle en venant effleurer les lèvres de son mari avec les siennes. Elle se recula de quelques centimètres pour lu sourire avant de revenir pour l'embrasser, lui mordiller la lèvre inférieur pour qu'il laisse sa langue entrer en contact avec la sienne pour danser un ballet passionné. « Parce que je t'aime. » Alaska ne tenait plus, elle avait envie d'être avec lui. En tant que mari, mais surtout en tant qu'amant à cette seconde précise. Son bassin se frottait contre le sien, emprisonnant le désir tendu de son homme. Il semblait tout aussi envieux qu'elle à l'idée de retrouver leur complicité sexuelle. « Dit moi que tu m'aimes ! Dit moi que tu m'aimes et je te laisserai faire ce que tu veux avec moi... Tout ce que tu veux. » Son regard était joueur, elle flirtait avec lui pour qu'il soit le plus rapidement possible dans le même état d'excitation qu'elle. « Et si t'es sage je ferais ce truc que t'aimais tant avant ... Tu sais, avec ma langue... »

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Je vais vraiment montré mon côté masculin, cependant quand on communique de femmes. Le mots qu'on dit tout le temps : « une femme avec une belle poitrine, et des hanches généreuses ! ». Oui, on regarde d'abord la silhouette d'une femme, avant de descendre. Ahah Raffy. Il m'a déjà vu sans beaucoup de cheveux. Le bonhomme comprendra. Ou je dirai que j'ai trop chaud ! Je soupire, elle est vraiment dure. On a déjà Raffaele. Il me suffit amplement. Je préfère qu'on lui retire que de la perdre complètement. La vie est beaucoup plus importante, qu'un désir ardent de pouvoir « procréer ». « Ne fait pas ça s'il te plait. Tu dirais quoi à Raffy ? Les cheveux pour une fille c'est différent de pour un homme. Pour nous c'est une preuve de notre féminité... Je ne plus vraiment une femme depuis qu'on m'a retiré mon utérus. Je ne peux même plus te faire d'enfants. » « Je trouverai bien quelque chose ! Tu as tord.. Je parle de la plupart des hommes, mais la preuve de féminité d'une femme c'est la « poitrine » ! La femme c'est beaucoup plus que ça ! Le charme, la silhouette, les maquillages, les vêtements, une personnalité, une certaine jalousie, etc … La mode d'aujourd'hui y a beaucoup de femmes qui se rasent les cheveux ! Tu m'as déjà donné un enfant : Raffaele ! Je préfère qu'on te l'ai retiré que.. te perdre complètement ! » Je la regarde me rejoindre, en retirant sa perruque comme demandé récemment. Mon sourire s’élargit, en acceptant de se donner comme ça. Et pour me montrer qu'elle en était uniquement capable pour moi. Ça me touche beaucoup. Alaska évoqua pourquoi elle voulait que je « recommence ». En prime, je me confia par rapport à mon comportement, en avouant avoir volontairement « blessée ». Il m'a fallut beaucoup de temps, avant d'avouer mon erreur. Je n'en pouvais de la voir mort-vivant, le seul moyen pour vraiment la bouger. C'est de me déclarer à quelqu'un. J'avais donc réussi, cependant elle en avait beaucoup souffert ! Julian me tuera en apprenant que j'ai trompé Alaska. La mort m'attend au bout du chemin, comme quand Aby la rencontrera !

Oui mais quand on est marié. On n'a pas besoin de relâché la pression. Ou seulement avec l'alcool. La tromperie n'est pas un moyen de relâcher la « pression ». Il cause uniquement la douleur, et la rupture de beaucoup de mariage, comme de couple. J'ai eu de la chance d'être épargné ! Je m'en doute que le « je t'aime » l'a beaucoup heurté ! « Je ne peux pas t'en vouloir d'avoir eu besoin d'être dans les bras d'une autre femme. Tous être humain à besoin de relâcher la pression de temps à autre. Non, ce qui m'a blessé quand je suis tombée sur Marian, c'est que je t'ai entendu lui dire "je t'aime". » Je m'en veux beaucoup. Il n'y a rien qui pourra me pardonner. On ne peut même pas retourné auparavant. Comment peux-t-on me pardonner ? J'aurai dû me retrouver seul. « Tu aurais dû cependant. Je n'aurai pas du te tromper ! Le pire c'est que c'est loin de me ressembler ! Je t'en voulais tellement que je voulais me « venger » ! La seule solution qui a pu vraiment te réveiller de ton sommeil.. C'est de m'entendre dire à quelqu'un « Je t'aime ! ». Je ne ressens rien pour Marian. Je me suis seulement.. servi d'elle pour t'atteindre uniquement ! » Je me mis à sourire en entendant ce qu'elle rajouta, au précédent mots par rapport à mon « erreur ». Il n'y a qu'elle que j'aime vraiment, et je comprend qu'elle est dû mal. J'ai avoué pour me venger d'aimer quelqu'un – sans vraiment avoir des sentiments -. Je plonge mes yeux dans son regard, avant de l'embrasser tendrement. « Et je veux être la seule femme que tu aimes. » « Il y a toujours eu que toi, ma chérie ! Pourquoi crois-tu que je suis là, sinon ?! » La distance de ma bouche contre la mienne, me coupe quasiment ma respiration. Ca m'a beaucoup manqué. Les moments ensemble, comme ceux de notre complicité sexuelle. On dirait vraiment que rien n'a vraiment changé. Je hausse un sourcil, en voyant qu'elle commence à se reculer.

Je n'en fus que plus surpris, en remarquant son sourire, qui me comblait de bonheur. Je passe ma main dans son dos pour la coller contre mon corps, en prolongeant le baiser passionnément. La langue entra pour rejoindre la sienne, pour commencer une danse harmonieuse ! « Parce que je t'aime. » « Je t'aime encore plus, mon amour ! » Il ne faut pas commencer. Je sens qu'elle frotte son bassin contre le mien. Ça me fait beaucoup d'effet ! Le manque, comme les bouquins érotiques m'ont pas énormément aider ! Je me mords la lèvre à ce moment, pour contrôler mes pulsions, comme étant beaucoup plus entraînant qu'à notre rencontre ! Je sens déjà que mon membre commence à durcir. Oh god, aussi rapidement ! Je tuerai pour pouvoir combler ma femme sexuellement. Je ne veux pas la brusquer cependant. « Dit moi que tu m'aimes ! Dit moi que tu m'aimes et je te laisserai faire ce que tu veux avec moi... Tout ce que tu veux. » « Je t'aime. Te amo. I love you. Te quiero. Ti voglio, amore mio! » Je dépose un baiser au creux de son épaule, avant de mordiller légèrement. Le regard se posa sur son corps de déesse qui commence à me rendre complètement fou. Je baisse ma bouche pour embrasser l'entre croisement de sa poitrine, pour remonter à sa bouche doucement. Ma main descendit pour effleurer doucement la courbe de son corps qui commençait à onduler devant mon doigt. La seconde caressa une jambe puis la seconde, en griffant par moment par excitation. Le regard joueur m'appelait comme pour me demander d'aller beaucoup plus loin ! Il ne faut pas me le demander deux fois cependant ! « Et si t'es sage je ferais ce truc que t'aimais tant avant ... Tu sais, avec ma langue... » On ne peut pas refuser dans des moments pareil. Je commence sourire machiavéliquement, comme elle ne sait vraiment pas ce qui pourrait lui attendre ! Je dépose un baiser sur sa poitrine, pour remonter doucement à sa mâchoire. Et je m'amuse à lui répondre : « Je le serais alors ! » Ou pas. Je sens déjà que ma main caresse doucement sa poitrine, avant de venir lui murmurer le « Ti voglio, amore mio ! » pour qu'elle comprenne la traduction, qui devait être sûrement incompréhensible : « Amore Mio ! Ti voglio ! Ca veut dire « Je te veux » en italien ! »

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« Je t'en voulais tellement que je voulais me venger. » Alaska le savait. Elle l'avait poussé à aller voir ailleurs et il avait fini par le faire. Parce que son mal être s'était transmit. Il avait perdu espoir histoire d'une seconde. « C'est finis. » Murmura-t-elle en posant ses lèvres sur les siennes. Elle se faisait de plus en plus câline et il répondait de manière similaire, alors elle ne s'arrêta pas. Son bassin ondulait contre le sien et petit à petit un sourire se frayait un chemin sur son visage. « Suit moi. » Il lui promettait d'être sage alors elle allait lui offrir ce qu'il aimait tant, mais elle ne pouvait pas le faire là, dans l'eau. De toute façon elle voulait que ces retrouvailles se fassent dans le lit conjugal. Ce même lit où pendant des années ils avaient partagé leur amour. Elle sortit de l'eau et s'enroula dans une serviette sans le quitter une seule seconde du regard - elle préférait le voir lui plutôt que de croiser son reflet dans le miroir -. Elle le taquina quand il sortit à son tour de l'eau, mais c'était surtout pour cacher le fait qu'elle le matait et qu'elle aimait ce qu'elle voyait. Alaska se mordilla la lèvre avant de céder à ses envies et de se mettre à genoux devant lui. Elle ne tenait plus. Elle vira la serviette qu'il venait tout juste de mettre autour de sa taille et posa ses mains en haut de ses cuisses. « T'as été tellement sage que je ne peux pas attendre d'arriver au lit. » La jeune femme se mit à embrasser la cuisse de son homme, remontant doucement en mordillant gentiment la peau avant d'atteindre le membre tendu de celui ci. Il répondit en frissonnant avant de grogner quand elle le prit dans sa bouche. Alaska s'appliqua à lui donner du plaisir jusqu'à ce qu'il ne l'arrête. Il ne voulait surement pas finir comme ça. Elle comprenait. D'un coup elle se retrouva dans les bras de son homme, plaqué contre la porte de la salle de bain. C'était bien loin de ce qu'elle avait en tête, mais tellement mieux. Son homme était passionné et elle pouvait le voir à présent. La jeune femme enroula ses jambes autour du bassin de Fabio. « Ne t'arrête jamais de m'aimer comme ça. »

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Alaska and Fabio

Je sais pourtant ça me fait mal. Elle m'a poussé pour recommencer. Le problème c'est que je n'aimais qu'elle uniquement. Et il m'était impossible de vouloir quelqu'un. Je l'ai même considéré comme « décédée » pour me protéger de la douleur. Ça n'a aucun effet. Je la voyais, communiquais, et ma douleur se prolongeait. La seule solution c'était de me « venger ». J'ai donc couché avec Marian. Aucune réaction. Je l'ai donc dit « Je t'aime » pour montrer ma douleur, qu'elle comprend mon mal. « C'est finis. » Je me senti comme apaisé par aux doux murmure. Le jeu faisait uniquement que de commencer, en prenant chacun son tour au provocation. Je regarde son corps onduler au mouvement du mien, quand un sourire se fraya. Là elle se stoppa, pour continuer sûrement autre part, ou on sera beaucoup mieux. Le meilleur endroit pour moi c'est la « piscine », parce qu'une femme en maillot c'est vraiment beau ! « Suit moi. » Cela risque de beaucoup m'intéresser ! Le matelas risque d'être mouvementé pendant un moment, ça manquait sûrement d'animation ! Je ne quitte pas son regard, en la regardant s'éloigner, entourant son corps de déesse pour protéger le sol, comme Raffy de voir son parent dénudé. J'en prend une pour mettre autour de ma taille, mon regard charmeur intervient, au moment ou elle s'amuse à me taquiner ! La belle se mordit la lèvre, craquant pour se mettre à genoux, devant moi pour commencer de longue minute interminable. Qui allait m'achever pendant longtemps ! La serviette s'envola soudainement : « T'as été tellement sage que je ne peux pas attendre d'arriver au lit. » Je frissonna au contact de sa bouche, contre ma peau, fermant les yeux pour mieux savourer. Elle mordilla gentiment me tirant un grognement, sous l'excitation, avant de sentir que ma femme prendre en bouche mon membre. Je me mords la lèvre, en échappant quelques gémissements. La gorge bloquait pour pas réveiller le bonhomme, cependant mon ventre ondulait au mouvement des va et vient qu'elle avait débuter.

Je la stoppe pour que ça se termine pas comme ça. Les bras entourèrent, avant de la coller doucement contre la porte. Je débute à embrasser son cou, donnant quelques coup de dents. Je dépose une ribambelle de baiser, en descendant pour embrasser son épaule, sa poitrine, y donnant quelques coup de langue, descendant pour terminer à son ventre. Elle enroula ses jambes autour de mon bassin, avant de me répondre : « Ne t'arrête jamais de m'aimer comme ça. » « Je n'ai cesser de t'aimer comme ça, mon amour ! » Je passe ma main le long de son corps, pour me stopper à ses mamelons, pour s'amuser avec avant que ma bouche remplace ma main qui eux se stoppèrent au pubis d'Alaska. Caressant lentement cet endroit érogène qui risquait de tout chambouler ! Je me met à remonter à son oreille, pour venir lui murmurer : « Han.. Alaska ! » Le corps ondulait au même mouvement que le sien, qui durcissait mon membre déjà tendu. Le plus dur étant de ne pas craquer maintenant. Je viens rajouter par rapport à notre rencontre : « J'espère que demain tu n'auras pas disparu ! » La main entra en douceur pour ne pas la brusquer, comme étant donner que cela remontait à beaucoup plus de deux ans ! La dernière fois que nous avons eu un débat. Je ne voudrais pas réveiller une douleur de l'opération. Je dois cependant lui demander, pour me rassurer qu'elle n'endurera aucune douleur de ma part : « Si cela fait mal, chérie ! Tu n'hésites pas à me le dire ! J'arrêterai au son de ta voix.. » Le doigt seulement y entra doucement, avant que ma bouche remonta à sa bouche pour embrasser. Je ferme les yeux, en laissant couler une larme de bonheur pour ce moment parfait ! En au cas ce moment doit être perturber. J'ai vraiment de l'avoir pour moi, pour comprendre qu'elle est revenue pour toujours. Et que si vraiment on doit parcourir une nouvelle étape ensemble, on sera unis par le danger, comme l'amour ! Et elle aura moins peur du coup, et cela pourrait la rassurer ! Je veux être présent à n'importe quel moment de sa vie.

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« Je n'ai cesser de t'aimer comme ça, mon amour ! » Fabio avait trouvé les mots pour qu'elle soit entièrement à sa merci. Il avait le contrôle, le pouvoir sur elle et elle aimait ça. Beaucoup ! Toujours collée contre la porte de la salle de bain, son souffle se fit plus court lorsqu'elle sentit qu'il se mettait à la caresser entre ses cuisses. Elle s'agrippa à lui de peur que ses jambes arrêtent de la porter tellement le plaisir qui venait était... C'était indescriptible. Alaska se remit à l'embrasser, son visage, son cou, son torse. Tout ce qui était à sa hauteur avant de revenir sur ses lèvres pour étouffer un cri de plaisir. « Je veux finir ça dans notre lit. » Dit elle en redescendant doucement sur terre. Leur lit était le lieu où ils se prouvaient leur amour depuis le début, elle voulait y retourner pour la symbolique. Alors elle entrouvrit la porte et vérifia que celle de Raffy était toujours fermée avant de courir jusqu'à leur chambre avec son homme. Toujours nus. Elle les enferma et avec un sourire prédateur poussa Fabio jusqu'au lit pour pouvoir le chevaucher sans qu'il ne puisse rien y faire. « Ce soir, je domine. » C'était le meilleur moyen de lui prouver qu'elle était plus en forme qu'il ne se l'imaginait. Alaska se remit à onduler du bassin sur lui, comme un peu plus tôt dans la baignoire, avant de le laisser venir en elle. Étranges et agréables sensations qui la firent se tendre, chercher de l'air. Pendant quelques secondes elle fut perdue dans ce qu'elle avait cru ne plus jamais avoir. Fabio lui attrapa les hanches et l'aide à bouger. Il savait exactement ce qu'ils voulaient et la brunette ne mit pas longtemps avant de sentir des petits papillons dans son bas ventre. Puis d'un coup elle se mit à gémir, puis grogner et elle finit par mordre dans un oreiller pour laisser exploser son plaisir dans un cri guttural qu'elle ne s'était jamais laissée aller à faire. « Ne t'arrête pas ! » Lui ordonna-t-elle en le laissant revenir sur elle pour qu'il puisse reprendre les choses en main. Elle savait que son homme aimait avoir le dessus et mener la danse. Il aimait être celui qui l'amenait à l'orgasme. La fierté masculine...

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Alaska and Fabio

« Tu sais quel est le plus bel endroit pour te combler ? » « Non, lequel ? » « La mer sous un couché de soleil ! » Le premier amour d'été. Ou le meilleur moment ou t'aimerais coucher. Car il n'y a pas plus romantique qu'un couché de soleil. Il embellit la femme, comme il la protège du lendemain ! Parce qu'on aimerait que le temps se stoppe à ce moment. Qu'on profite de tout ce qu'on nous a donné ! Oui, ma cousine m'a même remarqué que j'avais commencé à tomber uniquement sur des femmes « vierges ». Je me revois encore me rappeler : « Tu le fais exprès ou quoi ? » « De quoi tu parles ? » « Elle est vierge, bordel ! Tu te rend compte que tu viens détruire quelque chose.. Car elle va tout te donner, alors que tu vas partir, Fabio ! » « J'y peux rien, merde ! Je n'ai aucun contrôle sur mes sentiments, ou sur qui je vais tomber amoureux ! » « On doit partir, Fabio ! On ne peut pas rester plus longtemps ! » Et pouf me revoilà seul, avant de tomber amoureux de Alaska. Heureusement qu'elle ne sait pas qu'elle était « vierge ». Je risquais de me faire encore gueuler. On rien d'important, cependant son comportement change depuis qu'elle est tombé enceinte. Alaska c'est mon âme sœur ! Je n'ai rien donc perdu en lui retirant.

Je sentis son souffle court, qui me montrait le chemin pour continuer ce débat romantique. Elle en était même à s'agripper à moi, par peur de chavirer sur le sol brutalement. La bouche de ma femme traçait son chemin sur mon visage, en descendant à mon cou, pour se stopper à mon torse. Je me mordis à cet instant ma lèvre, en fermant les yeux pour savourer chaque moment qu'elle me donnait. Le gémissement s'échappa de ma bouche, comme prisonnier de mon propre plaisir qui ne demandait seulement à s'évader. Là elle commença à vouloir repartir dans notre chambre pour terminer notre débat. C'est vrai que c'est là que tout à commencer, et qu'on a eu beaucoup de débat. Comment pourrais-je oublier ? « Je veux finir ça dans notre lit. » Elle galopa comme une jument, en oubliant complètement sa perruque. Je remarque toujours ce détail. Ça me plaît beaucoup. Je la vois comme à notre rencontre. Et surtout beaucoup plus forte, et combattante qu'elle semble nous le montrer. Car si vraiment elle aurait « abandonné ». Peut-être aurait-elle disparu ! Elle vérifia la porte de Raffy, en courant ensemble pour terminer ce qu'on avait commencer. La porte se retrouvaille verrouiller, Alaska avait un sourire prédateur, que comptait-elle me faire ? Je me retrouve propulser jusqu'au matelas pour qu'elle me chevauche. « Ce soir, je domine. » Je croyais que la chimio avait rendu complètement.. faible ? Le sommeil a été vraiment récupérateur. Le bassin se remit à onduler, avant que mon membre entra doucement pour commencer les mouvements. Le torse ondule, pendant que mon regard observa Alaska, avant d'embrasser fougueusement. Je lui attrape les hanches, pour qu'on s'aide mutuellement à bouger. J'embrassais ma femme amoureusement, pour étouffer un gémissement, qui commençait à se rapprocher. La voir comme ça me comble de bonheur. Les gémissements, et grognements me donnent envie de prolonger, comme d'entendre mon prénom.

Quoi c'est typiquement masculin ! On aime entendre les gémissements et grognements de notre amante ! « Ne t'arrête pas ! » Je ne comptais pas m'arrêter maintenant. Je veux prolonger aussi longtemps que mon corps pourra continuer à débattre sur ce moment tellement parfait. En plus je reprend le contrôle, cependant il manque quelque chose : « du nutella, et de la chantilly » pour manger comme pour goûter. Je reprend donc le contrôle, en reprenant de caresser le corps de mon amante, avant de donner quelques coup d'ongles, sous excitation qui me rend par moment un peu « sauvage ». Je n'ai pas encore remis mon membre, par je voudrai d'abord la torturer lentement, pour profiter un maximum. Ma bouche donc descend à son cou avant de murmurer : « On va s'amuser un peu, princesse ! » Je l'embrasse tendrement, en descendant pour déposer sur chaque partie de son corps de déesse un baiser brûlant. Je mordille doucement sa peau, comme si elle était devenu cassable soudainement. Mes yeux deviennent joueurs quand je vois les mamelons de ma femme. Ma langue sortit pour remonter, pour mordiller légèrement ses mamelons. La main était descendu au croisement des jambes, pour observer avancement de la torture. C'est uniquement à ce moment, qu'il entra de nouveau pour reprendre les mouvements, en accentuant un peu, prenant sa main dans ma main pour la serrer quand le plaisir commençait à montrer rapidement. J'essaye de m'abaisser pour venir gémir son nom : « Haaan.. Alaska » Et quelques autres au prochain qui était sûrement une déclaration « Je... t'ai.. t'aime ! » J'avais du mal à me contenir maintenant. Le fait d'attendre longtemps pour pouvoir avoir de nouveau des débats ! Je vais d'abord attendre qu'elle termine, avant de pouvoir éjaculer. Là je me dis que c'est peut-être moi qui est.. donner le cancer de l'utérus ! Car ca se transmet par relation sexuelle ! Elle ne pourra pas me pardonner..

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Alaska n'avait connu qu'un seul homme dans sa vie. Fabio. Il avait été le premier et serait le dernier, elle ne comptait pas aller voir ailleurs car il la comblait. C'était rare de nos jours, c'est vrai, mais elle n'avait jamais souhaité être proche d'un autre homme après l'avoir rencontré. S'il n'était pas revenu, elle aurait peut être fini vieille fille avec pleins de chats. Ou peut être se serait elle mise avec un homme qu'elle n'aimait pas vraiment pour satisfaire son désir d'enfant. Dans tous les cas, elle n'aurait pas été aussi heureuse que maintenant, car malgré les bas, elle aimait toujours son homme.
La brunette avait voulu dominer la situation en le chevauchant, faisant onduler son corps sur le sien, mais bien vite elle avait voulu retrouver les mêmes sensations qu'avant. Avant tout ces problèmes qui les avaient éloigné. Elle le voulait sur elle. Elle voulait ses mains sur son corps. Elle voulait qu'il prenne le dessus et qu'il les amène au plaisir ultime comme il savait si bien le faire. « On va s'amuser un peu, princesse. » Lui murmura-t-il à peine la position changée. Fabio la regardait avec des yeux joueurs et elle comprit très rapidement pourquoi. Il voulait titiller toutes ses zones érogènes. Les plus basiques comme ses lèvres, sa poitrine, sa féminité, mais aussi les zones bien à elle qu'il était le seul à connaitre comme ce petit carré de peau juste sous sa mâchoire, la base de sa clavicule, le creux de son poignet... « Fabio ! » Grogna-t-elle impatiente. Elle fut vite récompensée. Son homme donnait des coups de bassins réguliers, puissants et elle ne quittait plus son regard. La belle devait se mordre la lèvre pour ne pas être trop bruyante et bientôt elle eu un gout métallique dans la bouche. Mais l'inévitable arriva, elle eu son orgasme. Fabio ralentit pour l'accompagner dans son plaisir avant de reprendre une cadence très rapide pour jouir à son tour. Ils se retrouvèrent alors allonger l'un sur l'autre, brûlants, le souffle court... Mais l'aura "après sexe" qui les entourait était divine. Alaska ne s'était pas sentie aussi bien depuis longtemps. Elle se sentait femme... plus que jamais. Elle avait presque envie de le remercier, mais elle savait que ce n'était pas une chose qui se faisait alors elle se contenta de le remercier avec un énorme sourire sur le visage. Ca ne dura pas, car à peine deux minutes après qu'ils se soient posés sur le lit, leur fils se mit à hurler. Surement un cauchemar. En fait elle n'en savait rien, car elle n'avait jamais eu à gérer une situation comme celle ci. « Tu devrais y aller. »

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Alaska and Fabio

Je l'ai prévenu qu'on attendrait. Le plaisir de torturer physiquement, quelqu'un qu'on aime beaucoup. Je caressais doucement les zones érogènes, mais également les zone de ma femme, pour pouvoir entendre finalement : « Fabio ! » Le bonheur d'entendre son prénom. Alaska restera toujours Alaska. Elle est toujours aussi impatiente. Je repris où on en était, donnant quelques coups de bassins, comme de reins. Son regard me quittait plus, même si mon corps s'enflammait et que ma respiration était beaucoup plus courte. Tandis qu'elle se mordit la lèvre pour pas entamer de long gémissement, qui pourrait perturber le sommeil de Raffaele. Et seulement au bout d'un moment, elle se mit à jouir, quand je ralentis pour l'accompagner dans son plaisir. Avant que je me mets à accentuer pour pouvoir jouir à mon tour. On était allongé l'un sur l'autre, me sentant merveilleusement bien. Ma main caressa doucement son visage, avant d'embrasser son front lentement. Elle se mit à sourire sûrement pour me remercier de ce d'ébat enflammé. Le temps de quelques minutes et on attendait déjà : « PAPA ! » accompagnait de hurlement. Je suppose un cauchemar, cependant il en fait beaucoup et papa ne peut pas beaucoup dormir. Le même problème pour expliquer mon manque de répondant pendant le travail. « Tu devrais y aller. » « Je reviens vite, promis ! » Je me dirige vers le placard pour me mettre un boxer, et me prendre un pantalon pour le boutonner rapidement. Car il n'aime pas beaucoup attendre ce bonhomme ! Je l'embrasse tendrement, avant de courir pour rejoindre Raffaele. Je l'aperçois debout pour attendre si quelqu'un répondrait. Je le prends dans mes bras, en lui donnant son doudou. « Qu'est-ce qu'il y a, bonhomme ? Tu as fait un cauchemar ? » « Oui. Câlin. » Je lui fais un énorme câlin, en embrassant son front doucement. On va devoir dormir sur le matelas un moment, pour qu'il s'endorme de nouveau. C'est comme d'habitude !

Je le berce doucement, avant de le mettre sur le matelas, collait contre moi un moment. Il s'endort au bout d'un certain temps, avant que je le soulève doucement pour le déposer dans son berceau. Je sors de la chambre lentement, en revenant dans ma chambre pour retrouver Alaska. Je m'adosse contre la porte pour l'admirer. Impossible de ne pas rajouter : « Tu es vraiment belle, mon amour ! On dirait un ange ! » Je souris, en m'avançant pour m'approcher et m'allonger. Oh, je suppose qu'elle veux savoir ce que Raffy avait. Je l'embrasse de nouveau, avant de la rapprocher de mon corps. Le contact est vraiment important pour moi. « Il est dans sa période cauchemar ! Je crois que tant qu'il cauchemardera.. Papa ne va pas dormir ! » Ca fait quand même un bout de temps, que je ne dors pas beaucoup. Car quand je dors profondément, il commence à pleurer, ou m'appeler pour me faire réagir ! Bref voilà, quoi comment le calmer, en évitant de dormir. Sinon on est mal parti pour lui apprendre à dormir seul ! Oh, tiens je pourrai lui demander de m'accompagner à une réception. On devra porter de beaux vêtements. Et du coup obligé costume « pingouin ». Patricia va se moquer, car y a longtemps j'ai dit : que je ne porterai pas de costume pour n'importe quelle occasion ! Je reporte mon attention sur Alaska avant de lui demander : « J'aimerai que tu m'accompagnes à une réception. Je veux que tout le monde connaisse ma muse, mon cœur, et mon bonheur ! » J'espère qu'elle acceptera. On louera une chaise roulante, si elle a vraiment du mal pour rester debout, à cause de la chimiothérapie. Je tiens vraiment à ce qu'elle soit présente ! Je ne pourrais pas sans ma Alaska !

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Le moment qu'ils venaient de passer avait rechargé les batteries d'Alaska. Elle était heureuse et ne s'était plus sentie aussi bien depuis de longs mois. Elle aurait voulu rester dans les bras de Fabio toute la nuit, mais leur fils se réveilla en hurlant et il dut aller le voir. Pendant quelques minutes, elle se retrouva seule, allongée sur le dos, à penser à sa vie. Elle avait failli perdre tout ça parce qu'elle avait été assez stupide pour penser que son homme partirait à la première difficulté. Qu'il ne l'aimait pas assez pour l'accompagner dans son cancer et passer à autre chose si elle venait à perdre la bataille. Il lui parla mais elle n'entendit même pas tellement elle était loin dans ses pensées. Le lit se creusa à côté d'elle et elle sursauta en sentant à nouveau la présence de son homme. La brunette n'attendit pas une seconde et retourna se coller contre lui. Elle posa sa tête sur son torse et sa main se glissa sous l'élastique de son boxer. Parce qu'elle y était bien ! « Papa ne va pas dormir » Elle sourit. « Maman va pouvoir aider maintenant. Je veux retrouver ma place. » Dit elle tout doucement pour ne pas qu'il se sente agressé dans son statut de papa tout puissant. Elle ne voulait surtout pas lui retirer son fils, elle voulait juste trouver sa place de mère. Une maman qui était prête à effectuer les tâches les moins sympas comme ranger la chambre ou changer les couches. De but en blanc, il changea de sujet et l'invita à une soirée. Les mots qu'il choisit d'utiliser pour la décrire la touchèrent énormément. « Ma muse, mon cœur, et mon bonheur. » Personne ne lui avait jamais dit des mots comme ça, à part Fabio qui parfois réussissait à la faire complètement chavirer. Elle se retrouva à court de mots et elle "répondit" instinctivement manuellement. La main sous l'élastique du boxer descendit un peu et trouva le membre de son homme, l'attrapa et se mit à le caresser. Peut être qu'elle pourrait ajouter amant exceptionnelle à la liste. Alaska le fixait tout en faisant des allers retours avec sa main. Elle voulait voir l'effet qu'elle avait sur lui. « Avec plaisir. » Lui souffla-t-elle au creux de l'oreille avant de mordiller le lobe de cette première. Elle devenait de plus en plus claire sur ce qu'elle allait lui faire. Elle allait le faire hurler son prénom avec juste une main et beaucoup de jeu. « Il y a des glaçons au congélateur ? J'ai envie de te montrer un petit truc intéressant... Excitant. »

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Alaska and Fabio

Je reviens au bout d'un moment. Mon regard complètement épuisé, m'indiquait qu'il devait au moins deux heures ! Le summum c'est que mon amante était rebooster soudainement. Et que moi non vu comment j'ai dû m'occuper de mes deux amours ! A mon retour Mme Firenze est dans son monde, ou en train de penser. A quoi je me demande ! Je suppose qu'elle n'a donc rien entendu du compliment. Le rire discret sortit quand elle sursauta, en remarquant qu'un creux s'était formé sur le matelas ! Elle se colle de nouveau à moi, en déposant son visage sur mon corps. La main de la belle glissa sous mon sous-vêtement, au moment on commence à parler : « Maman va pouvoir aider maintenant. Je veux retrouver ma place. » Il n'y a aucun soucie qu'elle retrouvera sa place comme auparavant. Ou du moins comme si elle nous avait pas réellement abandonner. Elle s'occupera de le changer, comme de lui donner de l'attention, ou même de le donner le biberon quand papa sera beaucoup occupé, etc.. Et même me remplacera pendant mon travail. Et ça il va pas aimer beaucoup, cependant papa est obligé de se déplacer par moment. « Bien sûr ! Et tu vas devoir t'y habituer ! Car pendant mes déplacements pour le travail. Tu seras seule avec Raffaele ! Ou sinon vous avez qu'à aller voir mes parents ! » Il lui donnera des conseils, comment donner l'autorité, ou le gronder. Là j'avoue que mon paternel me fait beaucoup peur par moment. Raffy le sort de son sommeil, donc il s'occupe beaucoup de son petit-enfant, comme le gronde. Je changea de sujet pour parler d'un événement, ou ma patronne m'a demandé de porter un smoking. Car elle est une personne assez importante. Et qui toujours habillé comme une femme milliardaire, quand beaucoup la remarque, il tombe sous le charme, cependant elle a un mauvais caractère qui te donnerait de tout abandonner. Je savais que les surnoms lui plairont beaucoup.

Elle est à court de mots, comme c'est charmant. Je l'embrasse tendrement, avant qu'elle se mit à répondre manuellement. On aurait dit un robot, comme « Wall-e » qui un Disney adorable ! Là elle commence à rejouer avec mes pulsions, et mes nerfs d'homme pour descendre la main, pour pouvoir attraper, en me le caressant doucement. Je me mis à me raidir, en fronçant des yeux pour lui faire comprendre que c'est mal. Ou simplement de la triche ! J'attrape l’oreiller pour l'empoigner, tout en emprisonnant le gémissement. Elle a décidé de m'achever ! « Avec plaisir. » Je ne peux pas m'empêcher de répondre : « Tu comptes m'achever ce soir ! T'es sûr que tu reviens de chimio, mon amour ?! » Oui car on dirait qu'elle n'a pas eu sa chimiothérapie, et qu'elle compte me torturer pendant un moment. Je me mords la lèvre quand elle me mord lobe de l'oreille. Des glaçons ? Oh, elle veut mettre des glaçons dans mon futal ! Un truc intéressant ? Ou plutôt comment me tuer lentement non ? Je crois que c'est ça la traduction. Elle va essayé de me torturer mentalement comme physiquement. Alaska comprendra, que je ne craque pas comme elle aurait sans doute voulu ! J'ai regardé assez de bouquins érotiques, pour comprendre comment ça marche. Donc je me suis déjà préparer mentalement ! J'y repense on devrait vraiment avec Abi faire un groupe « No Sex » pour voir comment réagirait beaucoup de monde. Alaska va certes pas apprécier, cependant elle va me tuer physiquement. « Il y a des glaçons au congélateur ? J'ai envie de te montrer un petit truc intéressant... Excitant. » « Oui pourquoi ? Oh.. Oh.. comme me mettre un glaçon dans mon pantalon ! Je crois que je vais mourir.. »

MYHUBBY

Back to normal ?

Alaska s'amusait avec son mari. Elle profitait de se sentir bien, car demain les effets de la chimio seraient à leurs paroxysmes. La main dans le boxer de celui ci, elle le caressait tout en lui murmurant des choses déplacées à l'oreille jusqu'à ce qu'elle ai envie de rajouter des glaçons à leur petite session. « Comme me mettre un glaçon dans mon pantalon ? » « Pas tout à fait... » D'un bond elle était debout et elle partie en chercher à la cuisine sans même penser à enfiler quelque chose. Elle revint et dans sa précipitation elle en fit tomber un. La belle, plutôt que de le laisser fondre là, se pencha pour le ramasser et c'est là qu'elle découvrit des piles de livres érotiques. Oh non ! Les titres tous plus évocateurs les uns que les autres la gênaient. La blessaient. Pourquoi ? Marian ne lui avait pas suffit ? Il lui avait fallut ça en plus ? Normal qu'il n'ai jamais rien tenté pour la faire revenir vers lui. Il aurait pu venir dormir contre elle dans la chambre d'ami, où rentrer dans la salle de bain pendant qu'elle se douchait... Il aurait pu, mais il avait toujours eu autre chose de plus intéressant à faire et maintenant elle savait ce que c'était. Alaska ne dit rien, mais l'envie de lui faire plaisir avait disparu. Elle mit les glaçons dans la petite poubelle près de la porte avant de se remettre sous les draps en tournant le dos à Fabio. Elle ne savait pas quoi dire. « Je suis fatiguée, on remettra ça à plus tard. » Finit elle par sortir. La brunette avait envie de disparaître, de retourner dans la chambre d'ami qu'elle occupait depuis des mois, elle voulait qu'il... Une main se posa sur elle et elle la repoussa violemment sans même avoir à y réfléchir. « Ne me touche pas ! » Maintenant il devait avoir compris le malaise, compris qu'elle avait vu les livres et que ça ne lui avait pas plus du tout. Et d'un coup ce fut trop, trop pour sa tête alors elle se redressa et le pointa du doigt. Un doigt qui n'avait jamais été si menaçant. « Marian, pourquoi pas. Mais ses livres... Si t'as besoin d'une bimbo parfaite aux gros nichons va falloir aller voir ailleurs. » Alaska perdait pieds et elle se leva en partant vers la porte pour mettre autant d'espace entre eux qu'elle le pouvait. « Tu ne penses qu'à ça... Et je l'aurais probablement su si tu n'avais pas été le seul homme avec qui... »

» SAM ≈ It's a long way back
» take me back to the start + dean

(n°239) Back to normal ? [Hot]

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