« Ne dit plus jamais ça ! » « Je le pense pourtant. Je t'aime Alaska. Je serais prêt à tout pour toi. » Le malaise quand ils interviennent. Et du coup elle se demandait, si elle était vraiment capable de tout avouer. Oh non, c'est seulement un amusement, pour faire comme le bonhomme. Ou pour même me charrier. Le coup de la ceinture était peut-être beaucoup pour l'enfant. Le rouge la prit d'assaut, ce qui la rendait encore plus magnifique, cependant cela ne l'atteint même pas ! « Plus jamais je ne te toucherai avec quelqu'un à la maison. » « Tu veux parier ? » Je la taquine doucement, pour voir si vraiment elle compte respecter sa « règle » : aucun bisou, aucun enlacement, ou même simple caresse d'affection, etc.. Je me faisais jouer à ce moment, pour la provoquer, pendant cet après-midi ou je pourrai poser dans des positions 'sexy'. Là je ne donne pas longtemps avant qu'elle craque. Ils descendirent ensemble pour qu'il n'y est aucun ragoût, ou seulement taquinerie qui se racontent. Car elle pourrait demandé à Raffy de parler pour voir comment est mon comportement. Le match est sur pause, pourtant mon paternel regarde tout le temps en direct. Que se passe-t-il ? Je comprends au moment ou le bonhomme se met à parler et que Barbara y est pour quelque chose ! «Papa et mama font toujours bisous et des fois papa y touche fesses mama. » « Je t'adore petit chaton. Continue de parler, j'ai besoin d'avoir des dossiers sur ton papa. » Je savais que c'était pour me taquiner, cependant ça mettait vraiment mal, ma femme. Je vais donc lui rappeler un moment par exemple. Bon d'abord, je vais les écouter, pour pouvoir mieux « intervenir ». Oui, on peut parler de secret. Surtout que maman n'a pas envie de parler de ça ! Comme moi qui commence à me fatiguer !

C'est pour rigoler ? Je ne crois pas que c'est le moment quand j'entends le « tatie Marian » de mon enfant. Je serre mes mains, en comprenant qu'on va stopper ça. Depuis quand elle va voir mon enfant, Marian ? Je risque de vraiment m'énerver là. « Non, arrête de parler mon cœur. C'est des secrets de papa et mama que tu racontes. Des secrets sa se garde secret. »  « Aller Alaska, c'est juste pour rigoler. » « Vi mama. Papa aime rigoler. Même y rigole beaucoup avec tatie Marian. » « Avec qui ? » « Avec qui ? Non là ca va trop loin ! Je vais lui demander de partir. » Oui je n'allais pas dire devant mon enfant, que j'allais menacer Marian, comme lui demander de se caser, mais d'une façon beaucoup plus rapide. Barbara l’entraînait dans un autre sujet, en sachant qu'elle commençait à pâlir. Je ne rigole pas avec Marian. Ou c'était auparavant quand elle était ma « maîtresse » mais maintenant c'est terminé ! « Bonhomme, papa rigole plus depuis longtemps avec.. Marian ! » Là elle croit qu'elle a vu, ou même laisser voir Raffy. J'essaie de ne pas montrer ma colère, cependant vu comment mes veines sont largement visible, ça risque d'être moins discret. Je prend une grande inspiration avant : « Elle a vu Raffaele ? Tu l'as laissé voir Raffy ? » « Je reviens dans pas longtemps ! » « Ah non, vu comment t'es énervé ! Tu ne vas pas la voir, Fabio ! Il en est hors de question ! » Je ne l'écoutais même pas, et me voilà déjà en train de sortir de ma maison, pour aller voir notre cher voisine Marian. Qui quand elle m'a vu avancer rapidement, sur le coup soit complètement ravis.

Je la prend la main tellement fort qu'elle va comprendre que ce n'est pas un amusement. Je veux dedans pour pas que mon enfant entend les méchants mots qui risquent de sortir. Je la balance contre un mur, sans pour autant la frapper, même si j'aurai bien voulu. Hélas, je ne frappe pas les femmes ! Ou seulement quand on m'y oblige vraiment ! Je m'approche d'elle, avant de commencer à gueuler : « NON MAIS DE QUEL POINT TU VAS VOIR MON FILS, MARIAN ! JE TE JURE QUE SI TU REVIENS LUI PARLER... JE TE LE FERAIS REGRETTER ! EST CE QUE JE ME SUIS FAIT COMPRENDRE ? » « Je n'ai rien fait de mal, avant quand on était amant, il aimait bien qu'on rigole ensemble ! Pense un peu à lui, Fabio ! » « JE ME FORCAIS SEULEMENT, IDIOTE ! ET ON NE SERA PAS HEUREUX AVEC TOI ! JE PREFERE MOURIR QUE PERDRE ALASKA POUR ALLER TOI ! JE NE T'AIMERAI JAMAIS MARIAN ! ET J'AIME MA FEMME VRAIMENT ET CE N'EST PAS TOI QUI VIENDRA GACHER MON BONHEUR ! » « Elle vous a abandonné pendant deux ans, Fabio ! Et tu mens, j'en suis sûr que tu m'aimes au fond ! C'est seulement la colère qui parle ! » « NON JE NE TAIMERAI JAMAIS ! J'AI TOUJOURS AIME ALASKA ! MET TOI CA DANS TA SALE TETE DE BLONDE ! OH MAIS APRES CA TE REGARDE PAS ! » Je commence à prendre tout pour qu'elle part rapidement. Oui je ne veux plus la voir, sinon tout ca va mal se terminer. Je ne veux pas la perdre à cause de Marian. Je balance sa valise, ou je met tous ses vêtements, avant qu'elle essaie de m'en empêcher. Je la bouscule, pour balancer les valises à sa porte ou après le reste, elle demandera à un déménageur : « CASSE TOI MARIAN ! OU SINON JE TE FERAI REGRETTER DE RESTER ! TU ME CONNAIS POUR SAVOIR QUE J'AI DEJA FRAPPER QUELQU'UN NON ? JE NE TE FERAI AUCUN CADEAU ! ALOOORS CASSEEEE TOI ! ET VITE ! » Je sorti de sa maison, aussitôt que je suis rentré avant de retourner de nouveau dans ma maison, pour m'enfermer dans ma chambre un moment. J'ai vraiment besoin de rester seul pour décompresser.

J'ai beau fermer les yeux, ou m'endormir pendant un moment. Elle sera toujours là pour m'attendre. Lorsqu'elle comprendra que je ne l'aime pas, le monde aura déjà beaucoup changer. Le cauchemar fait que commencer, elle pourrait communiquer avec mon entourage, ou même mon enfant. Le summum serait vraiment qu'elle s'en prend à mon amour. Elle est prête à tout pour me séparer d'Alaska ! Je ne veux pas tuer quelqu'un, néanmoins elle me donne des envies de « meurtres ». Limite, je l'étranglerai à la Homer Simpson ! Que suis-je en train de devenir ? Cela m'est arrivé rarement de m'emporter comme ça. La dernière fois c'était quand quelqu'un s'est moqué ouvertement d'Emily. Car elle était devenu complètement chauve ! On s'était engueulé, avant de commencer à se frapper. Je me suis retrouvé avec ce c***** à l'hôpital ! Là peut-être que sais moi qui détruira mon couple, non ? J'ai tellement accumulé, que mes sentiments explosent doucement. Et pendant ce temps le bonhomme doit être complètement perdu, en espérant qu'il comprenne pas que je trompe sa maman. Car il n'y a qu'elle qui est vraiment importante. C'est la dernière chose que je voudrai, la tromper de nouveau, comme la perdre définitivement ! « Papa parti ? » « Non. Non, il devait juste dire quelque chose à Marian. » « Les bisous ? » « Non. C'est fini les bisous entre papa et Marian. » Il ne faut pas croire qu'on aime. Je lui ai balancé tellement de « Je ne t'aime pas » que le monde aurait même compris. Pourtant, elle est quand même convaincu que je l'aime quand même. Ou elle est complètement dingue, ou elle essaye par moi-même de rompre mon couple. J'ouvris la porte pour claquer la porte, avant de monter rapidement pour m'enfermer dans ma chambre. Le besoin de respirer, comme de vider mon esprit de ma douleur comme de ma colère ! Je ne supporte pas qu'elle soit encore présente, alors qu'on avait dit qu'on arrêterait. Le problème c'est qu'elle n'a pas compris, et que ça me tue de savoir qu'elle va m'empêcher de pouvoir recommencer !

Je sortis ma guitare pour chanter ma douleur. La chanson de Indila – S.O.S convient parfaitement pour ce moment. Je suis tomber bas que je me reconnais même pas, cependant si je reviens.. comment changerais-je ? Le grincement de la porte, me réveilla complètement. Je braqua mon regard sur Alaska. « Fabio. » Je ne répondit même pas, et l'observe pendant un moment. La voir s'avancer vers moi, puis s'y asseoir au bout d'un moment. Que suis-je censé répondre ? Si c'est important, car elle compte reprendre son droit. Comme auparavant cependant elle va beaucoup trop loin ! Je ne peux pas me permettre d'accepter Marian ! Je crois qu'elle ne compte pas s'éloigner, ou seulement quand je partirai ! Combien de temps ca va durer ? Des mois ? Des années ? Et merde quoi j'ai le droit de pouvoir vivre « librement » avec ma femme, non ? « C'est pas important. » « Si c'est important, bordel ! Tu ne comprends pas ! Elle compte me voler à toi par tous les moyens ! Alors c'est forcément important ! » Je balançais, d'un ton un peu brusque en me levant rapidement. Je prend ma tête contre le mur, avant de me frapper contre le mur pour me défouler ! Je commence à perdre pied complètement. Comment ça ne pourrait pas être important ? Elle a même essayé de me faire douter, ou même m'allumer ouvertement. Marian doit absolument partir ! Je risque sinon de l'envoyer moi-même ailleurs ! Je tourne dans la chambre, avant de reprendre de nouveau la parole, même si je ne comptais pas m'énerver sur Alaska. « Tu comprends quand je te parles ! Elle a essayé de me faire douter, comme de me draguer, ou même à communiquer avec notre enfant pour nous enlever à toi ! Je vais la tuer questa cagna. » Je décide de bouger de nouveau cependant. Là elle en fait autant pour m'empêcher de m'échapper, peut-être que ce n'était pas la « solution » cependant.. J'en ai vraiment besoin ! Et vu que je me contrôle plus vraiment. Je la bouscule un peu brusquement, pour pouvoir m'éloigner et me retrouver dans la chambre d'invité ! Là au moins j'en suis sûr que personne me trouvera. Mais aussi que je culpabiliserai de l'avoir bousculer ! Je viens de m'en rendre compte que maintenant. Je prend ma tête dans mes mains, avant de commencer à injurer en Italien pour me faire comprendre que j'étais vraiment un : « Idiota ! Idiota ! »

Je crois quand elle arrive. C'est le moment le moins attendu ! Je me rend compte que m'énerver comme ça. Je risque de moi-même faire douter ma femme ! Là je peux m'en vouloir qu'à moi-même ! Le pire c'est que je doute même pas sur mon amour, ou même nous deux. Là n'est même pas la question. Je ne sais qu'elle serait capable de tout pour me séparer de mon amour. Je ne pourrais pas le supporter. Ça me rend déjà dingue de savoir comment j'ai réagi. La baffe qui arriva soudainement, et qui m'a beaucoup surpris ! Je l'ai bien mérité, ça on peut le dire vraiment ! Je sais tout ce qu'elle me dit, cependant si elle a déjà communiquer avec mon enfant, même de lui raconter qu'on s'embrasserait, comme auparavant. Je suis complètement perdu. Quand elle dit que c'est moi pour le moment qui risque de tout « perdre ». Je suis d'accord, cependant il faut vraiment qu'on me laisse respirer un moment. Jamais je la frapperai, ou encore enfermerai ! Sauf quand on fait.. boum boum boum ! Ben quoi pour pas que l'enfant interrompt, et regarde ce qu'on fait en même temps. « Ce que je ne comprends pas c'est le peu de foi que tu as en nous ! Ce n'est pas parce qu'elle veut nous séparer que l'on va se séparer. Pas maintenant que j'ai... que j'ai retrouvé ma place. Non, ce qui pourrait nous séparer c'est tes conneries. D'où tu me pousses comme ça ? C'est quoi la prochaine étape ? Tu vas me battre? M'enfermer ? » « J'ai foi beaucoup plus que tu le crois ! J'ai seulement peur qu'elle s'en prend à toi ! Je sais de quoi elle est capable déjà par rapport à moi, comme à Raffaele ! Je .. Je ne te ferai jamais du mal ! Je préfère me tuer ou partir pour te protéger.. que.. que venir à te frapper ou t'enfermer ! » Je me demande si elle m'a écouté, vu qu'elle est quand même parti pour aller dans notre chambre. La culpabilité m'envahit beaucoup. Je dois aller la voir pour m'excuser et promettre de protéger notre amour ! Et même si je dois aller en prison pour avoir frapper quelqu'un. Ou la menaçait avec un objet – sans blesser quelqu'un – pour lui demander de s'éloigner !

Le bonhomme avait rejoins sa maman, en demandant son parent, peut-être que ma maman comme Barbara commençait à vraiment s'inquiéter. Je peux les comprendre vu le bruit qu'on a fait. On a du nous attendre pendant un moment ! « Papa !! » « Papa est dans la chambre d'amis, mais tu devrais aller l'attendre avec Barbara et tes grands parents. » Il descendit pour exécuter les ordres de maman, même s'il était déçu de pas pouvoir me voir. Je commençais à prendre une grande inspiration, avant d'essayer de me calmer doucement, en me repassant des moments avec Alaska, ou encore d'Emily quand était toujours là ! Bon stop ma connerie ! Je sors de la chambre, beaucoup plus calme, mais complètement lessivé cependant. La porte de la chambre est fermé, donc je me doute quand même qu'elle soit y rester un moment ! J'ouvre doucement la porte, pour la voir au sol dans la même position que moi, en train de pleurer comme auparavant. Je me met à sa hauteur avant de la prendre, en se doutant que je risques beaucoup de me faire repousser brusquement. « Je suis désolé, mon amour ! Je ne voulais pas m'en prendre à toi ! Je t'assure.. J'ai craqué, et par moment.. Je deviens quelqu'un d'autre ! Elle me rappelle ce mauvais mari.. que j'ai pu être auparavant ! Que je suis maintenant.. Je me dis que je te mérite vraiment pas par moment.. Je te fais tout le temps mal.. Je m'en veux terriblement.. Je t'aime tellement, mon amour.. » Je sais que si elle décide de pas me pardonner et de recommencer comme auparavant. Le choc me détruira complètement, que je voudrai tout abandonner ! J'ai vraiment besoin de ma femme, car elle est mon monde ! Je dépose un baiser sur son front, en essayant de prendre sa main pour embrasser tendrement. Je baisse les yeux honteux de m'avoir comporter comme ça, et je me met à craquer pour au lieu de m'en prendre à quelqu'un. Les larmes couleront, et même si je me montre « faible ». Alaska sera protégé des mots que j'aurai sortir prochainement. Et que je ne contrôlerai pas cependant !

Je me suis confesser, en lui révélant que je voulais qu'elle s'éloigne, pour pas revoir les images de quand je l'ai trompé. Et pour ne pas qu'elle communique avec mon entourage. On ne sait pas ce qu'elle pourrait raconter, pour semer la confusion dans notre couple ou même pour Raffy. Il est donc important qu'on quitte son « obsession ». Ou c'est moi qui risque de devenir dangereux, non pas pour mon entourage, mais pour mon ex-amante ! Là elle me demandait : « Pardon ? » Il est vrai que ma fierté m'empêche d'avouer ce genre d'information ! Seulement il était important de le dire. Je suis allé beaucoup trop loin, et c'est ce qui m'a poussé à tout lui avouer maintenant ! La belle se redressa, et m'embrassa en voyant que je lui demandais par le regard. Oui car ça me permettra de voir si elle m'en veut, ou même si elle veut qu'on remet de la « distance » comme auparavant. « Tu me mérites. Tu es parfait. C'est elle le problème... Un énorme problème qu'on va mettre de côté pour vivre notre vie ensemble. » Je me dirais pas parfait, après tout ce qu'elle a enduré à cause de moi. Le problème ça doit être mes moments de colère comme aujourd'hui, que je devrais demandé de me laisser seul pour pouvoir reprendre mon calme général ! Et pour dire vrai c'est vrai que c'est elle le problème, cependant comment ignorer ? Elle me saoule tout le temps, et trouve tout le temps un prétexte pour me demander de l'aider ! Oui, peut-être qu'en ignorant, ou même comme si elle n'avait vraiment pas « existé ». Cela pourrait convenir à recommencer notre chemin ensemble ! « Tu es sûr qu'on parle du même homme, ma chérie ? -dis-je en souriant- La seule personne qui est vraiment parfaite : c'est toi ! Je me demande comment j'ai bien pu t'avoir ! » Je l'embrasse tendrement, avant de terminer avec le sujet de mon ex-amante, qui était vraiment un problème récurant car elle ne comptait pas s'éloigner.

« Oui, tu as raison ! » J'adore quand elle me sourit. Ça peut paraître complètement idiot, mais ça me donne le « sourire » comme me rend heureux ! J'ai remarqué que mon bonheur dépend beaucoup du sien ! Elle m'embarque en me prenant ma main pour m'accompagner au dressing. Là elle commence à soulever des vêtements, pour trouver un conteneur. Qui contenait beaucoup de photographie du début de notre romance. J'ai confiance en elle, cependant depuis notre éloignement, c'est dûr de croire qu'elle va pas retomber malade, ou qu'elle va pas tenter de me protéger de ce qu'elle aura. Car j'ai compris que ce qu'elle comptait faire c'était de me protéger de souffrir comme elle a pu souffrir auparavant ! Je n'ai pas besoin d'être protéger, même si c'est ce qu'elle veut. Je suis beaucoup trop grand pour ça ! « Tu en auras plus l'utilité que moi je pense. Parce que j'ai enfin retrouvé la confiance dans notre couple, mais que tu as toujours besoin de te rappeler que je serais toujours là pour toi. » Je dois lui dire pourquoi, c'est que j'ai la peur de la perdre, comme dit récemment. Et que je sais qu'elle voudra me protéger constamment, comme moi en ce moment. Là je prend le boîtier avant d'y répondre : « J'ai confiance en toi ! J'ai seulement encore du mal à me dire que tout est terminé ! J'ai peur de te perdre.. comme.. comme de me dire que tu pourrais retomber malade ! Et que le cauchemar recommence..  » Je laisse couler quelques larmes, quand elle m'embrassa de nouveau. Ça du l'étonner que d'un coup, je quémande de nouveau beaucoup d'attention, en mettant autant de passion dans cet échange ! Là elle commença à repartir sur son idée de « no love » pendant des invités ! « Tu ne peux pas m'embrasser comme ça et ne pas attendre de retour... On a dit pas avec des gens à la maison... Tu dois attendre et arrêter de... » Je ne la crois pas vraiment, et on a qu'à fermer la porte un moment. Il y a une clé, et pour le match ce qu'elle me rappellera sûrement. Lorenzo l'enregistre en ce moment, même s'il compte tout me dire à mon retour ! Je l'embrasse de nouveau pour montrer que persévérait pour avoir rien que pour moi. Raffy va pas vouloir qu'on s'embrasse, ce qui va me rendre un peu amer. Car ça fait deux ans qu'on a tout stopper ! J'ai besoin d'avoir des bisous, et des câlins ! Le gémissement montrait qu'elle en meurt d'envie autant que moi en ce moment. Elle me repoussa à ce moment, avec son grand regard sombre et joueur pour me promettre qu'on continuera ça prochainement. Je fais mine de repartir pour verrouiller la porte. Je lui répond avec un regard charmeur et provocateur. « Va prendre une douche froide ! Et vite parce que sinon tu ne verras pas la fin de ton match. » « Je crois que le match attendra ! Il y a plus important que le match comme par exemple : ma femme, non ? » Je fais mine d'ouvrir la porte, comme pour montrer que je comptais me prendre une « douche » cependant, je reprend mon air choqué avant de répondre : « On dirait qu'elle est bloquée ! »

Je me dis par moment que ça tombe uniquement sur moi. La dernière fois on n'était complètement coincé. Oui dans un ascenseur ! Je l'ai bien enlever cependant quand discrètement je l'ai replacer pour déverrouiller ! Là je me retrouve dans la merde, en remarquant que ma clé commence à rouiller ! Le summum c'est que ma femme panique, en ayant peur de rester bloquer quelque part. La chimio la rendu « claustrophobe » apparemment. Pourquoi, elle ne m'a pas avertie ? Bordel. Je me retrouve avec ma femme qui va bientôt paniquer. Je vais devoir la calmer pour pas qu'elle pense qu'elle se retrouve seule dans la machine à chimio. « Faut qu'on sorte. » Je la prend dans mes bras pour d'abord la rassurer. Je ne vais pas pouvoir la débloquer si elle commence à paniquer, et m'inquiétait. Je frotte mes mains doucement contre les miennes, en les embrassant pour la calmer doucement. Elle n'arrive pas à gérer sa panique, qu'elle me bouscula pour essayer en son tour, mais cependant cela ne marche pas ! « Calme toi ! Tu n'es pas seule, mon amour ! Je suis là.. Écoute uniquement ma voix ! Fixe uniquement moi, et repense à ce qu'on a vécu depuis le début ! » Je recommence pour essayer de la calmer, sinon je vais avoir du mal à me concentrer à défoncer la porte ! La crise arrivait doucement, elle me demanda même : « Défonce la porte. S'il te plait. Je crois que je vais faire une crise de panique. » « Je vais m'en occuper ! Respire doucement.. Pense à quelque chose qui te rend vraiment heureuse.. » Je la porte doucement pour l'allonger sur le matelas, pour qu'elle se calme dans un endroit ou elle ne risque pas de tomber. Je retire mon t-shirt pour pouvoir pas me sentir complètement à l’étroit. A tient j'ai oublié d'enlever le pansement pour la prise de sang récemment. On m'a en plus enlever du sang pour pouvoir aider ma femme y a pas longtemps. Je vais loin avant de foncer sur la porte, et de répéter à maintes reprises pour pouvoir la défoncer. Ce qui inquiétait beaucoup ma cousine, qui remarqua bruit. Elle comprit qu'on était complètement coincé, donc elle demanda à ma mère de s'occuper du bonhomme.

Je continue toujours avant que je l'entend me supplier. « Je t'en supplie Fabio. » « Tiens le coup, mon amour ! » Je persévérai à ce moment, cependant la porte m'épuisait à chaque coup. Barbara monta rapidement, pour demander par rapport à la « situation ». Si tout allait bien pour tous les deux ! Je me continue tout le temps, grimaçant de douleur de temps en temps. A cet instant, Barbara demanda : « Tout va bien, là-dedans ? » « On est coincé, et Alaska commence à criser ! » « Je m'en occupe ! Occupe toi de défoncer cette putain de porte ! » Je hoche la tête pour répondre. Et même si elle ne pouvait pas voir, c'est pour simplemenet me donner ma confirmation ! Je sais que je vais y arriver pour le moment. La porte tremble, mais prochainement elle tombera ! Là elle commence à réfléchir à parler, concernant son vœux d'avoir un enfant. Elle sait qu'elle pense à autre chose pour pouvoir souffler doucement. Donc elle lui demanda : « Alaska, dis-moi pour votre prochain bébé.. tu veux une fille ou un garçon ? Ca serait bien d'avoir une fille, non ? Tu as déjà un garçon, non ? » Elle s'assoit doucement, en parlant pendant un moment, avant de penser qu'elle aurait pu vouloir des « jumeaux » comme étant donner du côté Firenze on a déjà deux jumeaux ! Qu'on lui présentera prochainement, si on arrive à la calmer complètement. « Oh tient d'abord. Tu aimerais avoir des jumeaux ? Certes c'est beaucoup plus de responsabilité ! Cependant j'en suis sûr que tu aimeras ! On te présentera les jumeaux de notre côté ! » Là elle changea de sujet en parlant sûrement de ce que j'ai pu parler autre fois avec Aby. Comme je lui disais vraiment tout par rapport à mes sentiments comme mon inquiétude. Barbara m'avait énervé à bout pour obtenir résultat qui était ma confidente ! Alors elle voulait la rassurer, sachant qu'elle aimait pas qu'on me tourne autour comme Marian : « Oh tu sais Aby sa confidente ! Fabio lui a beaucoup parlé de toi... comme quoi il s'inquiétait beaucoup.. qu'il avait mal de te voir comme ça.. qu'il aimerait tant faire pour pouvoir te sauver.. et j'en passe également ! Il t'aime vraiment. Et apparemment il te réserve une surprise pour votre anniversaire de mariage.. » Le mots de trop qui réussit à m'énerver pour défoncer la porte jusqu'au bout. Je tombe au sol complètement épuisé. Là je retourne vite auprès de mon amour en lui demandant : « Je suis là, mon amour ! Je suis là.. »

Je frappais. Encore. Encore. Je restai tout de même concentré par rapport à leur conversation. On en voulait une tous les deux ! Elle a oublié cependant qu'elle sera accompagné. Oui bon je travaille, cependant je prendrai du temps pour m'occuper de l'enfant ensemble ! Surtout que le bonhomme risque de pas apprécier du tout, qu'on est un deuxième enfant. Il va être jaloux et croire qu'on le remplace par quelqu'un. Là va être le problème qu'on va devoir résoudre ! Et lui expliquait clairement comment est la chose en question ! « Une fille. Je voudrais une petite fille. Mais pas de jumeaux. Je serais incapable de m'occuper de deux bébés. » « Oh, mais il y a Fabio ! Tu ne seras pas seule ! Et ca va pas te rendre jalouse que ta demoiselle tombe amoureuse de ton maris ? Car c'est une étape pour beaucoup d'enfant ! » Le prochain coup sur la porte la fit complètement perdre le son de la voix de Barbara. Et commença à dire qu'elle ne pourrait pas concevoir d'enfant. Oui mais y a quand même les maman porteuses, ou même adoptions. La brune réfléchit un cours moment, pour trouver les mots pour répondre à ma femme. Et au bout d'un certain temps, elle lui répondit : « De toute façon on ne peut pas avoir de bébé. » « Bien sûr que si ! Il y a des mères porteuses, comme les adoptions ! Il ne faut pas partir défaitistes, Alaska ! » « On ira voir ensemble, si tu veux mon amour ! » Je frappe un dernier coup, la porte céda pour de bon, mais mon bras à quand même pris gros cependant je mentirai pour pas les inquiéter. Car elle risque de m'envoyer au médecin pour m'handicapé pendant quelques jours ! Je partis pour la rejoindre, même si mon bras me gênait quand même, surtout quand elle m'enlace, en me serrant vraiment fort. Je grimace légèrement, en comprenant que mes parents sont inquiet pour nous deux dorénavant. « Me lâche pas. Jamais ! » « Ca n'a jamais été mon intention ! »


Barbara rejoint mes parents, pour pouvoir calmer l’atmosphère pesante, qui régnait depuis un moment. Hélas, ça ne marchait pas avec maman, qui s'inquiétait beaucoup trop pour nous deux, surtout pour moi en sachant qu'elle va mieux, et que moi je me suis bousillé mon épaule. Les mamans quand même ! Elle alla s'asseoir sur le matelas, en m'entrainant pour qu'on s'allongeait ensemble ! Je m'exécuta donc quand elle me demanda de m'allonger dans son dos pour la blottir contre moi, et la serrer fort mais pas autant pour me bousiller l'épaule, comme pour lui faire du mal. « J'aime pas être enfermé. Mais j'aurais jamais du paniquer comme ça, je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Je nous ai tout gâché... Je sais que tu avais d'autres plans que de défoncer une porte. » « Je suppose que c'est un effet de la chimiothérapie ! Ça peut arriver à tout le monde d'avoir ce genre de comportement. Je me suis moi-même retrouver avec Barbara coinçé dans un ascenseur ! J'ai eu plus mal à l'oreille pendant quelques semaines ! Ce n'est rien va.. Largement mais vu comment c'est déroulé la journée.. Ce n'est pas trop mal de secourir ma femme ! » Elle prit son rythme normal, et le bonhomme ouvrit la porte quand Barbara lui demandé d'embrasser et de caliner maman. Oui bien entendu papa a rien de grave, vu qu'il est fort mais qu'il a quand même le bras en compote ! Je souris quand il demande comment va sa maman. « Mama va ? Tatie dit bisous mama. » Il grimpa sur le matelas pour commencer la séance d'attention sur maman. Je regardai, cependant mon regard était beaucoup plus ailleurs. Comme quand j'étais avec Emily qu'on s'embrassait, et qu'on se faisait beaucoup de câlins pour se protéger du mal. Maman nous trouvait vraiment adorable ! Et elle ne s'imaginait pas que tout cela pourrait arriver si brusquement ! Pourquoi je cauchemarde soudainement.. « Je t'aime bébé. T'es mon petit ange... » Je souris doucement avant de voir ma mère arrivait en trompe qui s'inquiétait pour moi, en venant me voir rapidement pour savoir comment je vais. Le regard que j'ai en ce moment, doit forcément lui faire penser à moi quand j'avais quelques années seulement. Cependant, elle a encore du mal de parler d'Emily. Car on a tous aimé cet enfant comme une « princesse » et dire qu'elle a disparu soudainement nous a comme détruit : « FABIO ! Oh mon chéri, tu n'as rien ? J'ai vraiment eu peur ! Il faut que tu ailles voir un médecin pour ton épaule ! » « Maman.. » « Je sais elle te manque.. moi c'est pareil ! Mais elle ne reviendra pas, Fabio ! Je suis vraiment désolé d'avoir donner le cancer à ta sœur ! J'aurai tout fait pour être à sa place.. tout comme toi ! » « Ne dit pas ça, maman ! Elle n'aurait pas voulu qu'on meurt pour elle ! » « Ma chérie, tu vas bien ? »

Je ne lui en veux pas à mon parent. Même si le médecin a répondu que « la maman transmet à l'enfant ». Cela aurait pu tomber sur n'importe qui ! On m'a souvent dit que c'était beaucoup du hasard. Ou sinon des antécédents, ou simplement provoquer par leurs facteurs de risques ! Je voulais simplement avoir le cancer, pour la protéger comme j'aurai du faire récemment. Je m'en suis toujours voulu, en même temps elle n'avait seulement dix ans. Et pouf elle disparaît comme si elle avait jamais exister. Ma mère ne veut pas parler du sujet. Sauf quand elle y est obligé ! Elle veut me protéger de ce sujet, comme être présent. Car je suis son seul enfant, et veut tout me donner pour combler le manque de ma sœur. « Fabio, je suis désolée. Je ne voulais pas que... Elle avait de la chance de vous avoir tous autant que vous êtes. » « Tu n'y es pour rien ! Le sujet reviens souvent. Et ca va être autant dur pour moi pour l'anniversaire d'Emily ! » « Merci beaucoup, ma chérie ! Oh ce n'est rien ! Ca me permet de parler du sujet.. J'évite d'en parler pour moi comme pour Fabio ! Qui a toujours eu du mal d'accepter de la perdre ! » Je me suis replié sur moi-même, empêchant quiconque de s'approcher, ou d'essayer de la remplacer. Car elle a même parler d'un nouveau enfant, cependant cela n'allait pas m'aider à aller beaucoup mieux. J'avais seulement mal réagi en apprenant, qu'elle essayait de la remplacer. Alors qu'elle voulait seulement pouvoir nous rendre heureux avec un nouveau bébé ! J'ai seulement empêché ça, même si elle ne le pensait pas vraiment. Car elle avait peur que depuis elle donne naissance un enfant malade, néanmoins le médecin lui disait que c'était pas forcément vrai ! Car je ne suis pas malade moi ! « Je vais aller te chercher de la glace et on appellera le médecin pour qu'il passe à la maison. » « Glace mama ? » Il était trop mignon avec sa glace, cependant il a entendu le médecin non ? Pas de glace pour son âge, c'est beaucoup trop sucré ! Je fais attention à ce qu'il mange, et même goûte par moment. Car c'est vrai que les pots sont dégouttant, donc quand j'ai le temps c'est moi qui prépare le repas complet ! Il adore même s'il en réclame tout le temps. Le médecin ? Je viens de capter que maintenant. J'en ai pas besoin, par contre ma maman fronce du regard, pour que j'accepte de me faire soigner par quelqu'un.

Je n'eus le temps de répondre, qu'elle partit accompagné de son enfant, pour lui expliquer tout en cherchant de la glace pour me soulager. Papa était content de s'occuper du bonhomme, quand elle remercia Barbara, en prenant le sachet glacial pour pouvoir me le poser plus tard. Lorsqu'elle arriva, ma mère et moi ont continue d'entamer le sujet, par rapport à Emily. Qui aura lieu dans deux semaines, ce qui risque d'être dur pour tout le monde. J'aurai sûrement besoin de m'isoler, sachant qu'il compte montrer une vidéo de ma sœur pour événement comme chaque année ! « C'est de ma faute, Fabio ! » « Arrête, maman ! Ca aurait pu tomber sur n'importe qui ! » « J'espère que tu pourras me pardonner.. » « Tu n'as pas.. » On entendit le bruit de la porte, comme quelqu'un qui toqua. La mère enlève les larmes sur les yeux, en se rappelant le moment de sa venue au monde comme tout ce qu'elle a vécu avec Emily. Je tapote son dos doucement, avant de retourner mon attention à la porte : « Entrez ! »  « Je passe juste te donner ça et je vous laisse. Est ce que tu veux que j'appelle le médecin ? » « Tu peux rester ! Et pour le moment ca va, ne t'inquiète pas ! » « Si, Fabio ! Tu as besoin d'un médecin ! » Quand elle eut besoin de s'expliquer. Ma mère lui demanda de nous rejoindre, en tapotant le matelas pour lui montrer de s'asseoir. J'acquiesce pour demander de nous rejoindre, comme ça on changera de sujet en même temps. Si elle a vraiment envie de parler, cela ne dérange pas ! « Je fait beaucoup de chimio et même si je déteste ça, ce n'est rien comparé à la radiothérapie. Être enfermé dans cette machine bruyante, je ne supporte plus. Au début ça allait, mais maintenant ça me paralyse. Je n'en ai plus, mais je crois que je suis devenue claustro-phobique à cause de ça... » « J'aurais du t'en parler. » « Je comprend, mon amour ! Mais maintenant tu as plus à t'inquiéter ! Si vraiment ça devait se reproduire de se retrouver enfermer ensemble ! Je serais avec toi.. Tu ne seras pas seule avec la radiothérapie ! Oui c'est fort possible ! » « Ne t'inquiète pas, ma chérie ! C'est terminé maintenant ! Et mon garçon est là maintenant.. Oh ca me rappelle. Quand Fabio avait cinq ans, il était astraphobie. Il se mettait à hurler, à pleurer quand il entendait le tonnerre ! Il se cachait n'importe ou, même dans la dressing ! Il a arrêté d'avoir peur quand il est devenu adolescent ! »