« On m'a dit de vivre pleinement sa vie pour ne rien regretter. Cette personne a raison. Car on se rend uniquement de ce qu'on a quand on le perd. Je m'en suis rendu beaucoup trop tard » Je l'ai dis quelques temps auparavant, qu'on devait vivre pleinement.. comme si on mourrait demain. On ne sait jamais comment demain est fait ! Je l'ai appris à mon dépend, quand Emily a soudainement disparu. En abandonnant mon cœur meurtri qui ne demandait uniquement qu'on me la rende. Il était beaucoup trop tôt. Personne ne pourra comprendre qu'elle a combattu, et que le cancer me l'a quand même enlever ! Je ne pourrai pas lui pardonner d'avoir enlever Emily. Je l'aimais tellement qu'on m'aurait demandé de donner n'importe quoi.. J'aurai répondu « Oui » même sachant que cela aurait pu me donner la mort. Qui peut prétendre connaître mon malheur ?

J'ai appris le malheur en même temps que notre parent. Emily a commencé à voir double soudainement, comme à s'évanouir. Maman s'était beaucoup inquiété comme moi, me demandant pourquoi son comportement changer. Et est-ce que c'est moi qui me serait mal occupé de ma sœur ? On est allé voir celui qui s'occupait d'Emily. Il a commencé par des examens, pour comprendre les symptômes. Le médecin s'approcha doucement, en prenant un temps avant de commencer les explications : « Qu'est-ce qu'à mon enfant, docteur ? » « Je suis vraiment navré de vous apprendre ça, Madame ! Emily est atteinte d'un cancer cérébrale ! Les enfants sont principalement touché, et seulement 10 sur 10 000 ont le cancer.. que d'autre ne le développent pas ! » « Je ne vous crois pas ! Emily n'a pas le cancer.. Elle n'a que sept ans ! » Je serrais les points, n'acceptant pas la maladie de ma sœur. Qui pour moi c'était seulement un malaise qui pouvait arriver simplement comme ça. Les enfants n'ont pas de maladie, c'est quasiment impossible ! Et pourquoi 10 sur 10 000 ? Emily ne devrait pas avoir la maladie maintenant. Ou ne pas l'avoir du tout. Je refuse de la perdre maintenant, alors on va inventer un amusement « si on jouait à ne pas être malade » pour la protéger de la maladie. Je ne veux pas qu'on me la prend. Elle a quand même dit à Emily, qu'elle était malade. « Je dois te parler, ma chérie ! Tu n'as pas à t'inquiéter. Le médecin a dit que tu étais seulement beaucoup malade.. Cependant qu'il a des traitement pour te soigner comme tout le monde ! » Emily la regarda, avec une moue inquiète beaucoup plus pour moi. Que pour elle-même comme elle savait que cela m'allait beaucoup inquiéter. Elle s'avance doucement à moi, avant de répondre à maman pour me répondre : « Je n'ai pas peur Fabio. Car tu seras toujours avec moi ! » « Oui, je serais toujours avec toi, Emily ! » Je m'enlaçais tendrement, avant de répondre à maman. Comme quoi elle ne s'inquiétait pas beaucoup. Et qu'elle savait qu'elle allait « guérir ». Maman a remarqué que c'était quelqu'un courageux ! [...]

Le drame arriva seulement quand les symptômes se rapprocha doucement. Je m'étais retrouvé seul avec Emily. Et elle avait commencé une « crise » que maman qualifiait d'important. Je m'étais mis rapidement auprès d'Emily, en lui demandant : « Je suis là, Emily ! Je te promet que ca va aller ! Je ne te laisserai pas, c'est promis ! MAMAN VIENT VITE EMILY VA TRES MAL ! » Les larmes coulaient doucement, avant que maman essaye de me rassurer, et commence à traiter ma sœur avec quelque chose. J'étais devenu beaucoup trop protecteur, et ne voulait pas rater un seul moment. Ma mère vint auprès de moi pour essayer de me calmer : « Calme-toi Fabio ! Fabio, elle va bien ! Regarde.. » « Fabio.. Je vais bien.. » « EMILY ! » Je la prend dans mes bras à ce moment, pour remercier le dieu qu'elle est encore présente. Et que je peux encore l'aimer et la protéger comme quand on était encore des.. enfants ? […] Le temps s'écoula rapidement, Emily passait tout le temps à l'hôpital. Ou jusqu'à un moment ou elle devait y rester, la maladie prenait beaucoup d'avancement. Et pourtant elle devait mourir depuis un moment. Emily avait beaucoup lutté, cependant un matin quand le téléphone sonna rapidement. Elle s'effondra au sol, en pleurant un long moment, sans même comprendre pourquoi ? Lorsqu'elle m'emmena voir Emily, elle me dit uniquement à cet instant : « Elle va bientôt mourir ! Va la voir Fabio.. Elle a besoin de te parler ! » Je ne répondis rien. Je le niais profondément, cependant son teint était beaucoup plus pâle. Et elle avait beaucoup de mal à parler : « Emily.. » « Fabio.. Mer..Merci ! » « Tu n'as pas à me remercier ! Tu n'es pas encore morte ! » « Merci de m'avoir rendu heureuse.. Je t'ai..t'aime ! » Là tout commençait à virer à un cauchemar. Elle ne communiquait plus. Et elle ne bougeait même plus. Je me stoppais net avant de commencer à pleurer. « NOON EMILY NE MEURT PAS ! VOUS N'AVEZ PAS LE DROIT DE ME LA PRENDRE ! ELLE N'A QUE DIX ANS ! EMILYYY !!!! » [...]

Et aujourd'hui je honore sa mémoire, en rappelant qu'elle était une enfant normal, sans maladie comme beaucoup. Elle a battu quand même la maladie, et devenu quelqu'un de ce monde ! Je lui ai promis de garder le secret de sa « maladie » pour montrer qu'on peut devenir quelqu'un, en croyant que tout pouvait devenir un « conte de fée ». Il faut seulement se battre pour devenir quelqu'un, et pouvoir avoir le monde demain !




« Je ne croyais pas que l'amour ressemblait à ça. Il faut mieux par moment se couper les ailes. » Oui la douleur de la prendre. Comme de la voir comme un mort-vivant. Refusant de vivre comme tout le monde ! Elle peut encore se remettre de son cancer comme beaucoup. Faut-il me rappeler comment c'est douleur de perdre quelqu'un ? J'ai perdu ma sœur quand j'ai eu dix sept. Et maintenant elle veut me poignarder.. Abandonnant son enfant. Et moi par la même occasion, en me cachant son cancer ! J'ai le droit de savoir quand même que ma Alaska est malade de nouveau non ? Je ne peux pas l'accepter.. Cependant elle a détruit ce qu'on avait commencé. Notre complicité d'auparavant ! Comment pourrais-je encore avoir confiance en Alaska ?

Elle m'a percuté comme on s'est bousculé volontairement. A cet époque mon anglais était mauvais. Je pratiquais uniquement l'italien, étant né dans ce pays « merveilleux ». Que ma sœur croyait au prince charmant. Je m'étais beaucoup excuser. Et elle essaya de me dire que je ne devais pas m'inquiéter. Que ce n'était qu'une bousculade. On s'est présenter comme n'importe quel individu cependant moi en mode « tarzan » : « Moi Fabio. Toi ? » « Alaska. » Je l'ai invité à boire ensemble, même si mes compagnons ont voulu me demander de m'éloigner. On avait prévu quelque chose depuis un moment. Par contre l'amour est imprévisible, et peut arriver à n'importe quel moment. Je l'avais accompagné dans mon appartement pour préparer des lasagnes, accompagné d'un vin rouge pour commencer. Là tout débutant, entre un baiser, et l'alcool qui montait rapidement. Cependant étant encore « vierge » à cette époque. Elle ne voulait pas coucher avec un étranger. J'ai demandé seulement un bisou, cependant ça quand même terminer comme cela aurait dû ! Elle a mal pris cependant, et à mon réveil.. Je me suis rendu compte que mon matelas était de nouveau.. vide ! Je sais ce qu'est la douleur. Elle ne m'aura pas comme ça. Je me vengerai de ce qu'elle m'a fait, pour qu'elle ressent abandon ! J'ai du apprendre sa langue, aussi compliqué pour moi, que de parler étranger. L'italien est tellement beaucoup plus romantique, comme simple également ! […] A cet instant ou j'ai pu réaliser ma « vengeance ». J'ai commencé à frapper. Je l'embarquais comme auparavant, pour une nuit seulement une seule comme quand on a commencé. Cependant à son réveil, elle n'a vu personne comme moi à l'époque. Oui c'est douloureux, par contre elle n'avait qu'à pas abandonner. J'ai un cœur également. J'en ai plus que marre de continuer éternellement à souffrir comme ça. Je l'aime cependant, mais comment pourrais-je oublier ? Je pense à elle tout le temps, comme une drogue, qui m'empêcherait à recommencer. J'ai déjà essayé avec quelqu'un Marian, ça n'a rien changer ! Je vis seulement un cauchemar. Quand même je ne pouvais pas terminer comme ça. Et décida de me faire pardonner. Hélas la baffe que j'ai reçu m'a fait beaucoup réfléchir. Ne jamais décevoir une femme !

« Pourquoi ? C'est si marrant que ça de jouer avec le cœur des filles ? » Alaska se mit soudainement à pleurer. La culpabilité m'envahit. Cependant pourquoi m'a-t-elle commencé à jouer avec moi ? Je ne méritais pas qu'on abandonne. On méritait peut-être une explication, non ? Je l'attrapa pour la bloquer contre le mur, avant qu'elle ne commence à s'excuser. Elle n'a pas compris cependant : « Je suis désolée, je n'aurais pas du partir comme ça. » « Non. » « Et je n'aurais pas du essayer de me venger. C'était puéril. » « J'ai appris. Je voulais pouvoir communiquer avec toi. » « Je pensais que tu m'oublierai, que je serais la seule à me souvenir de ce qu'il s'est passé. » « Tu rigoles ? J'ai pensé à toi tous les jours depuis cette nuit là. » « Vraiment ? »  C'est là que commence notre romance, par un baiser qui montrait la valeur de mes sentiments. Pour combien de temps cependant ? […] Le grand moment. Le mariage après multiple tentative de demande de mariage ! On se croirait comme dans Raiponce. Ou on doit persévérer pour se marier avec quelqu'un. Et elle a voulu absolument se déclarer ! « Tu n'es pas obligée. » « Mais tu m'as... Tes vœux étaient parfaits. J'ai aussi des choses à te dire, à te promettre. Je deviens ta femme parce que tu as réussi à me séduire il y a plus de sept ans. Il t'a fallut une unique soirée et c'était fait. Tu avais déjà mon coeur. J'ai longtemps regretté d'être parti ce matin là. J'ai pris peur. Peur de tomber amoureuse et de briser l'homme que j'aime avec un cancer. Mais le cancer j'ai appris à l'oublier depuis que tu m'as retrouvé. Tu me donnes assez de force pour que je me sente forte, guérie pour toujours. Tu nous as construit des fondations solides parce que je n'en étais pas capable et maintenant je pense que c'est à mon tour de faire quelque chose pour nous. J'aimerai porter tes enfants. Deux au moins. Un garçon et une fille. Je veux que tu puisses connaitre cette joie et je veux que ce soit avec moi. Je veux être ta femme, la mère de tes enfants, ta meilleure amie, je veux être tout pour toi. Je t'aime Fabio. For Always and More. Aussi longtemps que je vivrai, je t'aimerai. » Il était vraiment beau, cependant comme dit. Son amour me suffisait amplement. Elle m'embrassa, avant de l'enlacer tendrement. Et avant de sortir le mots comme quoi c'était ma femme. Après avoir attendu longtemps. Elle se mit à rigoler, avant de commencer à rejoindre l'automobile pour la réception. Et à ce moment là un tout autre échange débuter : « J'ai toujours été à toi du jour où on s'est rencontré. Tu as été mon premier et tu seras mon dernier. Je n'ai connu que toi et je ne veux pas en connaitre d'autre. Que tu sois mon mari ou non, je t'aime. I love you to the moon and back. » « Mais maintenant que je suis toute à toi, il va quand même falloir continuer à prendre soin de moi. » « Oui tu auras toujours droit à ton petit verre de vin rouge devant la télé pour le film du dimanche soir. » « Ahh l'homme parfait... » Les femmes sont beaucoup plus intelligente qu'on y croit cependant. On doit toujours s'en méfier. Elle vous demande toujours plus qu'elles ont déjà ! C'est vraiment incontrôlable, cependant on aime énormément ça ! Car après tout on aime souffrir non ? […]

Ca fait deux ans qu'on essaye de concevoir un enfant. J'ai impression que ça fait beaucoup plus de temps. Cependant avec tout ce qu'elle prend, y a des moments ou elle ne veut même pas essayer. Je me demande si ce n'est son traitement qui change son comportement. Je ne veux pas de ça si c'est pour avoir un enfant. J'ai décidé de m'éloigner un moment pour lui faire comprendre. Cependant elle me retient en me disant que je lui ai PROMIS un enfant. Il n'y qu'un enfant qui compte. Je ne suis qu'un donneur de sperme c'est ça ? Je fronce des sourcils, en comprenant son message. Et là commencer le problème, si on peut appeler ça comme ça : « Et tu m'as promis de m'aimer. » « Ne va pas sur ce terrain là. Tu sais très bien que' » « Que quoi ? Que tu m'aimes ? Je demande à voir. T'es incapable de nous faire un bébé et tu nous détruits ! Je compte moins qu'un enfant qu'on aura probablement jamais. » J'ai fais une bourde au moment ou elle commence à s'effondrer, pour s'éloigner et rejoindre notre appartement. Oui je sais que je n'aurai pas du cependant elle préfère SON enfant. Que voulez-vous que je réponde ? J'ai un cœur. Oui je veux un enfant ! Cependant pas à ce prix quand même ! Je reviens donc la voir pour essayer de lui faire comprendre autrement : « On devrait arrêter d'essayer quelques temps. On va y arriver. Maybe things work out when they’re supposed to. Maybe it’s all about timing. Je ne veux pas te perdre. Je veux un bébé, et je veux ma femme. » « D'accord... » Je me demande si vraiment le cœur y était. Je n'ai entendu que la femme, cependant c'est important. Je ne supporterai pas de la perdre pour un enfant. Même si cet enfant compte beaucoup pour Alaska. […] Et on a réussi avoir un enfant quand elle me l'a annoncé c'était vraiment magnifique. Cependant à quel prix ? Ma femme avait de nouveau le « cancer » mais me le cachait pourtant. C'est quand elle allait au médecin, que tout était clair pour Alaska. Elle veut cet enfant même si elle aura de nouveau un cancer ! Je l'ai su uniquement quand elle m'a appelé pour me prévenir pour enfant.

Comme quoi il aurait un problème. Je commence à paniquer quand je vois tout ce sang. Je la porte dans mes bras pour emmener à l'hôpital. Je m’efforçais de la garder éveiller en l'appelant :  « Reste avec moi, on y est presque. Allez Alaska... S'il te plait. » Quand on était à l'hôpital. Le bébé a été enlever rapidement, il était tellement minuscule, et n'a même pas pleurer ! Je ne voulais pas le perdre.. Je repensais à ce moment à Emily. Non ne meurt pas mon chéri ! J'ai besoin de toi comme de ta mère même si elle commence à m'énerver sérieusement ! Elle me cache son cancer, comme le risque pour l'enfant ! Je me met en prendre à elle, en commençant :  « Tu aurais pu le tuer et te tuer. Pourquoi tu ne m'as rien dit ? Ça ne me concernait pas ? C'est mon fils aussi et je t'ai promis d'être là. Pour le meilleur et pour le pire ! » Et tout ça c'était entièrement de sa faute ! La conversation s'en suivit un moment. Quand elle se stoppa pour laisser un moment, le silence prendre soudainement place ! […] Je n'ai plus confiance à Alaska. Et refuse même qu'elle porte notre enfant. Elle risque de le blesser, cependant vous ne pouvez pas comprendre. J'ai vu ma sœur malade, et elle avait beaucoup de mal à porter, comme à s'alimenter par moment. Et j'ai du l'aider sinon elle risquait de se faire mal, comme de blesser quelqu'un. Là c'était pareil cependant elle ne veut pas le comprendre. Elle croit qu'elle est une mauvaise maire ! Je ne dis ça que pour notre enfant et elle vu qu'elle a décidé de s'isoler « définitivement ». Que suis-je censé faire ? Quand elle ne veut même pas continuer. Et quand on commence avec Marian. Là elle voit qu'elle est de nouveau « jalouse » ! J'ai crié certe que je l'aimais c'était pour me venger seulement ! J'ai besoin de sortir ma douleur, comme ma colère pour Alaska. Et cétait la seule façon cependant elle ne veut pas le comprendre. Les derniers mots sont beaucoup plus dur : « Et alors ? Tu es toujours mon mari et le fait que tu sois passé à autre chose ne veut pas dire que je suis passée à autre chose. Ça aurait été plus simple si le cancer m'avait prise rapidement, mais il semble vouloir prendre son temps. » Je ne permettrai pas ces mots cependant. Je m'excusais de l'avoir tromper, cependant elle doit comprendre que j'ai mal autant qu'elle ! Je devais toute façon le dire un moment, mais pour le moment : « Ne redis pas ça ! Je t'interdis de mourir à cause du cancer.. Tu as la chance de pouvoir de te battre ! » Je l'enlaçais avant de m'efforcer de ne plus revoir Marian.