Sujet: (F/LIBRE) ≈ ADELAIDE KANE. Jeu 29 Mai - 23:12
siobhàn fitzgerald
the hearts you break.
≈ NOM : son nom lui vient de la douce campagne irlandaise, fitzgerald, qui était autrefois une fierté, est devenu maintenant un souvenir bien trop douloureux. ≈ PRÉNOMS : son prénom lui vient là encore des mythes irlandais, elle se nomme siobhàn, mais tout le monde a plutôt tendance à l'appeler sio, parce que syllabes à dire c'est bien trop long vous savez. ≈ ÂGE : la jeune femme a vingt-trois ans. ≈ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : elle est née dans un petit hameau au nord de l'irlande en même temps que sa soeur, enfin cinq minutes plus tard. c'était un douze mars, dans les dix-sept heures. ≈ ORIGINES : elle n'a que des origines irlandaises, pour cause ses parents étaient des irlandais purs et durs, autrefois elle voyait ça comme une fierté, maintenant elle souhaiterait avoir la nationalité américaine. ≈ ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : après avoir rejoint son petit-ami en californie, elle a commencé à faire de la médecine, elle aura bientôt fini ses études, et compte devenir médecin généraliste. ≈ STATUT CIVIL : après une vie en commune pendant deux ans, elle était fiancée à l'homme qu'elle croyait être celui de sa vie, malheureusement ce n'était qu'un rêve, puisqu'il l'a quitté pour une autre femme il y a un an. elle est donc célibataire et ne compte pas se rapprocher de la gente masculine à nouveau. ≈ ORIENTATION SEXUELLE : elle n'a toujours que aimé les hommes, elle est donc hétérosexuelle, et rien ni personne ne lui dira le contraire. elle ne pourrait pas se passer de la gente masculine malgré le fait qu'elle la méprise. ≈ TRAITS DE CARACTÈRE : souriante, extravertie, s'adapte vite, ambitieuse, manipulatrice, menteuse, lâche, drôle, curieuse, battante, travailleuse, déterminée, insolente, vulgaire avec les mots, rancunière, susceptible. ≈ GROUPE : valleys. ≈ AVATAR : adelaide kane, non-négociable.
≈ siobhàn a grandi dans une petite ferme dans un hameau au nord de l'irlande. ≈ elle a vécu avec ses parents jusqu'à l'âge de vingt ans, âge où elle les a perdu. ≈ elle y a travaillé puisque ses parents espéraient qu'elle est sa soeur reprennent l'affaire familiale, chose qu'elles n'ont jamais fait en fin de compte. ≈ après l'enterrement de ses parents, elle a décidé de s'en aller en californie, puisque c'était son rêve depuis toujours. elle voulait y étudier de la médecine, mais surtout rejoindre son petit-ami qui vivait non loin du hameau où elle a grandi. ≈ ils se sont enfuis, et elle n'est plus jamais revenue à la ferme, car elle lui rappelait trop de souvenirs. ≈ après un an de vie commune avec son petit-ami, il lui a demandé sa main, mais douze mois plus tard il l'a lâché pour une autre femme. ≈ siobhàn est ambitieuse et c'est une battante, elle ne s'est pas laissée abattre, et compte bien se venger d'ailleurs. ≈ elle a bientôt fini ses études et compte se faire un nom dans la médecine.
antigone fitzgerald. ≈ soeurs jumelle, pour le pire. voilà deux passages de ma fiche qui expliquent bien la déchirure entre antigone et siobhàn.
mort des parents et dispute:
annonce de la mort des parents + antigone vingt ans. Tu regardes tranquillement la télé avec ta sœur à tes côtés, la ferme est calme et vous n'entendez rien d'autre que les rires de la série que vous regardez. Tu entends le microonde sonner, alors tu te lèves pour récupérer le pop corn que tu avais mis à éclater. Tu te sers un verre de jus d'orange et tu en fais tomber la moitié par terre, alors tu décides de sortir la serpillère pour passer un coup, ta mère ne supportait pas les tâches, et pourtant elle voyait de la bouse de vache tous les jours. Tu te redresses lorsque tu as fini, puis tu mets le tout dans le lavabo. Toi et ta sœur vous avez vingt ans et pourtant vous êtes encore dans la maison familiale, prête à reprendre ce que vos parents avaient commencé. Tu souris toujours quand on te dit que tu as l'âme d'une fitzgerald, car au fond c'est vrai, tu veux faire plaisir à tes parents, tu veux les aider et ça ne t'a d'ailleurs jamais posé problème, même si parfois tu préfèrerais faire de l'art ou encore de la photographie. Tu attrapes le bol de pop corn et tu te rends compte que la lumière est allumée à l'étage alors tu montes en courant pour l'éteindre, puis tu redescends. Tu décides d'enfin te rediriger vers le salon, au fur et à mesure que tu te rapproches de la salle tu vois que la télé a été éteinte, alors étonné tu rentres et tu dis « je voulais encore regarder sio, t'abu- » puis tu la vois en larmes devant la télé éteinte, immobile, tout en sanglotant difficilement. Tu vois le téléphone allumé à côté d'elle et tu l'attrapes pour savoir qui a appelé et tu poses le combiner sur ton oreille tout en disant « âllo ? » puis pendant quelques secondes tu restes bloqué sur la phrase que l'homme venait de te dire, tu restes stoïque, immobile, tu articules difficilement des oui, puis tu raccroches, tu raccroches, car tu n'as plus la force de faire quoi que ce soi d'autre. Tu regardes ta sœur et tu sens des larmes couler sur tes joues, puis tu te jettes par terre, tu mets ta tête dans tes genoux et tu essayes d'encaisser cette nouvelle, cette nouvelle qui venait tout juste de te briser en quelques morceaux. (…) tu enfiles ta robe noire avec difficulté, puis tu attrapes un mouchoir que tu passes sous tes yeux, tu as envie de pleurer, tu évites du mieux que tu peux de ne pas craquer, mais c'est si difficile. Tu descends les escaliers et tu regardes toutes ces photos pendues sur le mur, tu ne veux pas les voir, non, pour toi ce n'est qu'un cauchemar, ça ne peut pas être réel, non tu ne viens pas de perdre tes parents. Non. Tu t'assois sur une marche pour enfiler tes chaussures et tu vois ta sœur qui a la même allure que toi, cadavérique, presque absente. Elle s'assit en face de toi et te prend dans ses bras tout en sanglotant, et tu l'accompagnes, car tu n'as rien d'autre à faire. Puis elle te murmure dans l'oreille « je m'en vais ce soir antigone. » tu te détaches d'elle et tu la regardes longuement avant de lui dire « où ? Chez papi et mami ? » tu la comprenais, tu voulais faire de même, t'enfuir, quitter la ferme, tirer un trait sur cette vie qui ne servait à rien sans tes parents. « non, je pars, je veux aller loin, faire ce dont j'ai envie de ne plus jamais revenir ici. » tu restes muette devant ses yeux, elle t'avait déjà parlé de ses plans, mais n'avait jamais osé les mener à bout, car ils voulaient dire partir loin, aller en californie et rejoindre son petit-ami. « tu pars ? Tu t'enfuis, alors que papa et maman voudraient qu'on reste là ? Qu'on abandonne pas la ferme ? T'es sérieuse ? » tu sens la colère monter, ta sœur avait toujours été tempéré, plus que toi, elle réfléchissait avant d'agir alors que toi jamais. Elle te regarde, vous vous affrontez par le regard et elle te dit « oui. Je veux pas rester là, trop de souvenirs, j'ai pas le - » « t'es une lâche, tu penses que moi ça me fait rien de rester ici ? Pourtant je le fais, je veux honorer papa et maman et dès qu'ils ne sont plus là, toi tu te casses ? Tu me déçois. » le ton est monté, tu t'en rends compte, tu sais que ça va mal finir, mais tu t'en fiches, tu veux lui faire mal, car elle est en train de t'en faire, tu veux comprendre, mais tu sais que tu n'y arriveras pas. « je te croyais plus forte que ça. » siobhàn se lève d'un bond, alors tu la suis, elle ne te répond pas pendant plusieurs minutes. « je veux pas pourrir ici, pas avec tous ces paysans, pas avec toute cette merde, je veux oublier, je veux vivre ma vie, que ce soit avec toi ou pas. » puis soudain ta main se lève et tu la gifles tellement fort qu'on entend un énorme claquement dans toute la maison vide. Tu as les larmes qui montent, mais tu refuses de les laisser couler. Tu recules un peu, et tu vois les yeux de ta sœur se transformer « espèce de conne. Tu comprends rien de toute façon, t'es la ratée de la famille, tu pourriras ici comme tout le reste des irlandais qui se trouvent ici. La prochaine fois que tu lèves la main sur moi, je te la coupe. Merde. » puis elle te tourne les talons et s'en va. Tu sais que tu ne lui pardonnerais jamais, elle t'abandonnait, alors que toi tu comptais rester.
retrouvailles en californie:
retrouvailles avec siobhàn + antigone vingt-un ans.Tu regardes par-dessus ton épaule et tu lèves les yeux au ciel, il n'y avait que des riches héritiers, et toi tu étais seule, perdue dans ce bas monde qu'on t'avait forcé de supporter. Cela faisait maintenant presqu'un an que tu n'avais pas revu ta sœur et même si tu avais hâte de revoir son visage, votre dernière rencontre avait été douloureuse et plutôt tendue, mais tu avais accepté de venir la voir là où elle s'était installée. Tu avais quitté ta petite irlande pour te retrouver en amérique, tu avais tout plaqué, tout délaissé pour te retrouver ici sous les palmiers et sous le soleil. Tu ne savais pas exactement si c'était une bonne chose, tu en avais besoin, tu avais besoin de quitter cet endroit qui te rappelait sans cesse pourquoi tu ne voulais pas le quitter. Après l'enterrement de tes parents tu avais eu du mal à t'imaginer autre part, tu refusais de partir, car si tu le faisais tu avais l'impression de les trahir, ils voulaient que tu reprennes la ferme, mais honnêtement tu n'étais pas faite pour cette vie, tu voulais voyager, voir du paysage, alors indirectement tu avais suivi ta sœur, mettant la ferme des fitzgerald en vente, puis tu avais pris tes sacs sans regarder derrière toi. Tu tournais les yeux vers le fiancé de ta jumelle, et là encore tu ne pus t'empêcher de sourire narquoisement, il était riche, cela se voyait à ses manières, siobhàn avait trouvé l'homme de ses rêves, elle était devenue tout aussi superficielle que ceux qui l'entouraient. Tu t'approchas d'elle avec un pas élégant qui se devait confiant et tu t'arrêtas à côté d'elle, en lui tapotant sur l'épaule. Elle se retourna avec un petit sourire sur les lèvres et te prit dans ses bras, mais ce n'était pas naturel, presque forcé, comme votre relation d'ailleurs. Tu t'énonnas de la prendre dans tes bras également et de la serrer fort, tout en essayant de retenir tes larmes qui étaient prêtes à couler sur tes petites joues. Tu l'as relâcha en premier et elle te fît signe de vous isoler, alors tu la suivis, car depuis toujours elle était celle qui te guidait, qui te disait quoi faire. « je suis vraiment heureuse de te voir antigone. » elle te sourit, tu ne lui rends pas, tu lui en voulais toujours pour ce qu'elle t'avait fait il y a trois ans, et pourtant c'était si difficile de lui en vouloir, elle était ta seule famille, la seule personne à qui tu pouvais te raccrocher et pourtant tu continuais à jouer à l'implacable rancunière, qui ne savait jamais lâcher prise. Froidement tu lui répondis « je suis venue ici, et je ne sais même pas pourquoi. » effectivement, tu ne savais pas ce que tu foutais ici, la dernière fois que vous vous étiez vus, tu lui avais mis une gifle dont elle devait sûrement se rappeler, et pourtant elle n'agissait pas comme quelqu'un qui venait de se faire taper par sa sœur. Elle devait avoir appris les bonnes manières des riches, l'hypocrisie, toutes ces bêtises qui t'étaient toujours passées au-dessus de la tête. « tu sais antigone, tu pourrais me dire que tu es contente de me voir, ça ne te tue- » « je ne suis pas contente de te voir. Tu te rappelles la dernière chose que tu m'as dite ? Parce que moi oui. » siobhàn arqua les sourcils, avant de te prendre le bras, tu la laissas faire, car de toute façon tu n'avais pas le choix, tu n'avais aucune envie de te battre ou de faire quoi que ce soit. « tu m'as giflé, tu voulais que je réagisse comment ? Mais c'était il y a un an, s'il te plaît, on ne peut pas- » « non on ne peut pas. » elle croisa ses bras sur sa poitrine avant de te fusiller du regard, elle avait toujours été la plus ouverte, la plus sociable de vous, et celle qui savait le mieux tempérer ses impulsivités, pourtant tu savais très bien qu'elle avait envie de te gifler, de te secouer pour te faire comprendre qu'ils étaient partis, que tout était fini et que tu ne pouvais rien faire contre. « alors tu es là pour quoi ? Me dire à quel point je suis une garce ? J'ai refais ma vie et ça ne te plaît pas, peut-être que tu es jalouse. » elle te défiait du regard, elle voulait voir ta réaction, voir si tu avais changé et en réalité tu savais que tu n'allais pas pouvoir résister, tu te sentais obligé de lui répondre. « jalouse ? Dois-je te rappeler que tu as toujours été celle qui m'enviait ? Non parce que j'ai l'impression que ta mémoire te joue des tours. » tu marquas une légère pause pour faire durer le suspens, puis tu ajoutas « je pensais au moins que t'allais culpabiliser, mais en réalité t'es conne de croire que t'es bien là. T'es même pas à ta place sio, tu trahis les parents, tu fais tout ce qu'ils ne voulaient pas que tu fasses, mais aller vas-y, retourne avec tes petits snobs, deviens la hantise des parents. » elle s'approcha de toi avec son poing en l'air, oui elle était susceptible, tout autant que toi et le fait de parler des parents était presque insupportable, et pourtant tu avais ramené le sujet à ça, car tu voulais lui faire mal, tellement mal. « connasse. » tu la regardas avant de lui répondre tout aussi sèchement « je t'emmerde et je te hais. » puis tu tournas les talons pour t'en aller, vous vous enflammiez pour un rien, mais la tension était bien là et votre relation mise à rude épreuve.
alors pour faire court, elles sont donc jumelles, mais ça me paraît évident, elles ont vécu ensemble jusqu'à l'age de vingt ans, puis les parents sont morts et les choses se sont compliquées. étant donné que siobhàn a toujours rêvé de pouvoir faire ses études en californie, elle a décidé de s'en aller juste après l'enterrement pour se délivrer de tout souvenir douloureux. antigone a pris ça comme un abandon, mais surtout une trahison, elle qui pensait qu'elles allaient toutes les deux rester à la ferme. siobhàn est donc partie, et antigone n'a pas mis longtemps à la suivre en californie, elles se sont retrouvées, mais faut dire que ça ne s'est pas très bien passé. leur relation est froide, pleine de tensions et ce n'est pas prêt de s'arranger. elles habitent à trois pas de l'une de l'autre et pourtant elles s'ignorent, car elles sont trop fières et bornées pour se relier, comme elle devrait le faire.
Antigone Fitzgerald
≈ PSEUDO : ice and fire.
≈ MESSAGES : 78
≈ CÉLÉBRITÉ : adelaide kane.
≈ CRÉDIT : rusty halo.
≈ STATUT : célibataire.
Sujet: Re: (F/LIBRE) ≈ ADELAIDE KANE. Ven 30 Mai - 18:19
les petites règles
genre je sais que tu veux le tenter.
kewkew. (sorry pour le gif, mais huhuhuhu) si tu regardes le scénario ça veut dire qu'il te plaît bien, du coup laisse moi te dire que jotem déjà. siobhàn est genre la personne la plus importante dans la vie d'antigone, même si elles sont légèrement en froid, mais elle reste un point très marquant dans sa vie, donc si tu la tentes, je te prépare des rps de foufinou. bon par contre, il y a quelques règles à respecter, mais rien de bien méchant. ≈ AVATAR :je pense que je n'ai pas besoin de dire que adelaide kane n'est absolument pas négociable, c'est une bgette, puis en plus siobhàn et antigone sont jumelle, des vraies, de vraies, so, c'est pas possible de changer. ≈ PSEUDO :alors j'ai mis siobhàn parce que j'aime beaucoup ce prénom, mais là encore il est négociable, même s'il est tapissé sur ma fiche. après je me réserve un droit de véto, et j'aimerais bien qu'il sonne un peu irlandais, if you know what i mean. pour le nom de famille il n'est pas négociable bien entendu, on sépare pas les sistas fitzgerald. ≈ HISTOIRE :l'histoire, la date de naissance n'est pas négociable, ou du moins pour l'enfance, ensuite sa rupture avec le dit fiancé et tout le reste est plutôt libre, je veux que vous vous appropriez sio, donc n'hésitez pas à ajouter de la romance, de la haine, de l'ambition, après tout c'est votre personnage. ≈ LIEN :un lien n'est jamais négociable et celui-là ne l'est surtout pas. siobhàn et antigone ne s'entendent pas et c'est un gros contraste par rapport à leur vie avant la mort de leur parent. autrefois l'une sans l'autre c'était inimaginable, maintenant ça l'est, même si ça leur fait mal. après pour l'évolution, faudra qu'on voit ensemble, ajouter des points, des idées et tout. ≈ ORTHOGRAPHE/PRESENCE :j'en demande pas beaucoup, je sais que y a le bac, so c'est difficile de passer tous les jours, mais une réponse toutes les semaines ou deux semaines ça me convient très bien. pour l'orthographe je demande quand même le strict minimum, tout le monde fait des fautes, mais je veux pas quelqu'un qui écrit le français comme une vache espagnole.
wouala, ce sont mes conditions, elles me paraissent pas trop méchantes quand même. sinon inscrivez-vous, je suis gentille, les deux soeurs seront enfin réunies, dans le meilleur comme dans le pire, so faut pas hésitez et jovousaime déjà si vous la prenez.