Je dormais auprès de ma femme. Ce qui était une première fois depuis longtemps. Et cette fois on compte rester comme auparavant. Le problème c'est que ma femme a eu envie de vomir. Que je n'ai pas pu me réveiller pour l'aider ! Le petit avait complètement perturber mon sommeil. Du coup impossible de l'enlacer quand elle prend les médicaments. Oui, ça peut être un bon remède, un enlacement. Le matin y a rien de mieux pour se réveiller, que votre femme qui vous embrasse. Je l'ai vécu aujourd'hui. Qu'est-ce que j'aurai voulu faire semblant de pas me réveiller. Uniquement pour que le moment se prolonge ! La petite tornade vient sauter sur le matelas, pour demander le déjeuner. Obligé de me réveiller, en ronchonnant, parce qu'il commence à m'énerver à me réveiller en sursaut. Ou de mauvaise humeur, mais ça va changer ! Il me faut un peu de temps seulement. Il vint me rejoindre sur le matelas, pour pouvoir m'enlacer qu'on appelle « le câlin du matin ». On peut commencer à parler : « Mamie vient ? » « Oui bonhomme ! J'espère qu'elle n'aura rien acheter ! » « Ah si ! » Oh ça je m'en doute que ça lui plaît beaucoup. Et même si ce n'est que des vêtements, comme ça il s'amuse à défiler devant mamie, qui est admiratif devant son petit-enfant qu'elle aime vraiment trop. J'espère qu'elle reviendra vite, comme elle nous a promit récemment.

Là voilà avec un plateau de pancake, mais cependant vu qu'elle est sous le coup de la chimio de nouveau. Elle repart pour prendre un bain, et reprendre comme si elle m'avait complètement oublié ? Ça fait quand même drôle. Surtout comment la journée de hier était. Bon cependant papa va s'occuper du bonhomme pour le moment. Il termine avec moi les pancakes, avant de remettre le plateau dans la cuisine pour le mettre au lave-vaisselle ! Elle nous embrasse quand elle nous voit au passage pendant que je  m'occupe de Raffaele : « Caca papa ! » « Tu veux faire caca ? Va apporter le pot, mon chéri ! » Il va chercher le pot, mais cependant ça m'étonne qu'il veut faire dans le pot pour le moment. On va dans la salle de bain ensemble, avant de retirer son pantalon, comme sa couche pour le déposer sur le pot comme un grand. Je fais comme si je poussais, pour montrer comment il faut faire pour pousser. Papa s'y met également ! « Veux pas ! » « Il faut essayé ! Et promis si ca vient pas ! Ben dans la couche ! » « Couche ! » Au bout d'un moment, il a tout de même réussir. Ce qui est bon signe ! Il se balade partout dans la maison pour trouver maman, et lui annoncer qu'il a sorti un seul caca pour le début. Oui le reste viendra dans la couche, cependant il est content. Au bout d'un moment quand il la trouve en train de cuisiner : « Mama caca pot ! » Je l'attrape pour lui remettre la couche, comme son pantalon. Et vient rajouter « Il a réussi à faire dans le pot ! »

On repart dans la salle de bain pour prendre le bain. Je le déshabille pour le mettre dans l'eau, et s'amuser un moment. Le bain était plutôt mouvementé, beaucoup de bruit. Raffy sortit rapidement, pour pouvoir le changer de vêtement, comme de couche. La couche termina à la poubelle, avant que je la met dehors pour éviter que ça pourrit ! Comme c'est le matin, y a Zou le jeune Zèbre comme le manège enchanté ! Les deux qu'aiment beaucoup à Raffaele, donc pour le moment on va devant la tv. Elle nous rejoint devant la tv, pour s'allongeait contre moi doucement. La fatigue de la chimio revenait, après la journée éprouvante de hier c'était normal ! Je caresse doucement sa joue, en l'embrassant tendrement, observant le bonhomme s'amusait. « Tout est prêt pour ta famille... Tu me réveilles un peu avant qu'ils n'arrivent. Je voudrais pouvoir mettre le petit costume que tu adores à Raffaele. » « Il n'y a pas de problème ! Repose-toi tu l'as bien mérité, ma chérie ! » Je pris sa main pour la serrer doucement, en surveillant l'enfant, comme mon portable pour voir si Barbara (cousine) m'a pas prévu du temps qu'il mettrait pour arriver devant leur maison ! Je regarde la télévision avec mon enfant, qui se met à essayer de chantonner le refrain. Il n'y a pas à dire c'est vraiment ce que je voulais. Ma femme, mon enfant. Et le tout accompagnait de mes parents, et de ma cousine enceinte ! […] Je reçois au bout de quelques temps un message, pour me prévenir qu'il arrive dans même pas trente minutes ! Et qu'elle me voulait dehors pour les accueillir. Je me réponds, que ca risque pas vu ses sauts d'humeur. Elle va commencer à me faire regretter de l'inviter ! Je l'embrasse tendrement pour la prévenir que c'est le moment : « Ils arrivent dans même pas une demi-heure ! »

Il s'est mis à émettre un son pour montrer son dégoût. « Beurk ! » Il a même réussi à surprendre son parent. La belle se retourna, pour reporter son attention à Raffaele. Je me retiens de ricaner en apercevant le bonhomme, cachait son visage pour pas voir. Qu'est-ce qu'il ne faut pas voir ! Elle demanda pourquoi il a répondu beurk. Le plus drôle ça va être la réponse de Raffy à ce moment. Quand il poussera comme un champignon. Il aimera beaucoup, comme mon parent. « Qu'est ce qui est beurk ? » « Les bisous. » Je me mis à rigoler en même temps que Alaska, pour lui promette d'arrêter. Quoi ? On m'a même pas demander mon avis ! Je veux qu'on me donne des « bisous ». Les bras sont croisés, en commençant à bouder pour montrer mon mécontentement. Oui comme un garçonnet, qui boude parce qu'elle m'a pas enlacer ! La maman se lève pour se mettre à la hauteur de Raffy, pour venir le câliner un moment. Ils partirent ensemble pour mettre le costume, pour que monsieur soit vraiment parfait. Il avait entendu auparavant que maman lui mettrait son beau costume. Comme ça papa pourra changer de vêtement, et mettre un peu de gel également ! Elle ne perdit pas du temps, car Raffy se mit à courir rapidement pour me montrer. J'entendis qu'Alaska gueula pour le prévenir, et donc le bonhomme acquiesça, en s'exécutant. Il attendit sa maman pour accompagner, mais il remarqua que maman avait pas beaucoup de cheveux d'un coup. Et comme moi il pensait exactement, qu'elle était vraiment belle ! Il n'avait même pas tiquer. « Mama cheveux picpic jolie. » Elle pose sa main pour remarquer qu'elle a perdu sa « perruque ». Le moment était tellement parfait, que même Raffy avait remarqué ! Il en profite de l'occasion pour la pointer du doigt en sautant sur son matelas.

« Mama !! » Lorsqu'il appelle maman, pour me montrer qu'elle est dans notre chambre parentale. Je reporte mon attention sur Alaska, qui avait l'air beaucoup plus mal à l'aise ! Le truc c'est que je n'ai pas terminé de me préparer, me manque encore de prendre mon gel coiffant ! La maman intervient pour qu'il se stoppe de sauter. Il caresse donc les cheveux de maman, en appréciant apparemment, et rajoutant : « Doux doux !! » « Ou est mon gel ? » Je commence à fouiner partout, avant de remarquer son emplacement. Quand je bouge souvent, mon gel bouge pratiquement en même temps ! Je souris doucement, en voyant comment était notre bébé avec Alaska. Je me met du gel sur mes cheveux, pour me brushinger comme maman. Quelques coups de parfum ! « Je vous aime tous les deux. » « Nous aussi, on t'aime chérie ! » « On aime ! » « Tu peux rester comme ça, mon amour ! Ma famille te trouveront magnifique ! Fais-moi confiance.. » J'embarque tout le monde. Car le temps passe rapidement, surtout quand on s'y attend pas apparemment. Et vu que mon parent s’inquiète beaucoup, par rapport à déranger quelqu'un. J'entends déjà quelqu'un stoppait le moteur de leur automobile, et sûrement maman commence à s'inquiéter ! Il s'approche doucement, en parlant ensemble, papa va sûrement parler de « sport ». On va bien rigoler pendant le match. Le moment ou les femmes s'isolent ! Les parents se stoppent devant la porte, pour toper avant de commencer à parler : « Il y a quelqu'un ? » « S'il faut ils sont pas encore arrivé ? » « Mais si, ne t'inquiète pas ! » « Il ne raterait pas un match ! » Il n'a pas tord cependant, on aurait pu être en déplacement comme dit récemment. Là ce n'était qu'une « taquinerie » uniquement ! On va beaucoup s'amuser ! Je me retourne auprès de ma femme, pour embrasser tendrement. Et la prend tendrement pour la rassurer, comme elle a peur de leurs réactions ! « Tout va bien se passer ! Ne t'inquiète pas, mon amour ! » Je la serre doucement, avant d'ouvrir la porte pour que tout le monde pénètre à l'intérieur rapidement.

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italique la mère
gras le père

Il y a même Raffaele qui est d'accord. Je l’entraînai pour qu'elle n'est aucun moyen de récupérer sa « perruque ». La famille va pas se moquer ou même critiquer Alaska. Ma mère a eu déjà Emily, et sait comment c'est douloureux ! Je pense que tout va bien se dérouler. Oui, bon Barbara va être beaucoup envier ! Oh pour moi quand on voit le comportement de Barbara. Ca m'amuse, cependant quand ça m'arrivera je réagirai peut-être comme Peter ! Bien entendu Madame a tout entendu comme auparavant. La première a pénétrer dans ma maison, pour commencer à parler : « Qui fait peur ? » « Toi ! » « Oh arrête ! J'ai pas tant grossi ! » J'adore comment elle réagit. On voit son changement de comportement, tout le temps. Il suffit d'une occasion comme quand on mange, sans même l'attendre, ou même quand on la taquine beaucoup, etc.. Et la moindre occasion m'est évident. Cependant vu qu'elle sort par moment d'énorme connerie comme : « Tu verras quand ça t'arri.. » « Ah c'est sûr que je risque d'être enceinte, Barbara ! Je me suis travesti pendant ton absence ! Tu ne le savais pas ! » « Ah méchant ! Mais pourquoi t'es méchant avec moi, et pas Alaska ! » « C'est ma femme c'est peut-être pour ça ! » Bref on arrête de rigoler pour ce moment, le bonhomme court pour voir ma maman, et que Alaska répond : « Bonjour. » « Ah une revenante ! » « Bonjour, ma chérie ! » « Bonjour, Alaska ! » Oui la colonie répond en même temps. La voilà à jour devant tout le monde, quand il sauta rapidement pour qu'elle le prend. Et là il découvre un cadeau, comme auparavant, quand je lui demande, elle ne comprend pas apparemment. Je vais la voir en croisant les bras, pour montrer mon mécontentement. Elle comprend facilement normalement, comme d'habitude !

« Maman, tu vas le rendre pourri gâté ! » « C'est mon petit-fils, chéri ! » « Il est jaloux ! » « N'importe quoi ! » La belle embrassa tout le monde, avant de retourner auprès de moi. Je fis de même, avant de refermer rapidement, pour pas laisser le courant d'air. Je vois bien qu'elle veut s’éclipser un moment, pour pouvoir respirer. Elle a peut-être peur ? Je ne voudrais pas qu'elle se sent mal à l'aise tout le temps, cependant ma mère me devança pour la complimenter quand elle demanda en même temps pour boire quelque chose : « Est ce que vous voulait boire quelque chose ? » « Alaska tu es magnifique aujourd'hui ! » « C'est vrai ! Je t'envirai même, moi qui dans quelques mois va ressembler à une baleine ! » « Enfiiiin tu l'avoues ! » « Méchant ! » Elle est malheureuse, cependant ça va rapidement changer, mon père en béquille mais qui a beaucoup de mal. A décidé de répondre à sa question finalement et irait bien l'accompagner. Il a senti son mal être cependant, et va sûrement la rassurer : « Oui, on veux bien ! Je vais t'accompagner ! Le médecin m'a dit de faire du sport ! » « Tu le surveilles ! Il est capable de tomber même avec les béquilles ! » Là j'avoue que handicapé comme je l'appelle depuis longtemps, a beaucoup de mal surtout depuis qu'il a commencé la « rééducation ». Il accompagna donc rapidement, avant qu'il remarque qu'elle repart de nouveau, donc il commence à la stopper : « Ne te sent pas mal à l'aise, Alaska ! Tu es de notre famille.. Et je te comprends, moi même j'ai quitté ma femme pendant quelques années.. Je n'ai plus le contrôle de mes jambes, cependant je n'en ai pas honte ! Car on est tous différent.. Montre-toi tel que tu es ! » Le discours termina, elle lui répondit sûrement. Par contre elle repartit pour commencer à servir rapidement Raffaele, puis demander aux membres Firenze. Ma sœur communiqua d'un moment : « Viens nous rejoindre ! On doit rattraper deux ans quand même ! C'est long ! » « Ah ah.. » « Oh toi ne dis rien, M. Firenze ! Tu viens même plus me voir en Italie ! »

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Je me concentre sur ma femme, en la prenant contre moi doucement. Il ne faut vraiment qu'elle se sent mal. Les regards des autres ne sont pas important, car ceux qui comptent vraiment. C'est uniquement ceux des personnes qui t'aiment ! Et c'est une vérité, si on se fie beaucoup aux personnes « insignifiantes ». On peut beaucoup en souffrir ! Il faut vivre comme on veut, pour ne se priver du plus important. Je l'ai appris avec Emily qui m'a apprit que même en ayant pas de cheveux, ou même qu'on est malade ! Il y a toujours une échappatoire pour continuer à rêver ! Car elle a retiré sa perruque, quand elle a comprit que seulement mon regard est important ! Barbara commença entamer le sujet de mon départ. Oui c'est vrai qu'on a toujours vraiment inséparable ! Et que du jour au lendemain. Pouf complètement disparu ! Je l'embrasse tendrement, avant prendre sa main pour la serrer doucement : « On viendra. On va organiser ça bientôt. Ce n'est pas comme si je risquai d'être dans la même situation que toi. » Le message a été passé, et tout le monde a pu remarqué qu'elle en souffrait. A ce moment, je met sa tête sur mon épaule, en embrassant son front doucement. Barbara qui n'aimait ça, s'approcha de Alaska pour lui remonter le moral. Car elle apprécie quand même beaucoup ma femme. Elle se met à sa hauteur, avec beaucoup de mal, avant de répondre à son appel : « Oh non, ne dit pas ça Alaska, voyons ! Je te dis par moment on aimerait que ça s'arrête ! Et tu as fais vraiment un magnifique garçon ! Je t'envie beaucoup, tu sais ! » L'effort pour rassurer Alaska me touchait beaucoup. Le petit changea de sujet à ce moment, en parlant de manger, souriant grand en même temps. Il savait comment attirer l'attention, comme son paternel. Le nombre d'amoureuse que j'ai pu avoir. Là elle vient soudainement communiquer d'un nouvel enfant ! Je serais ravis de revenir parent, cependant il n'est pas question que mon amour souffre !

« On pourra en discuter ce soir ? D'un deuxième bébé... » Je hoche la tête, en l'embrassant de nouveau. Oui, il n'aime pas ça ! Cela ne m'empêchera pas de recommencer. Il vaux mieux changer de sujet, non ? Le mal va durer cependant, et je ne veux pas qu'elle souffre ! Et ça me rend impuissant de pas pouvoir la sauver de son malheur. Comment suis-je censé récupérer le coup ? Je soupire un moment avant de répondre : « Tout ce que tu voudras, mon amour ! » Et pour le coup, ma mère reporta son attention sur le bonhomme, tout en repensant qu'il serait beaucoup mieux de parler d'un sujet beaucoup moins « fâcheux » comme elle dirait ! Là c'est d'abord mon paternel qui commence à parler de sport, comme d'habitude. Car malgré son handicap, il n'arrêtera pas de regarder un match, ou même d'en parler ! Et ça pour le plus grand malheur de mon parent. « Fabio, c'est la demi-final ! » « Oh non parler pas de sport, s'il vous plait ! » « Ils vont en parler des heures ! » On se met à rigoler, en voyant comment ma maman, et Barbara se comportaient par rapport au sport. Même Raffaele se mit à rigoler en même temps, et demanda même de regarder le match : « Match ! » « On va t’initier au sport, mon garçon comme ton père ! » Il passa sa main sur ses cheveux, qu'il se remet à coiffer rapidement. C'est à ce moment que maman se retourna vers Alaska pour lui demander par rapport à son métier. Vu qu'elle a eu deux ans pour travailler, elle a du beaucoup dessiner, comme beaucoup de chose à montrer. Les deux femmes s'en réjouissaient déjà : « Oh d'ailleurs comment ce passe ton travail, ma chérie ? » « Oui c'est vrai que tu es dessinatrice ! On pourrait voir quelques un.. Je pourrais t'en acheter également.. Il faut vraiment que j'en prend pour Bella ! » « La petite va être beaucoup impressionner.. » Je regarde ma femme, pour voir comment ça se débrouiller avec ma maman, comme Barbara. Car elles font vraiment de leur mieux pour qu'elle se sent bien ! C'est vraiment adorable d'ailleurs ! Oh et Barbara rajouta quelque chose par rapport à l'enterrement d'Emily. Vu que tout le monde parlera sûrement Italien : « Il faudra que Fabio t'apprend l'italien quand vous viendrez ! Surtout que pour l'anniversaire d'Emily. Tu risques de voir tout le monde communiquait Italien ! »

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Je me détache de ma femme. Qui va récupérer son travail. Le temps lui avait permis de beaucoup crayonner. Comme moi pour essayer d'oublier pour recommencer pour Raffaele. Le plus dur a été sûrement de voir son parent malheureux. Et c'était important d'oublier pour être « heureux ». Je la prend contre moi quand elle revient rapidement. En même temps, je me met à observer comme beaucoup. Ma mère a opté pour ceux de Raffaele, dont elle est complètement devenu « gaga ». Quant à Barbara qui adorait vraiment, aurait en voulu pour son enfant, comme son prochain qui en préparation ! La belle accepta, dont elle reçut un bisou pour remerciement. Je me doute qu'elle appellera son époux comme son enfant pour leur annoncer ! Là je me met à hausser du regard, en comprenant que je devenais beaucoup plus vieux ! Barbara me tapote l'épaule, en remarquant mon regard dépiter : « Oh mon pauvre Fabio ! Tu te fais vieux ! Bientôt la quarantaine ! » « Merci de me le rappeler ! » Elle tira la langue à ce moment, en rigolant pour montrer que j'ai encore du mal à affronter le temps ! Je fis une moue, comme montrer qu'elle me rappelait que récemment on me demande de fêter mon « anniversaire ». Je ne suis pas un enfant seulement. Et ce n'est pas important de me rappeler cet événement ! Les dessins passèrent et ce fut à nouveau ceux de mon bonhomme, et de moi. Les vrais moments qu'on a vécu !  « Raffy ! Papa y Raffy ! » Je dépose un baiser sur le front du bonhomme, avant de retourner avec ma femme, pour embrasser tendrement. Tout ce passait parfaitement bien. Le petit pointa du doigt, en étant fier de se voir dans les crayonnage de son parent. Je suis fier de ma femme, car c'est elle devenue une vrai « artiste ». « Oui c'est toi et papa. Comme sur les dessins dans ta chambre. » « Ils sont vraiment magnifique ! J'aurai voulu avoir un don pareil ! » « Il y a des cours de dessins, Barbara ! »

« Je suis trop vieille pour ça ! » Je me moque d'elle à ce moment, alors qu'elle a quand même quelques années, de moins que moi en ce moment. Et il n'y a pas d'âge pour apprendre. Car ma mère a apprit à tricoter, au même cycle de « grossesse » qu'elle ! Il est vrai que les représentations de la chambre de Raffy sont beaucoup plus vieux ! Oui je reviens sur le sujet, car pour ne pas évoquer mon vieillissement ! Barbara enchaîna avec son apprentissage pour « italien » comme quand elle viendra pour l'enterrement. Oh faut pas dire ça tout peut s'apprendre, faut seulement de la volonté ! Je risque de me dessécher en commençant à tout traduire ! Quand on apprend tôt, c'est normal qu'on arrive beaucoup mieux ! « Je suis vraiment mauvaise en langue. Va falloir qu'il me traduise tout parce que jamais je n'arriverai à apprendre l'italien. Même si j'essaye... Je suis sure que Raffaele se débrouille déjà mieux que moi. » « Il ne faut pas partir défaitiste ! Il faut seulement de la volonté, et de la motivation ! Le pauvre, il va être dessécher complètement ! Tu vas réussir, t'inquiète ! Fabio a bien apprit anglais pour pouvoir communiquer avec toi ! » Le petit essaya à son tour de prononcer un mots, qu'on a apprit ensemble, pour d'abord apprendre la « base » principale ! « Buongiorno. » Je me met à sourire, en répondant : « Bena, Raffaele ! » Là par exemple, Barbara commence à traduire pour lui montrer que ce n'est compliqué ! On va dire que ça dépend de beaucoup de monde. « Raffaele a dit « Bonjour » et pour confirmer son accent Fabio a répondit : « Bien, Raffaele » ! » Il était peut-être plus simple de comprendre qu'apprendre. Et ça faut beaucoup d'apprendre pour avoir les deux comme acquis ! La surprise fut quand Alaska demanda par rapport à « sa grossesse ». Qui apparemment ne voudrait pas apprendre le sexe de son enfant, car elle est persuadé d'avoir un garçon ! Elle a même tout préparer pour son garçon qu'elle rêve déjà d'avoir !

« Sinon comment va ce petit bout ? Il grandit bien ? » Elle pointa du doigt son ventre arrondi. Quand le petit se mit à toucher, pour communiquer avec l'enfant, qui donnait des coups. La grimace qu'elle eut à ce moment, c'est qu'il doit répondre bien à Raffy. « Pour le moment il va parfaitement bien ! Je dois seulement être surveiller.. On a quelques antécédents familial. Après j'avoue que j'aimerai expulser, car il m'épuise complètement !» Je me retiens de rire à ce moment, en me rappelant de son vécu quand elle me l'a raconté ! Oui car un jour elle a cru que quand elle poussait. Le bébé risquait de tomber en même temps, donc elle avait peur d'aller au WC. « Et si ce n'est pas un garçon ! Tu auras dépensé tout pour une chambre d'un garçon ! Elle n'a même pas demander le sexe de l'enfant, Idiota » « Je vais avoir un garçon ! J'en suis convaincu, Fabio ! C'est mon instinct maternel » « J'espère que ton instint ne s'est pas trompé ! Sinon je rigolerai à ce moment.. »

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Le petit comprit rapidement. En même temps pour demander quelque chose. Il est toujours le premier. Là ce n'est pas vraiment le moment. Car on allait manger prochainement. Hors de question de manger qu'il commence à manger beaucoup pour devenir comme Barbara – en période de maman – Oui donc il va comprendre qu'il doit attendre un moment. Si je ne me montre pas un minimum méchant, il va continuer à me réclamer. Depuis il me connaît parfaitement Raffaele. Quand papa est méchant. Il faut être mignon ! « Gelato papa ! » « Dopo il pasto. » Je montre mon regard mécontent, pour comprendre qu'il n’obtiendra pas son dessert maintenant ! Le bonhomme attend un moment, avant de remarquer que je ne céderai pas. La réponse étonnait beaucoup Alaska, en même temps Barbara en souffrait beaucoup. Car elle manquait de sommeil, crisait beaucoup à cause de son comportement changeant, comme les douleurs qui ressemblait beaucoup à des contractions. Et puis elle a décidé pour le deuxième de faire par « césarienne » pour ne pas avoir la peur que le bébé a vraiment du mal. Ça la rassure beaucoup de savoir que justement : il sera rapidement sorti, comme prit en charge, pour si vraiment y a un problème ! Je la taquinais un peu, avant de me préoccuper de ma femme. Je veux vraiment être présent, comme pour pouvoir être cette épaule qui aidera comme la rattraper. Qu'elle n'est plus vraiment besoin de retourner dans son monde pour se protéger ! « Je t'explique pourquoi, j'ai beaucoup de mal à me déplacer, comme à ne pas aller aux toilettes, ou même à ne pas criser pour n'importe quoi. Les douleurs commencent à vraiment peser ! Je me prend souvent la tête avec mon mari ! Je grossi à vue d'oeils, tu peux demander à Fabio ! Il ne te dira pas le contraire ! On ressemble plus à rien.. Et mon mari me croit en plume maintenant ! Et veut tout faire à ma place ! Les bonheurs de la grossesse quoi ! » « Oh tu as oublié que tu voulais préparer une césarienne ! Car à sa première elle a eu peur pour le bébé ! » « Je serais plus rassuré ! » On parlait après de « l’instinct maternel » que ma femme croyait. Je ne comprend pas cependant. Oui bien entendu, c'est parce qu'on est un homme !

Je suis quand même heureux d'être un homme ! On a quand même beaucoup de cadeau cancer ou même de maladie. La prime d'être un homme : Bienvenue dans le monde des adultes BAM ! J'aimerai retourné à mes quatorze ans, quand tout me semblait incroyable ! Le monde m'appartenait, et voulait vraiment devenir « chanteur ». En rencontrant Alaska, tout a chamboulé complètement, je voulais seulement être avec elle. Et d'ailleurs elle m'expliqua à ce moment pour « l'instinct maternel » : « C'est le genre de truc que les mamans savent mon cœur. Je savais qu'on attendait un garçon avant qu'on nous le dise à l'échographie. » « Mmmh... » Oui sceptique ! Je repose mon regard sur Raffy qui a comprit qu'on parlait d'enfant, comme peut-être prochainement d'un « nouveau bébé » qui pourrait s'occuper avec nous de l'enfant. J'aurai aimé pouvoir prendre sa douleur, comme pour maintenant quand il demanda un enfant. Et il allait probablement insister pour montrer qu'il pourrait même pleurer pour que maman cède. Il ne va pas comprendre la maman porteuse cependant. « Aussi petit frère moi ! » Elle se mit à pâlir à ce moment là, et personne décida de répondre. Il suffit qu'il monte le son pour que papa commence à gronder. Je sais que ce n'est pas le moment, mais maman peut pas, et il n'a pas à se comporter comme ça. Et quand je voulais intervenir, c'est maman qui remplaça le bébé par un animal. Qui ne s'en occupera sûrement pas ! Certes, on aurait dû s'en douter un moment. « On pourrait peut être prendre un chien. » Il en oublié son frère, et commença à penser à un chiot. Comme ça tout redevient à l'amiable comme on dit ! Je veux également un enfant, mais pour le moment pensons plutôt qu'elle doit rattraper deux ans, après on s'occupera du deuxième, même si l'idée me paraît.. étrange ! « Je suis désolée Fabio... » « Tu n'as pas à t'excuser ! Je ne t'en veux pas, et ce n'est pas de ta faute, mon amour ! Et comme tu as pu voir auparavant ! Je suis ouvert pour parler d'un deuxième enfant ! Mais ça sera seulement quand tu te sens prête ! » « Oui tu as tout ton temps ! Tu es encore jeune, Alaska ! »

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Il est sûr que sans cet accouchement, elle aurait pu avoir beaucoup d'enfant. Raffy est quand même présent. Je ne veux rien d'autre pour le moment. Car le plus important c'est qu'on soit de nouveau « une famille ». Et ce n'est pas pour ça qu'on lui en voudra, seulement de m'avoir abandonner, comme de m'avoir donner à quelqu'un ! J'ai décidé que rien ne rayera notre bonheur ! Même pas le fait qu'elle dit « cancer » devant Raffy. Car en même temps il ne connaît pas vraiment. Puis il est beaucoup trop petit pour comprendre. Elle répondra quand il demandera, que c'est ce qu'on dit quand quelqu'un est « malade ». Je n'aime pas entendre dire que le cancer apprécie beaucoup. Il n'y a que moi qui l'aime ! Le rapport ? C'est ce que je compte lui répondre :   « Un peu quand même. C'est moi que le cancer aime. » « Ce n'est rien ! Le plus important c'est que Raffaele va bien ! Rectification : Il y a que moi qui t'aime ! » Je me met à l'embrasser amoureusement. Quand le bonhomme vient demander comme je m'y attendais par rapport au « cancer ». Et vu que c'est son erreur, à elle de se rattraper, cependant si elle a vraiment du mal. Je l'aiderai à répondre au bonhomme, y a vraiment pas de problème ! J'ai seulement peur qu'il dit au médecin quand il tombera malade, qu'il a le cancer parce qu'il est « malade ». Bref on y est pas pour le moment, et bientôt le bonhomme devra retourner pour un examen ! « Cancer mama ? » « C'est rien poussin, le cancer c'est un mot de grand pour dire qu'on est un peu malade. » Elle me regarda pour voir si je pouvais lui en vouloir. Oh un peu seulement ça arrive à tout le monde, donc je m'en préoccupe pas vraiment. Et elle a très bien répondu, même que mon bébé n'a pas chercher à comprendre. Maman a même remarqué qu'elle s'était bien débrouiller pour répondre à Raffaele ! Et personne ne répondit pour pas compliquer, qui pourrait le perturber. « On devrait passer à table si vous ne voulez pas manquer le début du match. » « Oh non il ne faudrait pas manquer un match ! » « Ce n'est qu'un match, Lorenzo ! » « Non, maman ! C'est la demi-final ! On va savoir si l'Italie va être qualifier ! » « Fabio a raison, chéri ! On doit être à fond.. » « Et dire qu'il y a même pas sept mois, monsieur était complètement mort.. » Barbara rigola doucement, avant de commencer à sentir le bébé bouger doucement.

Elle prit la main de Alaska pour qu'elle le sente, pour lui partager le moment. Car elle savait qu'elle aimait beaucoup les enfants, et vu que le moment était propice. La jeune maman commença à hésiter un moment avant de lui demander : « Je voudrai te demander quelque chose, Alaska.. J'aimerai que tu sois la marraine de mon enfant ! Ca me ferait vraiment plaisir que tu acceptes ! Tu seras une bonne marraine pour Gabriele ! » Je détourne le regard, pour observer ce moment, en entendant la réponse de ma femme. La voilà qui termine leur conversation, comme leur échange, avant même de retourner pour récupérer les plats ! Quand tout le monde était occupé, que mon pére alluma la télévision pour préparer. Et que ma mère commence à l'engueuler, pour qu'il met tout comme à la maison. Le portrait familial normal, non ? Ils prirent place pour attendre qu'on leur serve. Soudain, ma femme m’appela pour l'aider à porter. J'accours donc pour la rejoindre, quand elle se met dans mes bras, pour me quémander des bisous comme si elle était déjà en manque. Je l'embrasse amoureusement, en prenant son visage doucement. « Si tu savais comme je t'aime... On trouvera un moyen de faire un deuxième bébé. Je suis sure que l'on sortira plus fort de tout ça. » « Je t'aime beaucoup plus.. On en est déjà sorti beaucoup plus fort. Rien ne pourra nous séparer, maintenant ! Promet-moi que tu n'essayera plus de m'éloigner.. Si cela devait recommencer ? Je veux vraiment être là pour toi mon amour ! Et bien sûr on trouvera un moyen d'en avoir un autre enfant ! » Le plus important c'est qu'on soit de nouveau ensemble, et qu'on forme de nouveau une famille, comme dit récemment. Et je n'échangerai ma place avec personne. La femme idéale est devant devant moi ! Je me sens tellement bien quand elle est dans mes bras, et qu'on partage un échange pendant quelques minutes. Oh d'ailleurs j'ai une idée pour ce soir, pour qu'elle se repose, comme profite un moment d'une relaxation : « Je te ferai un massage, ce soir ! Tu l'as bien mérité.. »

On échangea quelques baisers, amoureux, passionnel, qui rendait le moment vraiment unique. Et pour être sur qu'elle ne m'abandonnera pas. Qu'elle me demandera pas de m'éloigner. Je lui demandai de me promettre de plus me demander de m'éloigner. Oui, j'ai vraiment le besoin de l'entendre ! Elle est tout mon monde, tout s'écroulerait brusquement, quand elle viendra m'abandonner ! Je ne pus m'empêcher de l'embrasser pour la remercier : « Je te le promets. » Je répondrai présent tout le temps, qu'importe ce qu'elle pourra me demander. Car je l'aime d'un amour puissant, qui viendrait empêcher mon cœur de tomber amoureux de quelqu'un. Et même si elle devait retomber malade. On sera unis pour affronter ensemble ! Comme on aurait dû faire auparavant. J'ai simplement écouté Alaska, en prenant mal qu'elle voulait m'éloigner ou même quand elle m'a même pas prévenu. Le cauchemar est maintenant terminé, et on souhaite ensemble avoir un autre enfant, pour un nouveau départ. Qu'est-ce que j'aimerai une demoiselle ! Qui ressemblerait beaucoup à sa maman. Et que je pourrai embrasser tout le temps. « Je veux être avec toi Fabio. Je sais que tu sais que je t'aime, mais je vais continuer de te le prouver chaque jour de notre vie. Mais là, tu vas juste prendre la viande et l'amener à table sinon jamais tu ne pourras voir le début du match... » Là elle n'a pas vraiment tord. Puis mon paternel a commencé à m'appeler pour me prévenir du commencement. Ou des commentaires qui annonçait prochainement le début du match. Lui qui ne rate pas un match, même malade, c'est sûr qu'il va pas rater ce moment. On va être concentré comme des malades pour voir le déroulement. « FABIO LE MATCH COMMENCE ! » « Je t'aime aussi, mon amour ! Et tu pourras être autant que tu veux avec moi ! D'accord, Mme – rigolais-je à ma réplique, avant d'entendre mon paternel – Le match a déjà commencer ! Tu pourras te mettre sur mes genoux pendant le repas ! » Une proposition qu'elle va sûrement refuser ! Cependant c'était mignon, non ? Je voulais avoir rien que pour moi, même devant le match. Qui pour moi était quand même important, néanmoins cela me plairait beaucoup de pouvoir la prendre comme ça.


Je m'en vais pour déposer les plats sur la table pour que tout le monde puisse se servir comme beau leur semble. Et mon père va sûrement me reprendre en disant que je mange beaucoup moins. Il a toujours été comme ça, il ne changera pas cependant j'ai trouvé un surnom pour lui « handicapé » c'est un moyen de s'emmerder gentiment ! Il n'y a rien de méchant aux paroles cependant. La belle prit les plats pour notre bonhomme, en espérant qu'il soit quand même pas trop dur. Ce n'est qu'un bébé, mon Raffy ! « J'espère que ça vous plaira, je ne voulais pas essayer de faire des pâtes ou des pizzas... ça n'aurait surement pas été à la hauteur des recettes de chez vous. Du coup, c'est le repas que ma mère nous faisait le dimanche quand on se réunissait tous pour manger autour de la même table avant d'aller voir les matchs de football américain. » « Oh ne t'inquiète pas c'est parfait ! » « Tu serais vraiment surprise cependant Lorenzo et Fabio adorent manger les pizza et spaghetti ! » Je m'assois avant d'écouter les commentaires, par rapport au début du match. Ça va être chaud comme match, comme c'est une demi-final importante ! Ils avaient toujours perdu, comme étant 4ème, et ne montant pas beaucoup. Là c'était le moment de monter pour devenir champion du monde ! Quel honneur ça serait pour nous ! Là ma mère a eu l'idée de me demander de chanter, comme dans notre famille c'était beaucoup de chant. Ou plutôt quand je suis présent pour nous occuper. Elle rajouta alors à ce qu'elle répondit précédemment : « C'est vraiment adorable ! On va t'initier à notre coutume, si Fabio le veut bien ! » « Quoi « si Fabio le veut bien » ? » « S'il te plait, mon grand garçon ! » La culpabilité, comme la supplication pour me faire céder. Oh vraiment c'est vraiment vil de sa part ! Je suis son enfant, et pendant le match. Bon ce n'est qu'un commentaire, et y aura sûrement une pause non ? Mon père commence à l'enregistrer pour le moment, pour le revoir autant de fois qu'on voudra : « Bon d'accord ! Quelle chanson, voulez-vous entendre ? » « N'importe laquelle ! » « All of me ! Qui sera destiné à ma douce Alaska ! » Je m'éclipse un moment pour prendre mon instrument de musique, pour commencer quelques accord. Et me mettre à chanter la chanson pour ma femme, en y mettant toutes les émotions pour lui faire comprendre mes sentiments !

la chanson de John Legent - All of Me

On était concentré sur le match. Car on arrivait en demi-final. Et pour une fois, on allait beaucoup plus que la 4ème. C'était donc important ! Aucun de nous deux voulait rater ce moment. La belle s'occupa de Raffaele, pour l'aider à manger, cependant elle ne mangeait point. La chimio donnait la 'nausée' et tout le monde semblait le comprendre parfaitement. Ma tante avait déjà eu se comportement, donc il continuait à manger comme tout était normal. Là ma mère m'a demandé de chanter une mélodie pour les occuper un moment. Le repas je m'en moquais, mais le match était quand même important. J'accepte donc seulement mon paternel commence à toucher le magnéto pour enregistrer. Je choisi donc la chanson pour ma femme, que je trouvais vraiment importante comme magnifique ! Quand elle comprit qu'on appelait, et que je chantais uniquement pour elle. Elle se mit à pleurer, tout en écrasant son enfant, qui commençait à étouffer qui commencer à gémir : « Mama écrase pas moi ! » La maman s'excusa de son comportement, avant de le relâcher doucement, sans même me quitter du regard. Comme moi à ce moment ! Je veux bien lui faire comprendre qu'il n'y a qu'elle qui m'importe. Qu'importe comment elle est ! On a beau dire que l'amour rend aveugle, comme sourd. Cependant même si ce n'est pas « éternel » pour moi mon amour durera aussi longtemps qu'on pourra être ensemble ! Je terminai donc la fin de la mélodie en déposant mon instrument, tout le monde m’applaudissait, et quand elle se leva en déposant Raffaele. Tout le monde nous regardait le « baiser » qu'elle m'a donné ! Je le prolongeai tendrement, en essuyant les larmes de ma femme, comme je ne voulais pas qu'elle pleure surtout pas maintenant !

Je souris quand elle s'assoit sur moi, en passant un bras autour de mon épaule. Je l'embrasse tendrement :« Merci, c'était vraiment beau. Je t'aurais bien rendu l'attention, mais je ne suis pas douée pour grand chose à part le dessin. » « De rien, mon amour ! Je voulais te la chanter depuis un moment. J'en suis sûr que tu as d'autre don.. » Je passe mes mains autour d'elle doucement, pendant que mamie s'occupe d'aider Raffy comme à l'occuper un moment. Mon père remet la tv à ce moment, pour qu'on regarde ensemble le match. J'ai une oreille attentive, et une qui écoute la conversation avec ma femme, et mon entourage ! Quand il commence à marquer, on gémit comme de vrai hommes devant un match important. Et quand y a un moment entracte, ma femme commença à me demander par rapport au sport : « C'est qui qui gagne votre match pour le moment ? Va falloir que tu m'expliques parce que je ne comprends pas grand chose à ces histoires de hors jeu et de fautes. On dirait qu'ils se jettent par terre avant même qu'on ne les touche... » Le truc dés que mon paternel entend « se jettent par terre avant même qu'on les touche » il se met à ricaner, trouvant ça vraiment amusant. Car le seul sport comme ça c'est le « rugby ». Et c'est vraiment violent. Je souris amusé de ce qu'elle répond, cependant mon père va manqué une mort par brutalité pour le choc. Parce qu'il rigole tellement, qu'il pourrait s’étouffer subitement ! « On me l'avait pas fait celle-là ! » « Il est vraiment impossible par moment ! » « Oh moins il est heureux ! Pour le moment c'est Italie ! Il n'y a aucun problème.. Euh, mon amour c'est au Rugby qu'on se comporte comme ça ! Tu es vraiment adorable ! » Je l'embrasse tendrement, en commençant à manger seulement un morceau. Quant à Barbara va lui expliquer comment se comporte les « femmes Firenze » au moment du match. Oui elles sortent pour parler ensemble, et pas entendre les hurlements, comme les remarques pendant le match. Surtout que c'était beaucoup loin de leur ressembler. Je serais quand même content de voir qu'elle veut regarder un match ensemble. Mon père pourrait se rapprocher de Alaska, et la rassurait en montrant qu'il est comme elle par rapport à son comportement. La jeune maman commence à s'essuyer avant de communiquer : « En général, beaucoup de femmes Firenze ne supportent pas le sport ! Car les hommes hurlent, comme disent beaucoup « d'injures » et les sports sont beaucoup trop violents ! Donc on se regroupe pour parler de tout comme de rien ! »

Il m'amuse beaucoup. Le petit n'aime pas qu'on se fait des n'amours ! En même temps, ça fait un moment qu'on en a pas fait. La séparation nous a constamment tout coupé d'un coup. Le truc c'est que si vraiment on veut un deuxième, il va comprendre qu'il va être seulement le second. Et que maman et papa s'en occuperont beaucoup. Le début va être douloureux. « Beurk beurk beurk ! Mama non ! » Il tira sur sa robe, pour lui demander d'arrêter. Il aimera pourtant, cependant je m'imagine même pas quand y aura prochainement Lydie – enfant de Barbara – Qui est amoureuse de son paternel, comme à moi récemment. Et depuis elle veut tout le temps qu'on la prend, ou qu'on s'occupe pas d'une femme, car elle DOIT être la « princesse ». ll se cacha le visage, avant de continuer à demander : « Pas bisous. » Il est trop habitué à être au centre, comme depuis les deux ans ou c'était un peu l'enfant « prince ». Et que je faisais mon maximum pour combler le manque d'Alaska ! Barbara se mit à rigoler à ce moment, en donnant du coude pour me faire comprendre - que Lydie est exactement pareil - « Juste un de plus. » Elle est dans la période « complexe d’œdipe ». Et que du coup c'était tout le temps son amoureux, qu'on devait pas le toucher, sinon elle commençait à chouiner ! « Lydie mon premier enfant a commencé sa période « amoureuse de papa » et récemment Fabio. Et du coup elle veut constamment l'avoir, ou même n'accepte pas que maman soit présente ! » Elle me donna le dernier, avant de s'écarter de moi, même si je voudrai prolonger le moment. Le petit du coup était content, qui essayait de monter pour reprendre le match. […] Les femmes de leur côté communiquer par rapport au sport, en se demandant combien de temps le match se prolongerait. Car normalement c'est 90 minutes ! Et vu qu'il y a une mi-temps sûrement beaucoup plus ! « J'espère qu'au moins l'Italie gagnera sinon on va en entendre parler pendant des heures. » « Ils ont intérêt de gagner ! Car enceinte ou pas je leur botterai leur cul ! Je n'ai pas envie d'entendre gindre mon homme pour un match ! » « Je m'inquiète pas pour Fabio et Lorenzo, pour eux ils en parlent seulement un moment.. » Le petit avait répété « merde » que mon papa répétait souvent. Je préfère dire « mercredi » c'est moins choquant. Et puis en même temps personne ne comprendra !

« Merde ! » Je reporte mon attention sur Raffaele, en montrant qu'on n'est pas d'accord pour ce mot. Il est censé dire mercredi comme papa, pas « merde » comme grand-papa quand même ! Le summum c'était qu'il répétait le mots, comme s'il était en mode répétition ! Il croyait que c'était un jeux, cependant pour moi c'est pas un amusement de dire des mots comme ça : « Raffaele Firenze ! » La maman menaçait, moi je stoppe le match pour le moment. Je vais vers Raffy pour le gronder à mon tour, ça ne va pas commencer comme ça : « On ne dit pas ça, Raffaele ! Je te préviens tu recommences, et tu ne regardera plus un match ! Et tu vas directement au lit ! » « Le pauvre chou ! » « Pourquoi crois-tu que je dis « mercredi » papa ! Ce n'est pas pour rien, zut ! Si tu n'aurais pas commencer à le dire ! Ca n'aurait pas eu lieu ! » Je n'ai pas entendu la dernière phrase que je commençais déjà à m'éloigner. Ça commencer à m'énerver de voir comment il prenait tout au temps léger ! Je fais de mon mieux pour remplacer les « injures » par des mots beaucoup moins « vulgaires » comme mercredi, zut, ou saperlipopette par moment. Je décide de prendre l'air, en fumant un peu pour décompresser. Et c'est là que je vois Marian sortir de son appartement. Elle m'espionne ou quoi maintenant ? Je soupire surtout qu'elle veut qu'on repart comme auparavant. J'entends même sa voix m'appeler : « Fabio ! Fabio ! Viens une minute ! J'ai besoin de ton aide ! » Je l'ignore complètement, envie de voir personne, même le droit de pouvoir embrasser ma femme, ou de m'occuper de mon enfant, sans que mon paternel foire tous les deux ans ou il n'a pas dit « merde ». Il a dit sûrement au match d'auparavant, et maintenant il répéte tout.

Je me demande ce qu'elle fou là. Il me semble que récemment, on a été comme un accord pour un « adieu » non ? Elle se fou de moi royalement. Ou bien elle croit vraiment à ma déclaration. Et du coup elle doit penser que je reste avec ma femme, parce qu'elle est malade sûrement. Je ne sais pas qu'elle a mangé pour croire, quelque chose de pareil, sachant qu'elle me connaît mal. Ca me déprime de voir qu'elle n'abandonnera pas, et que si vraiment je perds mon amour. Je serais que c'est elle qui l'a gâcher, en tentant tout comme n'importe quoi. Dedans, Barbara, comme mes parents n'osent pas vraiment s'interposer. Et voit comment elle gronde son enfant, en remarquant qu'elle se démerdait parfaitement. « Mais mama... » « La prochaine fois tu réfléchiras à ce que tu diras Raffaele. » Elle le mit au mur pour le punir d'avoir dit un méchant mots, que seulement les adultes répètent souvent. Oui, moi depuis un moment je l'ai réduit pour ne pas qu'il les répètent comme maintenant. Je sais cependant qu'en grandissant, beaucoup de monde en dira et qu'il les répétera souvent. Cependant, il est beaucoup trop jeune pour le moment, même après cependant « l'influence » provoquera cet événement. La mamie surveille le bonhomme, comme mon père de s'en approcher, pour qu'il n'intervient pas comme auparavant. La belle abandonna donc tout le monde, pour partir à la baie vitrée, ou elle remarqua Marian qui me demande de l'aider pour s'occuper de son problème quelconque. La haine portait à sa voix au moment, ou elle aperçut ce ressenti au son de sa voix : « Elle ? » Barbara se redressa rapidement, pour comprendre si c'était mon ancien amante qui se montrait. Car elle ne l'aimait pas également, et qu'elle mourrait d'envie de massacrer quelqu'un. Elle s’éclipsa sans que personne ne la remarque, pour les retrouver.

La colère montait rapidement, et elle commença à se rapprocher, en répondant : « Qu'est ce qu'elle fout là cette pétasse ! Rentre Fabio ! Tout de suite ! » Je la vois qui me pousse à l'intérieur pour empêcher de m'approcher. Là le bonhomme demande que voulait dire le méchant mot de maman. Je ne lui en voulais pas, c'était pour une raison qu'elle avait prononcer. Et j'aurai pu faire autant sous le coup, surtout que Raffy ne devait pas bouger, mais maman a du accepté qu'il se pardonne d'avoir prononcer, et répéter le méchant mots en continue ! « C'est quoi 'étasse mama ? » Alaska lui lança un regard noir, pour lui faire comprendre elle devait s'éloigner. Barbara arrive en sursaut, pour se planter devant Marian, et d'un ton très menaçant, en prenant soin de pas prononcer de méchants mots : « Je te jure que si tu t'approches de Fabio ! Je te démonte ma grande, ou si tu préfères que je t'arraches tes cheveux... Okey, sors avant que je commence ma séance de torture ! » « Je le rendrai beaucoup plus heureux qu'avec Alaska ! En même temps, c'est elle qui me l'a donné ! » « Détrompe-toi ! Elle ne te l'a pas donné.. C'est toi qui rêve trop sale stupide ! » Elle se mit à partir cependant elle était beaucoup plus décidé à obtenir son bien. Et qu'importe les moyens tant qu'elle m'aurait. Je me demande si elle me fait peur vraiment ? Il me suffit de la frapper pour lui faire comprendre. Je reporte mon attention sur ma femme qui explique donc à Raffaele ce qu'elle a dit récemment : « C'est un méchant mot que maman n'aurait pas du dire. Je suis désolée. Pourquoi tu as bougé du coin ? » « Padon. » « Ahh. C'est bien, vas le dire à papa. Ça lui fera plaisir. » Le bou de chou s'exécuta et alla me rejoindre pour s'excuser d'avoir répéter le mot que son grand-père avait répéter. Je lui en voulais pas vraiment, car mon père aurait pas dit « merde » il aurait pas répéter bêtement. Il aurait dû demander cependant, si ce mot était un bon ou un mauvais. Il s'excusa pour son mots, avant que j'embrasse doucement, avant de me prendre la main pour manger. Je ne sais même plus si j'ai faim avec tout ça maintenant. Elle prit le dessert, comme la glace pour le décorer joliment. Je redescendis donc sur terre au moment ou elle m'appela : « Ton dessert préféré mon cœur. Viens en prendre un morceau, ça te fera du bien. » « D'accord. Je suis désolé de mon coup de colère. J'ai trop accumulé ces derniers temps. Je veux me montrer fort pour toi comme pour Raffaele. Je ne veux pas vous décevoir ! » Je l'embrasse tendrement, avant de reprendre place, et que Barbara revient pour manger le dessert. Qu'elle reprendra sûrement de nouveau, mon paternel s'excusa, d'avoir créer beaucoup de tension.

Elle demanda à ma mère de s'occuper de Raffy. Et elle me prend la main pour que je l'accompagne dans notre chambre. Là elle me fait m'asseoir sur le matelas, pour converser par rapport à mon comportement. Je sais qu'elle a eu un cancer, par contre j'aurai voulu l'avoir pour la protéger. Qu'elle n'est pas à souffrir de pas pouvoir avoir de cheveux, ou même de porter d'enfant. Ne plus la voir manger m'inquiète beaucoup, surtout qu'on doit manger pour « survivre ». Je ne veux pas qu'elle devienne maigre à tel point qu'elle retombe malade. Ca me rendrait encore plus malade que mon épouse, donc faudrait vraiment qu'elle se rétablisse complètement. Je ne veux pas la perdre ! « Jamais je ne te demanderai d'être fort pour moi. J'ai juste eu un petit cancer de rien du tout, c'est pas comme si j'allais mourir. » Je me mis à peine à sourire, pour répondre à sa plaisanterie concernant sa « maladie ». Hélas, même si ce n'est pas le moment d'entamer ça. Je vais sûrement lui dire par rapport au « donneur ». Car même si elle me détesterait, le principal c'est qu'elle soit présente ! Quoique si elle apprend, elle ne voudra pas prendre de mon sang ou organe par peur de me perdre ! Je vais donc lui dire tout autre chose pour le moment qui est important : « Je sais que tu ne vas pas aimer mes paroles, mais bon.. J'aurai aimé avoir ton cancer pour te protéger, pour ne pas que tu souffres à cause de la chimio, ou de plus pouvoir avoir d'enfant ! Je ne pense qu'à ton bonheur qui le mien également ! » Le message a été dit, cependant même si c'était au ton de l'amusement, moi j'ai vraiment vidé mon cœur sur le moment. Le dernier mots m'amusa, même si jamais je ne penserais à la quitter ! Seulement, je ne veux pas les inquiéter, car y a beaucoup plus important à penser. Comme le bien être de maman par exemple ! Je suis que secondaire comme on dit. Et de mon avis je suis exactement ça : « secondaire ».


 « Tu as le droit de craquer et de t'énerver, de te sentir frustré, de crier, de vouloir tout plaquer. Tu as le droit de tout faire... Fin sauf de me quitter, mais ça tu le sais. » « Je ne pourrais pas te quitter ! Cependant, je ne veux pas vous inquiéter ! Car le plus important c'est ton rétablissement en premier ! » Je pris son visage dans mes mains, pour embrasser tendrement. Elle sait que je le pense vraiment, comment je me comporte souvent, et depuis un moment je commence à l'observer pour voir son « alimentation ». Oui je suis inquiet ! La grimace quand elle me pinça le haut de mon épaule pour détourner le mots « fort ». Là elle marque un point, le sport c'est arrêter depuis un moment, seulement le sport sexuel qui a reprit depuis vraiment peu. Après je n'ai pas vraiment le temps, sauf quand on se dépêche pour déposer le bonhomme, avant de retravailler comme auparavant.  « Pas si fort que ça mon homme, j'ai même pas senti de muscles. » Je souris doucement, avant qu'elle se penche vers moi pour capturer mes lèvres dans un baiser tendre qui devient rapidement passionnel. Que je prolongea aussi longtemps qu'elle m'en donna occasion ! « Souris pour moi. » « C'est toi qui me fait sourire ! » Je répondis quand elle me sourit coquin, en jouant du bout des doigts avec ma ceinture. Le jeu commence bien on dirait ! Ca me plait beaucoup, même si ce bonheur n'est que de courte durée vu que Raffy et Barbara nous porte compagnie. La porte s'ouvrit, en même temps que le son familier de mon enfant : « Beurk !!!!! » « Ohhh. Désolée. Oh mon dieu, je suis traumatisée ! » Ils repartirent aussitôt que d'habitude, sûrement elle jouait au même jeu que mon enfant. Car elle aime bien charrier de temps en temps, comme là par exemple. La mine choquée alors que je m'a déjà appelé après avoir coucher, ou quand son mari débute le match ! Le summum ca a été mon apparition involontaire, pour lui rendre une charmante « visite » et que son mari avait terminer le séjour autrement ! Elle s'écarta du coup, en remarquant que les joues de ma femme commençait à devenir écarlate. Ca lui va vraiment bien ! « Tu penses qu'elle va le dire à tes parents ? Non parce que je ne pourrais plus les regarder dans les yeux s'ils savent ce que je voulais te faire. » « Je ne pense pas, rassure-toi ! Elle fait comme Raffaele seulement ! Et tu es vraiment magnifique quand tu rougis ! » Je l'embrasse de nouveau, voilà un moyen radicale de me remonter le moral. Les bêtises de mon enfant, et Barbara, comme ma femme quand elle essaye de me remonter le moral !