Sujet: life always has surprises in store (meadow) Mer 11 Juin - 7:43
Meadow & Ethan
Life always have surprises in store, don't doubt it. You never know everything, you have to look out for the truth, never take anything for granted.
Début de journée éprouvante, il n’y avait pas à dire. La chaleur était intense ces derniers temps autour de Los Angeles et Pasadena n’avait pas été épargné. La salle de gym était climatisée mais cela n’empêchait pas les clients d’arriver complètement assommés par cette chaleur ce qui rendait la tâche plus difficile pour les faire se mettre au travail. Mais bon, pour l’instant tu survivais comme tu pouvais en essayant de réduire leur entraînement pour la journée. De ton côté, la chaleur de te dérangeait pas tant que cela. Tu vivais en Californie depuis ta naissance et à Los Angeles depuis tes dix-sept ans, plus rien ne te faisait peur. Et puis la climatisation était tout de même présente ce qui n’était pas le cas quand tu t’entraînais avec les Dodgers quelques années auparavant. C’était lors de journées comme celles-ci que tu te demandais quelle idée t’était passé derrière la tête quand tu avais été frapper ce pauvre Eddy qui avait brisé ta carrière. Bien sûr, la sienne était restée intacte, pauvre victime qu’il était. Enfin, tu ne t’étais pas privé de faire savoir le pourquoi du comment de ton geste mais bon, les juges trouvaient que ce n’était pas un motif suffisant certainement. Enfin, ce n’était pas important. Tu pris rapidement ta pause déjeuner et tu en profitais pour manger et discuter avec un collègue qui te proposa une sortie la semaine prochaine. Avant que tu ne puisses répondre, ton téléphone se mit à sonner et tu ne perdis pas une minute à décrocher, qui sait ? Peut-être que c’était très important. Tu espérais juste que ce n’était pas ta mère qui te parlerait de Laura sinon tu allais finir par filtrer ses appels. Mais ce n’était pas elle. « Allô Ethan ? » Tu souris en disant : « C’est lui-même, qu’est-ce que je peux faire pour toi Max ? » Demandas-tu en ayant reconnu ton ami. « J’ai besoin que tu me remplaces ce soir, ma fille est malade, je dois l’amener chez le docteur. » Le remplacer ? Tu te souviens soudain que le métier de Max c’était de gérer le club de baseball de la charmante ville de Pasadena. Un grand sourire vint s’étaler sur ton visage. « Je ne suis libre qu’à partir de seize heures. Je dois te remplacer pour quoi ? » Il donnait plusieurs cours, plusieurs entraînements et tu voulais savoir dans quoi tu te lançais tout de même. « C’est seulement une classe de débutants, des enfants. Je sais que tu bosses toujours pour les Dodgers pour entraîner les enfants … » Il s’était effectivement bien renseigné, c’était une autre facette de ton métier. Tu ne travaillais qu’à mi-temps dans cette salle de sport, le reste du temps tu le passais sur un terrain de baseball avec des enfants et le reste devant des caméras mais ça c’est un détail. « Ca marche, je serai là t’en fais pas. » Tu raccrochais ensuite avant de continuer la conversation précédemment commencée et de ranger ton téléphone dans ta poche. Tu préférais vraiment entraîner des enfants que d’avoir à forcer les gens à faire du sport parce qu’ils étaient incapables de s’y mettre tout seuls.
La journée se passa assez calmement après ça, tu n’eus pas trop de problèmes mais bien entendu ton patron trouva que c’était le bon moment de te convoquer à la fin de ton travail alors que si tu étais parti de suite, tu aurais pu être en avance. Maintenant tu allais être en retard. Et puis franchement, pour parler d’un changement d’horaire la semaine prochaine ça pouvait largement attendre le lendemain si vous voulez mon avis … Mais bon, on fait comme on peut n’est-ce pas ? Tu courrais ensuite dans ta voiture et tu accélérais un peu trop pour arriver le plus rapidement dans le parc où se déroulait apparemment cet entraînement. Quand tu arrivais, la plupart des parents étaient déjà repartis et tu reconnus le bras droit de Max qui levait les yeux au ciel. « Désolé les mômes, j’ai été retenu. On s’y met ? » Tu n’attendis pas leur réponse et tu commençais à les entraîner. Ils n’étaient pas mauvais mais bon, il restait du travail à faire. Tu te rappelais cependant constamment que les petits ne joueraient certainement jamais professionnellement, que ce n’était qu’un jeu ce qui n’était pas toujours le cas chez les Dodgers. Une fois l’entraînement terminé, tu accueillais les parents et tu leur rendais leurs enfants. Finalement, il n’en resta plus qu’un à côté de toi. « On t’a oublié bonhomme ? » Lui demandas-tu gentiment mais bientôt tu vis une femme blonde s’approcher en courant et plus elle s’approchait en courant, plus tu la reconnus. Meadow ! Un grand sourire se dessina sur ton visage et tu allais parler mais le gosse parla avant toi : « MAMAN ! » Tu perdis ton sourire, c’était clair et net. Meadow était maman ? Quoi ? Mais comment ? « Euh Meadow, c’est quoi cette histoire ? » Oui, tu étais perdu.
Meadow Caldwell
≈ IT'S YOUR MAJESTY.
≈ PSEUDO : (she)wolf. ☆ Morgane.
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≈ CÉLÉBRITÉ : dianna agron.
≈ CRÉDIT : (c) avatar ; hersunshine - gifs ; moi.
≈ STATUT : mère d'un petit garçon de six ans et complètement paumée.
got a secret, can you keep it ≈ relationship: ≈ to do list:
Sujet: Re: life always has surprises in store (meadow) Dim 15 Juin - 11:23
ethan w/ meadow can we go back, this is the moment, tonight is the night, we’ll fight 'til it’s over. so we put our hands up like the ceiling can’t hold us.
« Je sais pas où tu es ou ce que tu fais, mais je vais te retrouver et te tuer Sienna. Te faire du mal. T’enterrer au fin fond de la forêt et danser sur la motte de terre. » - « Pourquoi tant de haine ? » - « Tu te fous de ma gueule ? C’est de ta faute si je me suis retrouvé avec Tanner sur le palier, je te déteste profondément. » Le rire de la petite brune à l’autre bout du fil me donna encore plus envie de l’étriper. Premièrement parce que c’était réellement sa faute, deuxièmement parce qu’elle m’avait caché le fait qu’elle était toujours en contact avec lui. Elle aurait pu me le dire, ça n’aurait rien changé mais non, elle s’était sentie obligée de me mentir et de rester silencieuse. « Il a vu Corto ? » Lâcha la jeune femme dans un fou rire. « Non mais en fait tu veux ruiner ma vie c’est ça ? » - « Je t’aime tellement. » - « Va te faire foutre. » Dis-je d’une manière faussement outrée avant de lui raccrocher au nez. Ça lui apprendra pour la peine. Ce qui me rendait dingue, c’était surtout qu’elle n’est pas prit la peine de me parler, tout bêtement. Lâchant le plus long soupir de toute l’histoire des soupirs, je tentais de reporter mon attention sur mon ordinateur et sur des fleurs dont je me foutais profondément. La mariée dont je m’occupais avait des goûts plus que particuliers et mes yeux étaient à deux doigts de fondre depuis le début de la matinée. Je ne savais pas exactement depuis combien de temps je bossais sur le dossier et la robe mais j’avais l’impression d’oublier quelque chose. Finissant mon café d’une traite, je passais en revu tous mes rendez-vous de la journée lorsque je daignais me souvenir de quelque chose de bien plus important. Mon fils. Par exemple. Ce n’était pas un réellement un oubli mais j’étais en retard. Légèrement en retard. Laissant tout en plan, je prenais mes affaires avant de sauter dans la voiture. Bon d’accord, j’avais oublié qu’il avait baseball après l’école, le planning avait changé et moi j’étais toujours complètement à la masse. Il me fallut quasiment un quart d’heure pour enfin arriver à Central Park et je voyais Corto avec un grand sourire collé sur le visage qui dévisageait son entraineur. Sortant de la voiture, je courais histoire de ne pas me faire écraser sur la route avant d’arriver enfin à la hauteur de mon fils. « MAMAN ! » - « Je sais, je suis retard, désolée bonhomme ! Tu me montres ce que t’as dans le ventre aujourd’hui ? » Dis-je alors malicieusement devant son regard qui venait de s’agrandir instantanément. Soudainement, une voix très, mais alors très connue me fit tourner la tête. « Euh Meadow, c’est quoi cette histoire ? » C’était un complot en fait. Tout ça, c’était juste un complot. Ethan – meilleur ami de Tanner, juste pour situer le garçon – se tenait devant moi, arborant une mine complètement décontenancée. Me relevant pour me mettre à sa hauteur je regardais Corto puis le jeune homme, avant de reporter mon regard sur mon fils. « Vous vous passez le mot ou comment ça se passe ? » Lâchais-je alors en passant une main sur mon visage. Après Tanner, lui, quand je parlais de complot je ne pensais pas que j’avais raison à ce point là. Bon, avec Ethan, c’était tout de suite moins dur de lui présenter le petit. « Bon bah là on y est hein, Ethan voici mon fils Corto. » Dis-je avant de me rapprocher de lui. « Si tu pouvais éviter de m’engueuler ce serait juste génial ! » Je ne pouvais m’empêcher d’éclater de rire devant sa mine déconfite tandis qu’il observait le petit sans vraiment savoir quoi dire. « Ce qui me rassure pas vraiment c’est que tu réagis moins bien que Tanner quand même. » Tentant de reprendre mon sérieux, je faisais bien sûr référence à son côté plus que statique. Passant une main devant ses yeux, j’avais la vive impression qu’il n’allait pas vraiment s’en remettre. « Pourquoi j'ai l'impression que tu veux me faire du mal ? » Il était vrai que je m’en voulais de ne pas lui en avoir parlé plus tôt, Ethan était quelqu’un que j’aimais vraiment énormément. C’était plutôt alors je me devais de le souligner, cependant, j’en étais toujours au même point. Je ne voyais pas vraiment comment le lui dire plus tôt alors que son meilleur ami n’était pas au courant. Toujours est-il que j’étais là, tentant de me retenir d’éclater une nouvelle fois de rire tandis que Corto vint s’asseoir à nos côtés.
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