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 Who are you ? | Haley

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MessageSujet: Who are you ? | Haley   Who are you ? | Haley EmptySam 14 Juin - 7:09

Samuel ∞ Haley
Les gens l’étonneraient toujours. Telle était la pensée de Samuel tandis qu’il patientait dans les embouteillages, seul dans son véhicule, tout en se retenant de maudire ces chauffeurs qui n’avançaient pas. Au lieu de les injurier comme toujours, il tapotait sur son volant, en rythme avec un vieux tube ayant au moins vingt ans, diffusé à la radio. Il ne savait pas ce qui lui avait pris, d’accepter cette demande, mais les filles avaient l’ignoble don de le rendre absolument cinglé. Alors c’était elle, Haley White, qui l’étonnait beaucoup. D’elle, il ne connaissait que son nom et son visage. Rien d’autre. Il n’avait pas cherché à en savoir plus, le jour de leur rencontre – un pur hasard – et sur le coup, il s’en moquait un peu. Ils avaient discuté, suffisamment pour s’échanger leurs numéros. En tout bien tout honneur, avait précisé Samuel avant qu’elle ne parte en courant. Car, fait non négligeable, le jour où il l’avait rencontré, c’était lors de son arrivée fracassante à Pasadena. Une jeune femme tombée de nulle part, vêtue d’une robe de mariée, qui semblait débarquer d’une autre planète. Il avait été tellement surpris, en la voyant. Intrigué. Même, impressionné. Si bien que, le cœur battant, il n’avait pas réfléchi longtemps avant de l’aborder, mais il n’avait pas osé lui demander d’explications, ça n’était pas le moment après tout ! Au lieu de ça, il avait accepté de lui servir, du moins, provisoirement, de chauffeur  pour cette jeune demoiselle en détresse sans permis, parce qu’elle n’avait pas envie de le passer, selon ses propres mots. Et il venait de s’enliser dans un bourbier sans nom, à en croire ces embouteillages, mais il n’avait pas eu le cœur de refuser. Samuel était peut-être un imbécile – une ordure même – mais c’était un vrai gentleman. Et comme cette Haley venait de débarquer en ville, elle ne connaissait personne d’autre, il lui fallait bien un peu de compagnie. Cette idée le faisait rire. Sam avait des amis, un cercle de connaissances assez important, mais ce n’était pas ce qu’on pouvait appeler un mec sociable. Au contraire. Les gens en qui il avait une confiance absolue se comptaient sur les doigts d’une main.

Ainsi donc, voilà pourquoi il se trouvait là, encore à se demander ce qui lui était passé par la tête pour accepter de servir de chauffeur à une inconnue – une jolie inconnue, certes, mais tout de même ! Et surtout, il se demandait s’il arriverait un jour à destination. Quelle idée de sortir à cette heure-là, un matin, sur son temps libre. C’était son jour de repos, en plus. Sa charité chrétienne le perdra. Comme si j’en avais quelque chose à foutre, de la charité. Non, bien sûr que non. Mais cette demoiselle l’intriguait et, si la curiosité était un vilain défaut, il était bien décidé à en apprendre plus à son sujet, à découvrir ce qu’elle fabriquait à Pasadena vêtue d’une robe de mariée, avec pour tout bagage, son sac à main. Après un temps qui lui parut une éternité, il parvint enfin à se sortir des embouteillages et reprit sa route, le cœur un peu plus léger. Il n’aurait que quinze minutes de retard par-rapport à l’heure prévue, rien d’extraordinaire. Et quand on connaissait Samuel, on savait que quinze minutes de retard, cela signifiait presque qu’il était en avance. La ponctualité, ça n’avait jamais été son fort. Il avait loupé des rendez-vous importants, professionnels comme galants, à cause de ça. Pourquoi être à l’heure, sérieusement ? Par politesse ? N’importe quoi. Les gens polis, de nos jours, ils ne couraient pas les rues. Alors autant n’en faire qu’à sa tête, c’était bien plus amusant ! Il batailla ferme pendant plus de quinze minutes, à tourner dans le centre-ville dans l’espoir de trouver une place, en dénicha finalement une que la précédente voiture venait de quitter, et jeta un coup d’œil sur sa montre. Devait-il trouver une excuse bidon pour expliquer son retard ? Un troupeau de vaches sur la route, un attentat, les quatre pneus de sa voiture crevée, la roue de secours également ? Après réflexion, il en vint à la conclusion qu’il n’avait pas le temps pour ça et se précipita vers l’hôtel où résidait Haley le temps de trouver un appart’, ayant l’adresse en poche, mais il n’eut pas à attendre, car elle l’attendait déjà. Légèrement gêné, il s’exclama « Désolé du retard ! Comment tu vas ? » Au diable les excuses, et au diable le vouvoiement. Les principes, on en discutera plus tard. Pour l’heure, il devait simplement l’emmener d’un point A à un point B. « Heureusement que j’ai prévu large… Si tu veux, comme on a un peu de temps, on peut aller prendre un p’tit-dej’ ! Je connais un endroit parfait, leurs pancakes sont à tomber. Ça te branche ? » Il lui adressa un sourire enjôleur, comme à son habitude. Etrangement, même s’il manquait parfois cruellement de tact, il se débrouillait bien en public et parlait avec facilité, si bien qu’il n’avait jamais eu de problèmes relationnels. On le prenait un peu pour un ours, mais un ours amical, et ça, ça changeait absolument tout.

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Haley White
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MessageSujet: Re: Who are you ? | Haley   Who are you ? | Haley EmptyLun 16 Juin - 6:04

Haley ∞ Samuel
Un début hasardeux certes, mais qui sait, peut être le début d'une belle amitié
Quand, il y a deux jours, j'ai débarqué à Pasadena, la robe chiffonnée, les cheveux défaits, le maquillage tout étalé, j'étais loin de pensé que j'allais lier quelques connaissances utiles. Juste comme je quittais le bus qui m'avait amener ici, j'ai trébucher, mes jambes étaient toutes engourdies à cause des longues heures passées assise dans le véhicule et j'ai été rattrapé de justesse par un inconnu, Samuel. Je dis un inconnu, mais cela tombe sous le sens puisque je ne connais pas la ville, ni les gens d'ici. J'imagine que la tenue que je portais ce jour là avait du l'intrigué. Après tout, j'étais pas dans un bel état, j'étais fatiguée, j'avais besoin de me changer, de dormir, de faire un bon repas, mais j'ai tout de même accepter de discuter quelques minutes avec lui. Quelques mots échangés, une personne à qui palé, après avoir passé deux longues journées dans un bus à retourner dans tout les sens le choix que je venais de faire, parler m'avait fait du bien et j'ai accepté sans résistance de lui céder mon numéro de téléphone. Ce téléphone, s'était le objet qui me rattachait à mon ancienne vie. Je devrais m'en débarrassé, surtout si je ne tiens pas à ce que l'on me retrouve. Mais dans ce téléphone, j'ai des tonnes de photographies dont je ne veux pas me séparer. Des photographies de ma famille, de mes amis, de Thomas, ce fiancé que j'ai quitté et qui me manque. Sur le moment, j'ai cru que partir était la solution idéale, mais c'était plus une solution de facilité, partir et laisser mes problèmes derrière moi, parce que au fond, le problème, ce n'était pas mes sentiments, je l'aimais toujours, le problème, c'est que je ne voulais pas me mariée et qu'au lieu de le lui dire, j'ai préférée m’enfuir.

Après avoir laisser Samuel, j'ai fais quelques achats, histoire d'être plus propre et je suis rentrée dans ce bar, ou j'ai été sauvée par un jeune homme de mon âge, grâce à qui, j'ai pu avoir un toit et un vrai lit pour la nuit. Mais le lendemain, j'ai du me débrouillée toute seule, en essayant de trouver un logement et un emploi, mais rien de concluant. Au contraire, n'étant pas du coin, je suis, au dire des gens, pas digne de confiance. Gentil, très gentil. En venant ici sur un coup de tête, je pensais, à défaut d'être accueillie comme une princesse, avoir de la compassion de la part de ses inconnus. Mais je n'ai rien eut de tout ça. Résultat, hier soir, j'ai contacté Samuel. Si je veux m'intégrer, il me faut connaitre cette ville et pour ça, quoi de mieux qu'un chauffeur personnel ? J'ai hésité plusieurs minutes avant de le contacté, parce que après tout, je ne le connais pas, mais j'ai mis mon orgueil de côté et j'ai composé son numéro. Il a gentiment accepté de m'aider, et me voilà, en train de l'attendre devant l'hôtel ou je me suis provisoirement installée. Je viens à peine d'arrivée lorsqu'il s'approche de moi en s’excusant pour son retard. Je hausse les épaules. "C'est rien ! Merci d'être venu !" Je dis, avec un léger sourire. "Je vais ... Bof ! Je me suis déjà sentie mieux. Et toi ?" Pourquoi dire que j'allais bien puisque ce n'était pas le cas. Les mains dans les poches, histoire de paraitre décontractée, alors qu'en réalité, j'étais une vrai boule de nerfs, je l'écoute me parlé d'un petit déjeuner, puisque nous avons le temps, et étant gourmande, je me laisse facilement convaincre. "Pourquoi pas !" Dis-je, retrouvant momentanément ma bonne humeur.
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MessageSujet: Re: Who are you ? | Haley   Who are you ? | Haley EmptyMar 17 Juin - 16:33

Samuel ∞ Haley
Le hasard faisait parfois bien les choses ! Samuel n’était pas du genre à beaucoup aimer les surprises, mais en tout cas, celle-là était sympa. Même s’il avait rencontré Haley complètement au hasard, il en était heureux, parce qu’élargir son cercle de connaissances était toujours sympa ! Ayant toujours vécu à Pasadena, Sam connaissait beaucoup de monde. Des amis, il en avait un certain nombre, même s’il y en avait très peu en qui il avait une confiance absolue, et on le connaissait en ville. Pas seulement parce qu’il était un pompier, un « sauveur de ces dames », comme il se plaisait à se nommer, mais également parce qu’il était un mec de la rue. Il y avait grandi, il y avait fait ses premières armes. Alors forcément, son carnet d’adresse était rempli. L’hôtel choisi par la jeune femme était sympa, selon Sam, dans le centre, où elle avait tout à porté de main. On était bien loin de Bungalow Heaven, un nom agréable pour le quartier le plus miséreux de Pasadena, où il avait élu domicile, dans un minuscule appartement qui ressemblait plutôt à un taudis. Mais il s’y plaisait. Et le bordel ne semblait pas déranger les filles qu’il ramenait sous son toit. Il afficha un large sourire en s’approchant, signe qu’il était content de la voir, et lui demanda par pure politesse comment elle allait. Même si évidemment, cette femme débarquée de nulle part en robe de mariée n’allait pas lui dire qu’elle pétait la forme. « Ouais, je me doute bien… Allez, suis-moi, je suis garé un peu plus loin. Je vais te faire le tour du quartier, tu vas adorer ! » Il tâchait de la mettre à l’aise, elle qui semblait avoir un tas de problèmes sur le dos. Avec les embouteillages de si bon matin, ils mettraient sûrement un peu de temps pour rejoindre le lieu du petit-déjeuner, mais au moins, ils pourraient discuter dans la voiture – et ça n’était pas du luxe.

Prenant place derrière le volant, tandis qu’Haley grimpait sur le siège passager, il démarra et délaissa donc sa place de parking si chèrement acquise. Monde cruel ! Puis il s’élança à l’assaut des rues de Pasadena. Après un silence de mort, durant lequel il tâcha de se concentrer sur les routes, il demanda « Alors, qu’est-ce que tu faisais en robe de mariée l’autre jour ? T’essayais de lancer une nouvelle mode ? » Malgré ce qu’on pourrait croire, Samuel n’était pas un imbécile. Il savait pertinemment que l’affaire était plus grave que ça, qu’il y avait forcément un mariage là-dessous, ou une tentative de mariage, à défaut. Il s’imaginait les clichés hollywoodiens, le mec qui abandonne la fille devant l’autel et qui se barre en courant sous le regard éploré de son ex-copine. Ce genre de films dégoulinant de guimauve, ça le faisait rire. Et pleurer en même temps, il ne savait pas bien. « Enfin… Si tu ne veux pas me répondre, t’es pas obligée, hein. On peut aussi parler de la reproduction des marsouins à lunettes, ça doit être un sujet vraiment passionnant, j’en connais un rayon dessus ». Il lança un regard malicieux en direction d’Haley et se demanda une seconde si, au prochain feu rouge, elle ouvrirait la portière et prendrait la poudre d’escampette en hurlant au fou. Au pire ! Sa réputation à Pasadena n’était déjà pas fameuse, il n’était plus à ça près. Puis avec un peu de chance, elle était tout autant givrée que lui, et ils s’entendraient bien. Une chance sur deux pour que ça passe. Et sinon, il parlerait de ses connaissances en marsouin à lunettes pour épater la galerie. Il avait fait des recherches une fois, lors d’une soirée, quand il était complètement déchiré. Il ne se souvenait plus du comment il en était arrivé là, mais les marsouins l’avaient passionné, à l’époque.


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MessageSujet: Re: Who are you ? | Haley   Who are you ? | Haley EmptyVen 20 Juin - 6:28

Haley ∞ Samuel
Un début hasardeux certes, mais qui sait, peut être le début d'une belle amitié
Un bon petit déjeuné dans un endroit fort sympathique de cette petite ville ne pouvait que me mettre du baume au cœur. Je n'étais pas déprimée, disons que j'avais tout de même connu des jours meilleurs, mais étant donné que mon moral au plus bas, j'en était la seule responsable, je ne pouvais pas me permettre de me laisser aller, cela serait bien trop facile. Sans me connaitre, Samuel avait l'air de comprendre ce que je traversait, à moins qu'il n'agisse ainsi que par politesse, mais qu'importe, je ne voulais pas que l'on s'appitoit sur mon sort, je ne voulais pas de la pitié des gens, je voulais être comprise, soutenue si possible, mais pas qu'on me dise que je n'avais pas de chance. Ce n'était pas moi qu'il fallait plaindre dans cette histoire, mais mon ex fiancé. J'ai donc suivi Samuel jusqu'à sa voiture, je devais reconnaitre que sa proposition de petit déjeuner m'avait ouvert l'appétit, alors qu'à la base, je n'avais pas vraiment faim. J'ai étouffé un bâillement, on ne peut pas dire que je dormais bien dans cet hôtel. La rue était brillante et le matelas plutôt dur. "Il y a des choses intéressante à faire dans ce patelin ?" Je demande, l'air de rien. "Lorsque je suis arrivé, s'il n'y avait pas eut ce gros balourd à la sortie du car, je me serais cru en pleine communauté Amish ! Et je dois dire que ça change de Miami. Mais c'est mieux !" Là encore, c'était vrai. J'avais pris le ton de la plaisanterie pour le dire, mais c'était tellement différent de Miami, que oui, on se serait cru dans un autre monde, c'était presque irréel, alors forcément, je détonnais dans ma robe de mariée.

Après avoir marché quelques minutes, nous avons pris place dans la voiture. Samuel démarre, avant de me demandé, en ne plaisantant qu'à moitié, si je cherchais à lancer une nouvelle mode en sortant d'un car en robe de mariée. Le ton de sa voix eut le don de me faire rire, même si ses paroles ravivaient de mauvais souvenir. A coup sur, il devait croire que je m'étais faite larguée devant l'hôtel. "Non, non ... En fait, j'ai ... J'ai paniqué et une fois devant lui, je me suis rendue compte que je ne voulais pas me marié. Sauf que je l'aime, tu vois, mais c'est sans doute trop tard maintenant." Je me trouvais pathétique d'avoir lâcher ce que j'avais sur le cœur, mais j'imagine que ça aurait finit par se savoir, après tout, nous sommes dans une petite ville et tôt ou tard, on saurais que Haley White, fraichement débarquée de Miami était en fait une garce qui venait de planté son fiancé à l'église. Bravo ! J'étais même surprise que la nouvelle n'ai pas déjà fait les gros titres des journaux du monde entier. Peut être qu'une photographie de moi circulait sur Google. A moins qu'il n'y est rien et qu'on soit en train de me chercher. Tout était possible dans le fond. Nouveau rire lorsque Samuel me parle de marsouin à lunettes. Sans savoir à quoi ça peut bien ressembler, je crois savoir que se sont des animaux marins. "Des marsouins à lunettes ? Impressionnant !" Je réponds, taquine. "Mais personnellement, je plus calée en ce qui concerne la reproduction du gorille des plaines." C'est d'ailleurs grâce à ce sujet que j'avais réussis à séduire mon ex-fiancé, on a rien sans rien, comme on dit.
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